Horace est une pièce de théâtre tragique de Pierre Corneille. En effet, Corneille respecte les caractéristique du tragique Tous dabard, Les dramaturges grecs choisissent généralement pour intrigue des légendes héroïques (connues du public). De la même façon, la tragédie classique privilégie les sujets antiques. Les héros de tragédie sont donc distants du public : ils n’appartiennent pas tout à fait au même monde. En effet, le sujet de Horace fut le combats entre 2 camps les Horaces et les Curiates. Deplus, il mets en scene des personnages de rang éléver.
Donc : Tulle : roi de Rame Horace : chevalier or 5 romain. Sni* to View : son fils : Gentilhomme d’Albe, amant de Ca Sabine, femme d’Horace et sœur de Curiace Flavian, soldat de l’armée d’Albe,. Ensuit, les personnages tragiques prouvent leur héroiÈrne dans un combat contre la fatalité. Placés devant des choix difficiles (le dilemme tragique), ces héros ne peuvent éviter un dénouement malheureux. En effet , Curiace est partagé entre son désir de voir Albe victorieuse, et sa peur de voir mourir son beau-frère et ami. Curiace Hélas I C’est bien ici que je do dois être plaint.
Ce que veut mon pays, mon amitié le craint. Dures extrémités, de
Camille Il faut bien que je pleure : Mon insensible amant ordonne que je meure ; Et quand Vhymen pour nous allume son flambeau, Il l’éteint de sa main pour m’ouvrir le tombeau. Ce cœur impitoyable à ma perte s’obstine, Et dit qu’il m’aime encore alors qu’il m’assassine. Que les pleurs d’une amante ont de puissants discours, Et qu’un bel œil est fort avec un tel secours ! Que mon cœur s’attendrit à cette triste vue ! Ma constance contre elle à regret s’évertue. N’attaquez plus ma gloire avec tant de douleurs, Et laissez-moi sauver ma vertu de vos pleurs ;
Je sens qu’elle chancelle, et défend mal la place : plus je suis votre amant, moins je suis Curiace. Faible d’avoir déjà combattu l’amitié, Vaincrait-elle à la fois l’amour et la pitié ? Allez, ne m’aimez plus, ne versez plus de larmes, Ou j’oppose l’offense à de si fartes armes ; Je me défendrai mieux con rroux, contre votre courroux, Et pour le mériter, je n’ai plus d’yeux pour vous : Vengez-vous d’un ingrat, punissez un volage. Vous ne vous montrez point sensible à cet outrage ! Je n’ai plus d’yeux pour vous, vous en avez pour moi ! En faut-il plus encor ?
Je renonce à ma foi. Rigoureuse vertu dont je suis la victime, Ne peux-tu résister sans le secours d’un crime ? p 47. 48 Dune part, Il y a le respect de la règle des 3 unités . * Un seul lieu . Rome et particulièrement la maison du Vieil Horace. * Unité de temps : une journée. ‘k Une seule action : la guerre Albaino-Romaine et juste après le combat des Horaces et des Curiaces. D’autre part, la pièce s’organise en cinq actes l’exposition (acte i), la progression de l’action (actes ii et iii), retardée par l’acte iv, puls le dénouement malheureux (acte v).
En effet, dans l’ Acte i Camille est Cauriace devais ce mariée mais malheureusement, la guerre fratricide qui éclate entre les deux villes rompt cette harmonie. Actes ii et iii, Cauriace et ses 2 frère sont choisie pour allez combatre contre horace et se frère. Horace père 2 frère et prend alors la fuit. Acte iv, Horace, en prenant la fuite, a cherché à fatiguer ses adversaires pour les affronter un par un. Les ayant tous vaincus, il a donné la victoire à Rome. Acte v, Camille désaprouve cette victoire car elle a perdu l’amour de sa vie donc Cauriace. lheureusement sont attitude a offensé sont frère, ce dernier la tuee. Pour finir , les heros vivent des situation déchiran offensé sont frère, ce dernier la tuee. pour finir , les heros vivent des sltuation déchirant mais sont prete a tuée c est proche pour honnorer sont pays. En effet Sabine et Camille sont bouleverser par ce combats car peut importe qui gagne ce combats , elle souffrira soit de la mort de ses frère soit la mort de sont marie pour Sabine et amand pour Camille. Sabine Je suis romaine, hélas ! puisqu’Horace est romain ;
J’en ai reçu le titre en recevant sa main ; Mais ce nœud me tiendrait en esclave enchaînée, S’il m’empêchait de voir en quels lieux je suis née. Albe, où j’ai commencé de respirer le jour, Albe, mon cher pays, et mon premier amour , Lorsqu’entre nous et toi je vois la guerre ouverte, Je crains notre victoire autant que notre perte. Rome, si tu te plains que c’est là te trahir, Fais-toi des ennemis que je puisse haïr. Quand je vois de tes murs leur armée et la nôtre, Mes trois frères dans l’une, et mon mari dans l’autre,
Puis-je former des vœux, et sans impiété Importuner le ciel pour ta félicité ? Je sais que ton état, encore en sa naissance, Ne saurait, sans la guerre, affermir sa puissance ; Je sais qu’il doit s’accroitre, et que tes grands destins Ne le borneront pas chez les peuples latins ; Que les dieux t’ont promis l’empire de la terre, Et que tu n’en peux voir l’effet que par la guerre : Bien loin de m’opposer à cette noble ardeur Qui suit l’arrêt des dieux et court à ta grandeur, Je voudrais déjà voir tes trou es couronnées, D’un pas victorieux franchi