Gestion Douleur

Gestion Douleur

Les acteurs du sanitaire et social : Partenaires de l’infirmier et du patient dans la prise en charge de la douleur. DEFINITION La douleur est définie par l’Association Internationale pour l’Étude de la Douleur (IASP) comme «une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en termes d’un tel dommage ». Mais nous pouvons retenir que différents types de douleurs es selon coexistent.

Nous pou Le mécanisme ph pa • La durée d’évolutio Sni* to View nextÇEge e type de patholog non maligne) . LA DOULEUR SELON LE CODE DE LA SANTE PUBLIQUE Plusieurs lois définissent la prise en charge et la douleur, ainsi que le rôle que chaque soignant se doit de tenir. En effet en provenance du code de la santé publique, nous pouvons retenir : L’artlcle LI 10-5 du code de la santé publique « toute personne a droit de recevoir des soins visant à soulager sa douleur. Celle- ci doit être en toute circonstance prévenue, évaluée, prise en compte et traitée…

La loi du 4 mars 2002 précise que l’équipe pluridisciplinaire se doit d’écouter et de ne pas laisser s’installer la douleur. Ainsi nous savons que la douleur est une émotion qui

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peut être ressentis différemment au vue de chaque patient ( sa personna personnalité, son expérience, son attitude… ). La complexité de ce mécanisme entraine donc une prise en charge consciencieuse, et adaptée à chaque individu. Pour ce faire au sein d’un établissement plusieurs acteurs du soins peuvent être concernés quant à l’évaluation ainsi qu’au soulagement de la douleur.

PRISE EN CHARGE ET ÉVALUATION DE LA DOULEUR Daprès L’institut UPSA Douleur, trois questions sont essentielles afin de déterminer de l’axe thérapeutique qui sera le plus efficace our soulager le patient de sa douleur. 1. Quel est le type de douleur ? S’agit-il d’une douleur aiguë « symptomatique » ou s’agit-il, au contraire, d’une douleur chronique (qui dure depuis plus de 6 mois), véritable « douleur maladie », qui traduit l’existence d’une séquelle (lésion nerveuse périphérique ou centrale) ou d’une maladie évolutive. . Quel est le mécanisme générateur de la douleur ? Il est important de différencier par l’interrogatoire et l’examen clinique, les trois mécanismes à l’origine de la douleur : origine nociceptive, origine neuropathique, origine psychogène ou diopathique lorsqu’il n’existe ni lésion tissulaire ni lésion nerveuse décelable. 3. Quelle est l’intensité de la douleur ? Cette question permet d’évaluer la sévérité de la douleur, d’apprécier et suivre l’efficacité des traitements prescrits. our cela, on utilise des outils appelés « échelles » qui permettent soit une mesure globale (échelle unidimen *AGF 9 rif s outils appelés « échelles » qui permettent soit une mesure globale (échelle unidimensionnelle), soit une mesure multidimensionnelle différenciant différentes dimensions de la douleur. ‘évaluation de la douleur et les moyens mis en place au sein ‘un établissement permettent une prise en charge rapide et adapté pour le patient.

Ainsi qu’une facilité au vue de la communication inter-professionnel au vue de la transmission ( tracabilité des soins, tout est situé dans un même dossier.. ) LES DIFFERENTS ACTEURS DANS LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR Dans la prise en charge du patient et de sa douleur les acteurs sont nombreux. En effet cela met en faveur d’une pluridisciplinarité des intervenants. Chaque professionnel de santé impliqué auprès d’un patient se doit de détecter tout signe de douleur potentiel pour l’évaluer et mettre en place un raitement adapté aux besoins du patient.

Médeclns Quelle que soit la spécialité (médecin généraliste, cardiologue, chirurgien, etc. ), la prise en charge de la douleur est une obligation. Cest un acte de soin et, à ce titre, le médecin se doit de tout mettre en œuvre pour tenter de la soulager, mais il n’est pas tenu à une obligation de résultat qui consisterait à faire disparaître la douleur. Il doit donner des soins consciencieux, attentifs et conformes aux données acquises et actuelles de la science. artlcle 4127-37 :« En toutes circonstances, le médecin doit s’efforcer de soulage