EXEMPLE

EXEMPLE

[Nom de la société] Rapport de Stage or61 Sni* to View l. Introduction 3 3 2. Technologies vues pendant le stage 4 A. SQL Server 4 B. ASP. net4 C. Linq to SQL 4 D. Entity Framework 4 E. -relerik 5 F. TFS5 Plusieurs projets, un seul présenté 6 A. B. Ce que fait 6 7 4. Le client et la documentation 7 . nterface de rapplication10 Interface utilisateur 10 certifiés et reconnus en tant qu’experts par Microsoft. 1. Technologies vues pendant le stage A. SQL Server SQL Server est un système de gestion de base de données (SGBD) très répandu commercialisé par Microsoft.

La première ersion, développée en partenariat avec Sybase est sortie en 1989 sur les plateformes Unix et OS/2. SQL Server est un SGBD transactionnel. C’est-à-dire qu’il peut préparer des modifications sur les données d’une base et les vallder, ou les annuler d’un seul bloc. Ce qul garantit l’intégrité des données stockées dans la base. Ainsi on parle de Transact SQ pour le langage utilisé pour manipuler les bases sous SQL Sewer, alors que pour les bases Oracle par exemple on parle de PUSQL pour Procedural Language / Structured Quey Language.

B. ASP. net ASP. NET est un ensemble de

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technologies permettant de évelopper des sites web dynamiques, des applications web, ou encore des web services XML créé par Microsoft en janvier 2002. Ce langage est utilisable sur un serveur web supportant ASP. Ce qui dans la plupart des cas se résume à l’héberger sur un serveur C. Cinq to SQL Linq to SQL est un composant du framework . NET 3. 5 qui offre une infrastructure de gestion de données relationnelles sous forme d’objets.

Linq to SQL va mapper le modèle d’une base de données sous forme de modèle objet dans le langage de programmation utilisé, en l’occurrence en . NET. Ce framework ermet de gérer plus facilement tout un pan de la sécurité de l’applicat 61 . NET. Ce framework permet de gérer plus facilement tout un pan de la sécurité de l’application, il ny a plus à se préoccuper des injections SQL tant redoutées dans la plupart des applications web. De plus il apporte une plus grande souplesse, et surtout une facilité d’utilisation qui fait gagner énormément de temps de développement sur l’application.

D. Entity Framework Entity Framework est assez proche de Linq to SQL dans la mesure où il permet de gérer une base de données avec un modèle objet généré par le framework à partir du modèle elationnel. La différence avec Linq to SQL est qu’Entity est plus récent, et est, grossièrement, la version aboutie de Linq to SQL. Il est plus simple, mieux optimisé, et permet plus de choses. E. Telerik Telerik est une société qui propose de nombreux outils pour le développement d’application.

Les solutions Telerik vont de la bibliothèque de contrôles AJAX pour ASP. NET au Content Management, en passant par les logiciels collaboratifs (proche, par exemple, de TFS dont nous parlerons plus tard). En l’occurrence nous avons utilisé Telerik pour ses contrôles AJAX pour ASP. net. TPS ou Team Foundation Server est ce que l’on appelle une « forge logicielle » c’est-à-dire, un système de gestion collaboratif de logiciel. Cet outil est directement intégré dans Visual Studio et permet de gérer les versions des applications en cours de développement.

En plus du versionning TFS apporte une sécurité non négligeable dans le développement e 3 1 développement. En plus du versionning TËS apporte une sécurité non négligeable dans le développement en équipe. En effet il est possible de bloquer l’extraction d’un fichier pour travailler dessus sans courir le risque qu’un autre développeur ouvre ce ichier à son tour pour le modifier, ou y faire des ajouts. De plus il permet de facilement déployer sur n’importe quel poste avec un environnement de développement adéquat, l’application en cours de réalisation.

Ainsi un développeur peut rapidement s’y greffer pour travailler sur l’application en cas de besoin et revenir sur ce qu’il faisait avant, sans perdre de temps. 2. Le projet A. Plusieurs projets, un seul présenté projet était en fin de développement, il s’agissait de l’application Cobra développée pour La-ser pour des tests pharmaceutiques. La seconde application était une application de gestion des ontrats en interne, nous n’allons pas nous étendre sur cette application car elle a été mise en stand-by au profit du projet.

Mais il est intéressant de noter que c’est au cours de ce projet que j’ai eu l’occasion de travailler avec Entity Framework. Ce projet a permis au pôle développement de tester Entity pour potentiellement [‘utiliser dans de futurs développements. Le projet qui sera présenté dans ce dossier est le projet, qui est très proche du projet Cobra. Il utilise les mêmes technologies, et a été développé pour la même société pour d’autres tests pharmaceutiques. Sil a été choisi de présenter seulement 1 société pour d’autres tests pharmaceutiques.

S’il a été choisi de présenter seulement ce projet, c’est parce que c’est le seul des trois qui peut être présenté du début de sa conception, à la fin de sa réalisation. L’application est utilisée dans une étude observationnelle dans le milieu pharmaceutique pour évaluer l’efficacité, la sécurité et les effets sur la qualité de vie liés à la prise d’un traitement de la Sclérose en plaque en pratique courante. Il s’agit d’une étude multicentrique et internationale sur une durée de trois ans. Cette ?tude regroupe 8 pays ainsi que 25 centres et 365 patients.

