KATMANDOU

KATMANDOU

Drapeau du Népal http://fr. wikipedia. org/wiki/Drapeau_du_N%C3%A9pal Adoption 16 décembre 1962 modifier Le drapeau du Népal démocratique fédéra or 11 nationaux. qui ne soi as – to View que large. Il fut adop géométrique est déc Constitution népalaise adoptee en 20072. Forme du drapeau de la République l, parmi les drapeaux être plus haut Sa construction le 6 de la Les deux triangles représentent l’Himalaya ainsi que le bouddhisme et l’hindouisme. Pour les hindous, le triangle représente le Dharma (loi morale, vertu religieuse et devoirs sacrés).

Signification des couleurs et des symboles Le rouge carmin est la couleur nationale du Népal, opposé au blanc et noir, qui symbolisent la mort. Le soleil et la lune symbolisent les familles des rois et des premiers ministres. Le drapeau népalais est aussi considéré comme un support de prières — en effet, la lune et le soleil sont symboliquement présents dans tous les Mantras : « fasse que la Nation prospère et vive, aussi longtemps que le soleil et la lune seront présents au d’effervescence de Thamel.

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région. Capitale du Népal, Katmandu est bâtie à 1300 mètres d’altitude et compte un million et demi d’habitants. Très polluée et pourtant particulièrement envoutante, la ville est très ancienne, et la vallée était déjà peuplée 900 ans avant J. -C. Rendue célèbre par les routards hippies des années 70, la ville s’est énormément développée depuis.

Temples et palais bouddhistes pullulent, et vous ne manquerez pas de visiter Durbar Square et ses monuments dont certains datent du 12ème siècle, avec leurs magnifiques sculptures en bois, les petites places, et la maison de la Kumari. Découvrez aussi le grand stupa d’un blanc immaculé orné des yeux de Bouddha, et flânez au milieu des boutiques alentour où sont vendus des centaines d’objets artisanaux, puls découvrez le travail minutieux des peintres qui décorent au pinceau fin les tanka, panneaux de soie tendus sur des cadres qui sont destinés ensuite aux temples.

Le quartier de Thamel est le plus européanisé, et vous y trouverez sans problème hébergement et restauration pour des prix très abordables, sans pour autant être privé du dépaysement dû à l’activité de ruche de la ville, avec ses multiples échoppes, a circulation grouillante et sa cacophonie. A aucun moment cependant vous ne vous sentirez en insécurité, tant les népalais dégagent de gentillesse et de sérénité. Kathmandu : Climat – à quelle saison partir ? : Très favorable gentillesse et de sérénité. Très favorable – : Favorable – : Moyenne – : Défavorable défavorable Mois Ensoleillement (hij) T moyenne min (oc) max (oc) T record Précipitations (mm) Jours de pluie Note globale janvier 6 19 -2 24 14 février 20 : Très plusieurs milliers de femmes parées de leurs plus beaux bijoux et habillées en rouge convergent vers le temple de Pashupatinath. C’est un moment de liberté et de joie pour beaucoup attendu dans l’année. Heureuse adoratrices de Shiva, sur le chemin vers les temples, elles chantent et dansent. Et, elles jeûnent et font des rituels pour la longévité de leur époux.

C’est aussi un grand moment de rencontre et de partages avec la famille et les amis. En dépassant parfois les frontières religieuses, cette fête devient un événement social, politique ou artistique. Les femmes organisent des réceptions à l’occasion de Teej, différentes personnalités peuvent être conviées. Alors ces femmes défendent des causes qui leur tiennent à cœur. Si vous êtes au Népal à ce moment-là, ou vous avez l’idée de venir au Népal, un petit découvert du Népal en notre compagnie vous permettra d’explorer les différents aspects de la fête de tee].

Vous pouvez jeter un coup d’oeil sur notre programme, dans la rubrique « circuits culturels »: http://vu »vwu. mandaptravels. com/ types-de-voyage/circuits-culturels/teej-la-fete-des-femmes/ Au plaisir ! Hippies Au terme d’un voyage épuisant et dangereux à travers l’orient, les hippies parvenaient enfin à Katmandou, la capitale du Népal, connue surtout pour être le haut lieu de la drogue. Jusqu’en 1973, la drogue est au Népal légale et fortement répandue. Là-bas, les hippies vivaient en communauté dans des hôtels plus ou moins sordides, sur des paillasses au frais de ceux ayant encore assez d’argent pour payer la chambre.

Dans un premier temps, les hippies visitaient les tem 4 1 assez d’argent pour payer la chambre. Dans un premier temps, les hippies visitaient les temples, profitaient de l’ambiance et de la culture népalaises, testant diverses drogues telles que le haschich, la méthédrine ou encore la morphine. Cependant, la plupart finissaient par ne plus quitter ‘hôtel, affaiblis par les nombreuses drogues, ne sortant de leurs « voyages » que pour s’injecter une dose supplémentaire comme nous le montre le livre ‘Flash ou le grand voyage » de Charles Duchaussols.

