Exemple de commentaire : Amélie Nothomb

Exemple de commentaire : Amélie Nothomb

Introduction Cet extrait est issu d’un célèbre roman d’Amélie Nothomb, Le sabotage amoureux. Elle est née le 13 août 1967 à Kobe au Japon, et est une écrivaine belge francophone. Elle écrit des romans, des contes, des pièces de théâtre, des nouvelles et quelques textes de chansons notamment pour Juliette Gréco. Elle partage sa vie entre la France et la Belgique, et une partie d’elle reste tournée vers le Japon, la Chine et les Etats-Unis où elle a vécu durant son enfance.

Elle a reçu plusieurs prix importants comme le Grand prix du roman de l’Académie française en 1999, le Prix de Flore en 007 et enfin, le Grand Prix Jean Giono en 2008. Ses principales œuvres sont Stupeur ors du prince et enfin so 2è Le sabotage amoure écrtt publié chez Albin M à 1975, dans la cité-g ve ni d’Adam, Le Fait N algie heureuse. deuxième roman vie en Chine de 1972 . Elle retrace son enfance, l’amour à travers une idéale de beauté enfantine cruelle et encore, la guerre en décrivant les batailles incessantes dans les rues de la Swipe to View next page la cap ‘tale. Le plan de ce commentaire est le suivant : l.

Une imagination débordante

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Il. une guerre monstrueuse Tout d’abord, Amélie Nothomb déborde pleinement d’énergie. Elle compare son vélo avec un grand cheval (l. 1), un fidèle destrier. Peut être voulait elle un cheval quand elle était petite. D’ailleurs, le mot « sabotage » dans le titre renvoit à sabot (cheval) et à âge (enfance). A la même ligne, elle parle de « ventilateurs » et fait donc une hyperbole en parlant sûrement du vent qui lui souffle dessus à bord de son vélo. Sa monture est décrite comme « créée à [son] image » ce qui montre son inspiration à se créer un monde irréel. ?? Avoir trop d’air dans le cerveau » (l. 2) signifie qu’elle ne savait pas et donc qu’elle était inconsciente à cause de son âge et de sa pensée. Elle se compare à « la beauté du monde » (l. 14), dit que tout, dans la Cité des Ventilateurs, est hideux sauf elle. Elle se montre donc très vaniteuse ou peut être que c’est, encore une fois, son imagination qui lui fait croire cela. Avec la créativité de son enfance, l’auteur réussit à rendre la guerre plus heureuse et en quelque sorte à l’éviter mais qui est en réalité affreuse.

Enfin, la Chine est frapp t en quelque sorte à l’éviter mais qui est en réalité affreuse. Enfin, la Chine est frappée de la guerre. La romancière la décrit avec les « raclements de gorge » (l. 20/21) qui sont en fait le bruit des véhicules militaires. Le ghetto où elle vit est énormément touché par cette guerre. Le champ lexical du dégout avec « vulgairement», « laideur « crachats hideux », « créatures « vomi « raclements de gorge « effroyable » montre la véritable identité de Pékin durant cette période de conflit. « Pékin sentait le vomi d’enfant » (l. ) révèle également comment étaient les quartiers de la ville, peut être avec des enfants seuls à chaque coin de rue ou atteins de maladies. Amélie a l’interdiction de parler aux Chinois et doit même se faire identifier par des gardes pour rentrer dans le ghetto, de peur qu’elle ne soit une espionne malgré son jeune âge. Conclusion : En conclusion, cette œuvre est un parallèle entre la vie d’une petite fille imaginative et une affreuse guerre qui va bouleverser sa vie. Etre parmi les conflits et les bombardements, lui laisse une inspiration passionnée.