TABLE DES MATIERES Introduction Générale. Chapitre : Histoire et création de la Banque Extérieure d’Algérie (B. E. 2. Historique de la Banque Extérieure 1. 1 Création et Fonctionnement de la . E. A…. 1. 2 Missions et tâches de la — . 2. Organisation Administrative et Structurelle de la … 3 2. 1 Organisation de la filière 2. 1. 1 Les structures opérationnelles. 2. 1. 2 Les structures or 179 . 9 2. 1. 2. 1 Direction des ga Moyennes Entreprise D. E. P. 2. 1. 3 Les structures 2. 1. 3. 1 Le comité de 2. Le rôle de la 3. 1 La collecte des dépôts…. es ressources à . 0 3. 1. 1 L 3. 1. 2 Les ressources à terme…. s et…. Chapitres Il : Présentation de la Petite et Moyenne. Entreprise (PME) / Petite et Moyenne Industrie (PMI) 1 . Définition de la . . … 25 1. 1 Les atouts de la 1. 2 Les PME / PMI : de l’origine à nos jours……. 1. 3 Les traits communs à l’ensemble des PME/PMI……. .32 Les données économiques, une orientation sur la — … 33 Algérie………… 4 2. 1 Données globales sur le tissu des PME/PMI…. 2.
Les conséquences directes et la maitrise des risques de crédit. • 105 Les conséquences directes des risques du crédit… La maîtrise des risques du crédit………. . La couverture des risques par la prise de garantie. … 108 Définition de la garantie… Sûretés Le cautionnement…. L’aval…….. L’hypothèque conventionnelle.. Le nantissement……. — ….. 108 … 111 . ….. 1 11 ………. 112 …. 1 12 Chapitre V : Montage des dossiers de crédits d’exploitation.. — 115 ressources confiés à la . ……….. 118 Niveau d’utilisation des crédits …. 118 Les incidents de paiement. . …… 19 La collecte des informations concernant le client………. . … 119 Le service des renseignements commerciaux… 120 Le service des renseignements juridiques…….. 120 . Diagnostic économique et financier de la PME/PMI….. L’analyse rétrospective…………………….. — …… 12 Analyse du bilan… … 122 Les prlncpaux retraitements….. …………….. 122 Les principaux postes d’un bilan financier…………… 1 26 Analyse du tableau des comptes de résultats…. …. 128 Analyse de l’équilibre … -128 Conclusion… . Chapitre VI : Financement des…. 133 PME/PMI au sein de la B.
E. A. Typologie de financement de la PME/PMI par la B. E. A…… — . .. 1 34 eprise……. ………… 158 134 Crédits accordés par le siège . Crédits autorisés par les agences. Répartition sectorielle.. Autres crédits accordés par la Crédits à la consommation Emploi de jeunes, créatio ……… 146 …… 150 …….. 157 . … 157 frontières. Dès lors, diverses politiques économiques ont vu le jour dans plusieurs pays. La mondialisation, appelée souvent par abus de langage « économie de marché est la politique économique ayant touché le plus grand nombre de nations.
Afin de répondre aux exigences de cette politique, la plupart des pays ont été contraints d’apporter des changements dans leurs appareils économiques. Cela s’est traduit notamment, par la valorisation es PME, considérés comme créatrices d’emplois, et des réformes du système bancaire ont été institués. La décennie 80, a été caractérisé par une crise résultant des déficits budgétaires très importants, du second choc pétrolier et la hausse de la plupart des cours des autres matières premières.
Cette crise a été également l’occasion de remettre en cause certaines valeurs, traditionnellement admises (grande taille des entreprises, centralisation… ), laissant place à de nouvelles idées, qui sont la petite échelle, l’initiative locale, la décentralisation et l’innovation. C’est dans ce contexte que les PME/PMI sont revalorisées. « Humainement gérables », créatrices d’emplois, grandes capacités d’innover et peu « demanderesses de capitaux s, les PME/PMI vont être une reponse incontournable aux problèmes engendrés par la crise et notamment, celui du chômage. rincipe de spécialisation, d’autre part (à titre d’exemple, le nombre d’entreprises commerciales est passé de 10 à 80 ; Celui des entreprises de bâtiments de 04 à plus de 40). Parallèlement , de nombreuses entreprises locales sont crées par collectivités locales, tant par les communes que par les wilayas. Le Financement de rexploitation des PME/PMI Introduction Générale Toujours dans cette optique , le secteur privé, où les PME/PM sont prépondérantes, est réhabilité.
