Contexte historique 1927 : Le massacre de Shanghai Un des principaux évènements qui signe la rupture entre le Kuomintang et le Parti communiste chinois. Kuomintang : Plus ancien parti politique de la Chine Contemporaine ; parti politique nationaliste. Parti Communiste chinois : Parti dirigeant la Chine depuis 1949. L’intrigue de ce livre repose sur une réalité historique : le soulèvement communiste de mars 1927 à Shanghai, épisode de la Révolution chinoise qui transformera un pays et qui prit fin en 1949, avec l’établissement de la République populaire de Chine jusqu’à maintenant).
Depuis le 19e siècle, assurées des privilèg e Shanghai, Hong Kong convainquirent les p de la Chine contre le nes s’étaient rritoriales (Canton, se des révoltes qui ur la rénovation à Pékin, le dernier représentant de la dynastie mandchoue et contre les puissances coloniales. En 191 1, le philosophe chinois Sun Yat-Sen fonde le Kuomintang (Parti révolutionnaire, démocrate et nationaliste). Le gouvernement de Chine se situe à Shanghai, un lieu stratégique pour le parti et un endroit de soulèvements politiques.
Par la uite, en 1912, l’empereur abdlque et la Chi page Chine du Nord qui était sous son contrôle est livrée aux seigneurs de guerre (seigneur de guerre : exerce un contrôle
De juillet à Août de la même année, il y a une grande série de grèves (soulèvement Canton et Hong Kong) (Conquérants). A partir de ce moment, des différents fond surface au sein u Kuomintang (2 partis). En février 1926, les premières émeutes à Shanghai font rage. Le mois suivant, Tchang-Kai-Shek exécute son premier coup de force contre les communistes et les mois suivant, Tchang-Kai-Shek exécute son premier coup de force contre les communistes et les principaux membres de la gauche au sein du Kuomintang (Entente entre les deux partis).
Au printemps, le Kuomntang exerce son autorité sur toute la Chine. Offensive militaire contre la Chine du Nord commence. En eptembre, Han-Kéou, la ville la plus industrialisée du centre de la Chine passe aux mains de révolutionnaires. En Octobre, cette ville devient le siège officiel du gouvernement nationaliste qui est encadré par des conseillers soviétiques. Tchang-Kai-Shek, devenu commandant en chef de l’armée, établi son quartier général ? Nanchang, près de Shanghai. En février 1 927, il ya des grèves et des soulèvements armés contre le gouvernement (insurrection) en place à Shanghai.
Le 21 mars 1927, la 3e insurrection communiste éclate ? Shanghai, tandis que Chang-KaiLShek, à la tête des troupes ationalistes est aux portes de la ville. L’insurrection est réussie surtout dans les faubourgs, mais, les jours suivants, se crée un gouvernement municipal provisoire où les communistes sont en très nette infériorité, l’aile droite du Kuamintang détient le pouvoir. Le 31 mars, l’International (mouvement communiste) télégraphie au Parti communiste chinois d’enterrer les armes en possession des ouvriers pour éviter un affrontement milltaire entre eux et Tchang-Kai-Shek.
Le 12 avril, le des ouvriers pour éviter un affrontement militaire entre eux et Tchang-KaFShek. Le 12 avril, les milices ouvrières sont désarmées et comptent beaucoup de victimes au cours des affrontements. La plupart des dirigeants communistes sont arrêtés et exécutés. Livre important : Les Conquérants (Publié en 1 928) Il s’agit du premier des trois romans qu’il consacrera (sans autre lien entre eux) à l’étude de la condition humaine, à travers des épisodes de la lutte révolutionnaire dans la Chine contemporaine. Un narrateur venu d’Europe se rend par bateau en Chine.
II est particulièrement intéressé par les nouvelles qui viennent de Canton et de Hong-Kong où ont lieu des manfestations hostiles ? la présence européenne. Il fait escale à Saigon. Puis à Hong-Kong, le narrateur rencontre l’organisateur de la grève : l’Allemand Klein, dont il apprend beaucoup sur les évènements de Canton. Reprenant sa route en compagnie de Klein, le narrateur consulte dans sa cabine des fiches concernant le passé de Garine, un ami, chargé en ce moment de la propagande révolutionnaire ? Canton. Thèmes .
La solitude de l’être : La solitude est abordée de différentes façons. Une des façons st la solitude de Tchen, un terroriste. Au début du roman, Tchen doit assassiner un étranger et durant cet assassinat, Tchen prend conscience de lui-même et il découvre en lui un monde de profondeur PAGF durant cet assassinat, Tchen prend conscience de lui-même et il découvre en lui un monde de profondeur qui est alimentée par son sacrifice par la révolution. La mise à mort d’un être humain qu’il ne connait même as est comme soustrait au temps et cet instant est presque comme sacré.
Cest à cet instant que celui si prend conscience qu’en commettant un tel geste, il ombrera dans un monde où règne l’épouvante à la fois atroce et solennelle. C’est à cet instant que le personnage se rend compte qu’il était seul au monde après avoir commis un tel geste, il ne fait plus parti de la société. Il est un meurtrier, il est comme un étranger. Il est dans le monde du meurtre. Sa relation avec Kyo se détériore. La seule vraie personne en qui il trouve vraiment le réconfort est le père de Kyo, Clsors, qui était son maitre. Son engagement dans la révolution son lié à sa solitude, à la mort et au désespoir.
Gisors : Gisors, le père de Kyo, est le sage qui cède aux mirages de l’opium. Il est le miroir où viennent se refléter tous les personnages du récit, qui veulent se confier à lui. Il est seul même si tout le monde vient se confesser à lui et lui poser des questions. Il se sent surtout seul en ce qui concerne son fils. Il a l’impression de ne plus savoir qui il est. Il ne sait pas ce que son fils fat et il redoute le pire. un des remèdes qu’il a pour s’évader est l’opium. ce que son fils fait et il redoute le pire. Un des remèdes qu’il a pour s’évader est l’opium.
En fumant de l’opium, il a l’impression d’entrer dans un autre monde où tout est plus clair. Hemmelrich : Solitude pendant une partie du livre, car il est le seul à ne pas pouvoir aller se battre avec les autres, car il n’est pas un homme libre. En effet, il a une famille et il ne peut pas se permettre de mourir. Il n’arrive pas pleinement à s’identifier aux autres à cause de cela. Il a des responsabilités. Lorsque sa famille est assassinée, il est soulagé, dans le sens qu’il est enfin libre et qu’il va enfin pouvoir aller combattre et venger sa famille.
La tentation de terrorisme : Tchen, compagnon de Kyo, incarne la tentation du terrorisme. Dans son engagement politique, il découvre une pulsion fantasmatique : « le terrorisme devenait pour lui une fascination Y. Ce mysticisme obscur de la destruction, ce désir d’« une extase vers… vers le bas » le pousse à se lancer en kamikaze dans un attentat-suicide, du reste avorté, contre Chang-Kaï-Shek. La liberté : Liberté de l’être : L’opium : Dans ce livre comme à l’époque, la pratique est comme une fuite, une libértion. Qing Nur (Dynastie Mandchoue) Sun Yat-Sen Tchang-Kaï-Shek