Germinal

Germinal

Germinal Plus de figure de style. gradation déscendante métaphore comparalson personification alegorie travail sur le titre germinal = 21 mars au 19 avril (cadre spa-temps) en effet ce mois s’accorde avec le titre germinal qui signifie fermentation et developement de la seve de mars en avril selon le calendrier republic du 3 brumaire an Il ( oc germe d e I r e . Sni* to View Intro: convention national us faire ref au vrier.

En 1885, Zola, romancier naturaliste du XIXe siècle, fait paraître Germinal un roman dans la lignée des Rougon -Macquart, qui retrace la dure vie des mineurs dans le Nord de la France et énonce les inégalités sociales ainsi que les premier mouvement de grève et les revendications des droits sociaux. Le naturalisme se définit en tant que mouvement littéraire influencé par les sciences, la médecine expérimentale et les débuts de la psychiatrie.

Renforçant certains caractères du réalisme, Zola vérifie dans ses romans le rôle du déterminisme social et biologique sur l’individu et le groupe. Cet extrai est l’incipit du roman. I-Un incipit informatif: lorsqu’il tourne à gauche. Marchiennes est une ville qui existe vraiment vraiment dans le Nord Pas de Calais même si Montsou est un endroit inventé

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par Zola. La saison et même l’heure sont donnéesde manière précise: l’homme est parti « vers deux heures » et marche « sous la nuit sans étoiles ».

Le « vent de ars » nous renseigne sur la période de l’anné, de même que les « terres nues » et « le froid », qui indiquent l’hiver. b-Le protagoniste: Le personnage principal, Etienne Lantier, n’est pas encore nommé dans cet incipit. Désigné comme « un homme », « il » puis « l’homme », il est le point central et nous suivons son cheminement. On sait déjà qu’il n’est pas vieux (il marche « d’un pas allongé »), ue c’est un « ouvrier sans travail et sans gîte » et le « coton aminci de sa veste » montre qu’il ne doit pas être très riche.

C’est un homme hérant. Il appartient donc à la classe ouvrière, mais n’a pas d’emploi. c-Le thème de la mine: Les informations tel que le « tas écrasé de construction » faisant référence au cauront des mineurs aisin que l’allusion à la « fosse » présantent ce roman dans le milieu des mineurs. Transition: Ainsi cet extrait remplit son rôle d’incipit en informant le lecteur sur le roman et en intrigant le lecteur qui est témoin ès ces première lignes de l’affrontment entre cette homme solitaire et son environnement.

Il-Un face-à-face: l’homme contre son environnement: a-Une nature hostile: Le paysage qui entoure l’h de: la plaine est « rase », les entoure l’homme est aride: la plaine est « rase », les terres « nues », et le sol « noir ». Le ciel lui même est menaçant comme le souligne le champ lexical de l’obscurité: « sans étoiles », « d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre ». L’antithèse « l’embrun aveuglant des ténèbres » souligne la noirceur du paysages.

La température est autre élément hostile: le vent est mniprésent (« souffles du vent de mars, des rafales larges ») et même personnifié, en effet les « lanière du vent d’est » semblent indiquer que le vent cherche à fouetter Etienne. b-La faiblesse de l’homme: Le paysages est vide et écrasant pour un personnage seul qui marche dans ces immenses plaines et les seul signe de vie humaine sont des maisons « aux toitures basses » et « un tas écrasé de constructions », qui reste « au ras du sol’ Face à la nature qu’on sent puissante et furieuse (le vent fouette, le sol semble « une mer »), Ihomme paraît bien faible

A la merci du vent il est présenté comme pauvre et souffrant physiquement (ses mains saignent à cause du froid) Transition: Cest donc bien un sentiment d’angoisse et de solitude qui soustend cet incipit, dans lequel le protagoniste se retrouve face à un paysage hostile. L’atmosphère est rendu plus inquiétante par l’apparition d’une étrange vision. Du réalisme au fantastique: a-Glissement des point de vue: Alors que dans les deux premiers paragraphes, le narrateur déroule le d’un point de vue tour à tour externe (observation du personnage) et omniscient (le narrateur décris les pensées: ‘