JE VIS JE MEURS ( OUISE LARE) INTRODUCTION : biographie de louise labe + humanisme + playade + ecole lyonnaise PROBLEMTIQUE : nous nous interessons a la facon dont ce sonnet lyrique exprique la dualite du sentiment amoureux ainsi que le desorde qui l’accompagne. l) UN SONNET LYRIQUE ORIGINALE A) UN SONNET LYRIQ or 3 – Un respect de la str psycologique de la p logique de cet etat). I trins (etats tercets (explication l’explication Le lyrsime fait partie du sonnet traditionnel : le « je » domine, le poete par « je thematique : la joie et le malheur, l’amour devenu antite (avec un A majuscule). auteur expose dans son poeme les effets de Pamour dans les 2 quatrins et les porcedes dans les tercets. – Champs lexical de la possesisivlte autour de l’antithese « plaisir / souffrance » « je vis/ je meurs » « brule /noie » « chaud/froidure » « molle/dur louise labe empreinte a la forme lyrique traditionnelle des metaphore naturelle je brule » « je me noie » « je seche » « je verdoie B) UN SONNET ORIGINALE – La dimension enigmatique du sonnet jusqu’au vers 9, on ne amoureuse mais plutot un regard
Allitération negativite et durete du sentiment « dr » « tr – Amour allegorie : majuscule sans determinant Inconstamment = presque moitie du vers : insistance de l’etat Me = objet de l’amour qui est le sujet inconfortable l’amour est donc inconstant et prive le « je » sur tout contrôle « crois » et « certaine » = l’amour mene sa vie, ce qu’elle croit etre vrai et desavouer par la realite. – « il me » = « je » devient objet de « il » qui est l’amour sujet de verbe). reposition « re » = repetitif : souligne le caractere obsessionel de la passion et sugerre l’emprisonnement du sujet dans ramour. CONCLLJSION : Dans ce poeme si louise labe s’inspire de la lyrique amoureuse traditionnelle elle s’en emmensipe egalement en s’interessant plus au processus de la passion a la psychologie de l’amour qu’a la relation a l’autre. Elle ouvre la voie a un lyrisme nouveaux en insistant sur la dualite du sentiment et sur les effets de la passion autant d’approche qui connaitrons un ample prolongement dans la poesie amoureuse des siecles suivants ( les fleurs du mal, baudelaire).