La vie des hippies s’écoule lentement, trainant dans des lieux prisés comme le Garden Hôtel -un des hôtels pris d’assaut par les hippies à cette époque là- ou encore dans des restaurant préparant de la nourriture à base de haschich, se retrouvant ensuite pour se droguer et pour jouer de la musique. Comme nous le montrent ces extraits de « Les chemins de Katmandou » de Barjavel, les hippies avaient diverses attentes de Katmandou, telles que:  » Katmandou, c’est le pays de Bouddha. Il y est né… Il y est mort… Il y est enterré…

Et tous les autres dieux sont là aussi… C’est l’endroit le plus sacré du monde. Cest l’endroit du monde où le visage de Dieu est le plus près de la Terre…  » ou encore : « Katmandou, c’est un pays ou personne s’occupe de toi, tu es llbre, chacun falt ce qu’il veut. [… ] Tu sais ce qu’est le Paradis, toi? Moi, j’imagine… Cest un endroit où personne ne t’oblige, personne ne te défend… Ce que tu as besoin, tu le prends pas aux autres, les autres te le donnent, et toi tu donnes ce que tu as… On partage tout, on aime tout, on aime tous.

On n’a que de la joie » Cependant donnes ce que tu as… On partage tout, on aime tout, on aime tous. On nia que de la joie » Cependant, des centaines de jeunes ayant pris la route de l’Orient rares sont ceux qui en sont revenus. En effet, nombre d’entre eux ont « flippé » (dans le langage hippie, « flipper » signifie rester sous les effets d’une drogue à vie), sont morts de maladies, se sont suicidés dans les montagnes, sont tout simplement devenus fous ou sont morts d’overdose. http://flowers-riot. blogspot. fr/2012/02/iii-katm an dou-le-haut- lieu -de-la-drogue_25. tml Vishnu Nârâyana est la forme du Seigneur allongé sur les multiples anneaux du Serpent Shesha (=Ananta), flottant sur les eaux, qui figurent les vestiges de la manifestation suspendue. L’Univers se dissout alors dans son état sans forme, que l’on représente comme l’Océan Causal. Dans les nombreuses images de cette forme de Vishnu, on voit souvent émerger du nombril du Seigneur un fil au bout duquel se dresse un lotus, sur lequel est assis Brahmâ, le dieu qui bientôt présidera à la nouvelle manifestation de l’univers.

Une déesse hindoue vivante choisie à l’age de quatre ans. Tradition fusionnelle hindoue et bouddhiste Inspiré d’un article d’AFP – Juillet 2001 ) KATMANDOU. une petite Népalaise de quatre ans a été choisie cette semaine, au terme d’une sélection ardue, pour incarner une déesse hindoue vivante et vierge, conformément à une tradition qui remonte au XVIème siècle. La jeune élue, Preeti Shakya, sera désormais la déesse Kumari, divinité protectrice de l’antique royaume himalayen. La précédente déesse avait atteint l’âge de 12 ans. La puberté marqu royaume himalayen. arquant la fin du règne de Kumari, les prêtres hindous ont dû se mettre en quête d’une nouvelle incarnation de la divinité. Mals ne devient pas Kumari qui veut. Les candidates doivent, en premier lieu, appartenir au clan Sakya, prêtres placés au sommet de la hiérarchie bouddhique du royaume, et plus particulièrement à une des familles Sakya vivant dans un des 18 monastères bouddhistes de Katmandou. La nouvelle Kumari, issue d’une famille Sakya de Itumbahal, dans la vallée de Katmandou, est aussi la petite-fille d’une artiste illustre, Siddhi Ratna Shakya. La candidate doit également être un enfant pur, à tous les égards.

La moindre égratignure sur le corps ou la moindre dent qui manque l’élimineront d’office. La tradition exige qu’elle réponde ? quelque 32 exigences physiques avant d’être choisie. Enfin, avant d’être choisie, elle doit passer une nuit toute seule plongée dans le noir total, dans un milieu terrifiant (entourée entre autres de têtes de vaches ou de moutons), au milieu de cris terrifiants, afin de prouver qu’elle a le courage d’un être divln, ? l’exemple de Kali, déesse hindoue de la guerre. Bien entendu, la petite fille doit conserver le calme le plus absolu.