D’abord , par la loi 82-11, du 21108/1982, ensuite, par la loi 88-25, du 12/07/1988, qui rétablit les chambres de commerce et rend plus accessible le crédit bancaire au secteur privé, longtemps marginalisé, et entravé le financement du secteur privé, par les banques publiques, subit un changement, avec l’ouverture du secteur bancaire à la concurrence. Dans cette perspective, le système bancaire et financier n’est pas resté en arge, puisque c’est à lui qu’échoit la mission de financement. A cet effet, il a été restructuré, dans un sens de spécialisation.
Ainsi, le Crédit populaire d’Algérie (CPA) a donné naissance à la Banque de Développement Local (BDL), chargée du financement des entreprises locales. La Banque Algérienne de Développement Rural (BADR), née de la Banque NaTlonaIe Algérienne (BN , quant à elle, du recettes supplémentaires en devises. Cest dans ce but qu’un certain nombre de mesures d’encouragement au financement des entreprises ont été prises. L’institution d’un secrétariat aux PME/PMI en 1992 et dont le remer responsable est un patron d’une PME, montre, si besoin est, l’intérêt que porte l’Etat à ce type d’entreprises.
A ce jour, le paysage financier et bancaire algérien s’est largement modifié durant ces dernières années, avec la promulgation de la loi 90-10 du 14 avril 1990 relative à la monnaie et au crédit, la fin de la politique dencadrement de crédit, et l’installation de banques étrangères. Ainsi, la banque algérienne se doit de maîtriser son métier davantage car elle est appelée à exprimer une vraie volonté de changement pour assurer un certain niveau de compétitivité.
Le Financement de l’exploitation des PME/PMI Dans ce contexte, le crédit est l’activité première de la banque tant par la place qu’il occupe dans le bilan des établissements de crédit, que dans le produit net bancaire. Il représente une part importante dan l’actlvité économique. par ailleurs, l’Algérie se prépare, depuis quelques années, ? adapter les principes de l’économie de marché ouverte à toute concurrence nationale et/ou 8 DF17q tirées des hydrocarbures. Pour juguler la crise, les autorités ont été amenées à définir un vaste programme d’ajustement structurel conditionné par le Fond
Monétaire International « FMI Dans ce contexte, le secteur des Petites et Moyennes Entreprises constitue un atout essentiel permettant de concrétiser une rapide relance de l’économie au profit de tous et à moindre coût. Si elle a la faculté de concrétiser les objectifs en matière d’emploi croissance, elle peut également améliorer sensiblement le réseau de propagation du bien-être et permet beaucoup plus, que les grands complexes industriels, l’aménagement correcte du territoire en favorisant l’utilisation rationnelle de l’espace.
Par conséquent, la PME représente un vecteur de développement ssentiel dans tout système économique. Toutefois, la PME en Algérie est confrontée ? plusieurs problèmes dont, essentiellement, raccès au financement bancaire, problème récurrent dans la plupart des pays ; Toutefois, en Algérie, il prend une autre dimension. Cette notion de besoin de capitaux est, fondamentalement, liée à la vie et au développement des PME / PMI. v trésor de recueillir une part considérable des revenus fiscaux. Le défi économique majeur est le développement d’un secteur prive qul pourrait se substituer aux entreprises d’état, comme créateur de richesses et ’emploi. Ily a lieu de souligner, qu’en Algérie, la plupart des PME/PMI sont capitaux privés. C’est pour ce motif, à tort ou à raison, que les PME/PMI sont vite assimilées au secteur privé, bien que des PME/PMI, de capitaux publics ou mixtes, existent.
Toujours est-il, un problème demeure : c’est leur financement. Par ailleurs, les politiques, les journalistes, les chefs d’entreprise s’accordent à dénoncer une « incapacité des banques à assumer leurs responsabilités vis-a-vis des entreprises en matière de financement. Cette remarque concerne essentiellement les petites et moyennes ntreprlses qui sont littéralement asphyxiées par la crise économique et l’inertie du secteur bancaire.
Selon le point de vue du partenariat privé, les banques, continuent d’exiger de lourdes garanties pour l’octroi de crédit. Les banquiers se défendent, bien sûr, de toutes les accusations dont ils sont l(objet en avançant que la crise et le taux de faillite des PME, notamment, dans le secteur du BTP, ces dernières années, se sont traduites dans les bilans des banques, par une forte augmentation des provisions car le secteur bancaire lui aussi, frappé par la crise, doit rétablir ses PAGF ID OF