La nouvelle déesse va désormais se préparer à mener une existence bien sérieuse pour une petite fille. Elle vivra recluse ans son temple, le Kumari Char, en plein centre de Kathmandu, et aura très peu de contacts avec la population. Les touristes peuvent cependant facilement, moyennant quelques roupees, aller la photographier depuis la co touristes peuvent cependant facilement, moyennant quelques roupees, aller la photographier depuis la cour de son « petit palais en bois » ; la Kumari se prêtant assez facilment au jeu de se pencher par la fenêtre pour se laisser photographier… ar ailleurs, pour les Népalais, Kumari ne doit pas rire, nl même sourire pendant son règne. Le contraire présagerait d’un terrible ésastre pour le pays « C’est une déesse maintenant. Elle a été nommée mardi matin ? 1 1 h55 (06h10 GMT), moment choisi pour ses bons augures, après consultation des astrologues », a triomphalement annoncé son père. un témoin a rapporté les propos tenus à la petite fille : iTu seras désormais la nouvelle déesse et chacun viendra te voir pour recevoir tes bénédictions ».

L’enfant a répondu. « Je sais. Je deviendrai une bhabha (mot employé par les enfants pour désigner une déesse) ». une apparition publique est prévue en octobre, à l’occasion du grand festival annuel hindou, le « Dasain » Les Hindous et les Bouddhistes viennent recevoir les bénédictions de la déesse pendant toute la durée du festival, qui s’étend sur dix jours. Même le roi du Népal réclame la protection de la petite divinité.

De son côté, la précédente déesse, montée sur le trône sacré en 1995, a rejoint la vie ordinaire des huit autres Kumaris à la Un petit cortège de parents et de gardiens l’ont portée mardi dans un palanquin ouvert monté sur deux perches de bambou, jusqu’à la maison de ses parents, en ville. Quand son office prend fin, l’ancienne déesse reste sacrée aux eux de la plupart des Népalais, et il est peu probable qu’elle puisse un jo aux yeux de la plupart des Népalais, et il est peu probable qu’elle puisse un jour se marier.

LJne légende tenace qui fait un peu peur aux prétendants de l’ex Kumari : l’époux mourra dans l’année… Mais l’Etat assure aux Kumaris retirées une sorte de pension relativement confortable. http://wvvw. rationalisme. org/french/documents_kumari. htm www. rationalisme. org – free of copyrights – Veuillez simplement citer la source de ces documents si vous les utilisez, Merci Association FABULA une Kumari est une jeune fille vénérée comme une déesse ivante au Népal. La tradition des Kumaris (vierges en népalais) date du XVIIe siècle.

Elle consiste à isoler de très jeunes filles pour les adorer. Ces déesses vivantes sont l’incarnation de la déesse hindoue Durga représentée par des petites filles prépubères. Sommaire 1 La sélection 2 Les traditions autour des Kumaris 3 La vie habituelle des Kumaris 4 Le retour à la vie ordinaire 5 Bibliographie La sélection Des petites filles issues de familles bouddhistes sont choisies, dès l’âge de 3 ans, parmi des milliers de candidates par un comité de prêtres bouddhistes.

Elles doivent répondre à trente-deux ritères . ne posséder aucune cicatrice avoir de grands yeux ronds entourés de cils les bras longs, une excellente santé des dents blanches et régulières une peau douce et sans d démissionner le jour ou elle perd sa première goutte de sang ,la plupart du temps le jour de ses premières règles, pour revenir à la vie normale. Les traditions autour des Kumaris Ces jeunes filles doivent respecter différentes traditions en rapport avec leur statut.

Elles ne doivent pas marcher sur le sol, considéré comme impur, ne doivent shabiller que de rouge, symbole des déesses, et porter toujours une parure constituée u collier du cobra (symbole) et d’un trait au khol noir, qui selon la tradition éloignerait les démons. Le moindre de leurs gestes est observé et analysé, de ce fait, elles ne montrent que très rarement leurs émotions. Un sourire, ou des pleurs sont considérés comme de mauvais présages.

Chaque année en septembre, lors du festival Indra Jatra, les jeunes déesses participent à un rituel au cours duquel elles donnent au monarque régnant le pouvoir de gouverner pour l’année entière. La vie habituelle des Kumaris Le matin lorsque la Kumari se réveille, des kumarimis (des erviteurs) accourent a son chevet pour lui demander ce qu’elle veut manger. A part les nourritures interdites par la religion elle choisit ce qu’elle veut.

Après son déjeuner elle se prélasse dans une eau parfumée avec des pétales de rose pendant que les kumarimis lui frottent le corps. lJne fois séchée elle est longuement massée avec des onguents et des huiles sacrés, puis habillée et maquillée. Elle va ensuite se coiffer. Lors du maquillage une kumarimi lui trace une fine ligne jaune au dessus des sourcils puis peint de rouge la partie supérieure pour ensuite y dessiner le troisième œil (signe de l’omniscienc