Cette application va remplacer les formulaires papiers que les médecins remplissaient lors de chaque visite d’un patient participant à l’étude, le but est non seulement de rendre cette tâche plus simple pour les médecins et leurs assistants, mais aussi de faciliter l’étude des données ainsi regroupées. Le client et la documentation Le client nous envoi les documents nécessaires au développement de l’application au fur et à mesure de l’avancement de leur rédaction, ce qui nous permet de commencer une partie de développement avant d’avoir la ocumentation définitive.

Parmi ces documents nous retrouvons les et les spécifications de la base de données. Un est un Case Report Form, il s’agit d’un document papier, ou electronioque utilisé spécifiquement dans le domaine médical pour les tests pharmaceutiques. Voici donc un exemple de ces deux documents : Cet exemple correspo PAGF s 1 pour les tests pharmaceutiques. Voici donc un exemple de ces deux documents : Cet exemple correspond à une table qui devra être présente dans la base de données de l’application.

Nous pouvons constater que le document est très complet, on trouve ici toutes les nformations indispensables à la création des scripts SQL. Voici donc un exemple de . Il s’agit de l’interface de rapplication, ou dans le cas de cet exemple, de l’affichage de la page 1 du questlonnaire Baseline. On peut constater ici que la page est découpée en plusieurs parties. Chacune de ces parties correspondent à une table dans la base de données. De plus la page est découpée en user control.

C’est-à-dire qu’il existe un user control pour chaque table de la base de données destinée 3. Interface de l’application Nous allons maintenant présenter l’interface de l’application. Toute la partie design a été réalisée par un prestataire extérieur, nous ne nous attarderons donc pas sur cet aspect du projet. A. Interface utilisateur Voici donc la page de démarrage de rapplication pour un médecin. Quand l’administrateur créé le compte du médecin il lui attribue un numéro de centre, ainsi qu’un nombre de patients maximum.

L’utilisateur peut ensuite générer des patients. Chaque colonne du tableau que l’on peut voir ci-dessous correspond à une étape de tests. Par exemple Baseline possède 12 pages (QMedStep1 à 12) chaque page possède un ou plusieurs formulaire. La colonne Month 3 quant à elle possède 8 pages. O 6 1 page possède un ou plusieurs formulaire. La colonne Month 3 quant à elle possède 8 pages. On constate que les tests sont différents entre la première visite (baseline) et la visite après trois mois (month 3), de même pour month 6 etc.

Dans l’exemple suivant nous sommes remplir les autres formulaires il est nécessaire de remplir certains champs de la première page : les initiales du patient, et la date de la visite. Regardons de plus près à quoi ressemble cette première page. Nous pouvons constater qu’elle est découpée en trois parties, haque partie correspond à un user control et chaque User control correspond à une table dans la base de données (Il y a quelques exceptions à cette règle dans l’application, comme par exemple le form SMD_VSN2 qui posais trop de problème ? découper selon cette règle. . On peut voir dans cette page les deux informations qu’il est nécessaire de renseigner afin de pouvoir accéder aux autres pages de rapplication. B. Page d’administration Passons maintenant à la page d’administration de Contrairement à la plupart des applications l’administrateur n’a ici qu’un seul droit : créer des comptes, activer les comptes, bloquer les omptes. Même si un administrateur peut se créer un compte de médecin, il ne peut pas vair ce qui a été enregistré par les autres médecins : il n’a pas accès aux mots de passe des utilisateurs.

Dans cette première impression d’écran nous pouvons voir comment s’affiche la liste des utilisateurs de Il s’agit ici 7 1 impression d’écran nous pouvons voir comment s’affiche la liste des utilisateurs de Il s’agit ici tout simplement d’un RadGrid fournis par Telerik avec le skin par défaut. Dans cet autre exemple nous pouvons voir comment l’administrateur créé un compte. Ce qu’il est intéressant de oter ici c’est que l’administrateur ne peut pas mettre de mot de passe par défaut, ou en changer.

En effet les mots de passe sont générés aléatoirement à la création du compte et envoyés à l’adresse e-mail renseignée par Padmin, ensuite l’utilisateur est dans l’obligation de changer le mot de passe à sa première connexion. C. Code — les visltes Regardons mainte nant de plus près a quoi ressemblent les pages QMedStep et plus particulièrement le code ASP qui les composent. Il y a trois parties intéressantes à regarder dans cet exemple, chacune étant distinguée par un cadre de couleur différente. On constate que les pages aspx contiennent au final très peu de code grâce à l’utillsatlon des use control.

On peut en distinguer trois dans cette page, il s’agit des cadres rouges. Les trois premières balises sont, en quelque sorte, celles qui permettent d’instancier les forms. On y retrouve l’adresse du fichier, le tag name, et le tag prefixe. Ces deux derniers éléments des balises permettent de créer une alise asp nomée spécifiquement pour le user control que l’on souhaite appeler, c’est ce que l’on constate en observant le deuxième cadre. L’ID quant à lui (dans les balises ) sert dans le code fi onstate en observant le deuxième cadre. L’ID quant à lui (dans les balises ) sert dans le code fichier aspx. cs de la page, si nécessaire.

La deuxième partie, en bleu, est ce qui permet de gérer l’AJAX dans la page, elle est particulièrement importante car tous les contrôles Telerik sont en AJAX, et toutes les pages utilisent ces contrôles. La page doit donc posséder un objet ScriptManager, et les contrôles doivent se trouver dans un UpdatePanel. Quant à la troisième partie il s’agit de la partie qui affichera les messages d’erreurs si les validateurs dans les pages ASCX renvoient « false » à la fonction args. IsValid. D. Code — les user contro Regardons maintenant de plus près les User Control dont nous avons tant parlés dans les chapitres précédents.

Comme nous l’avons déjà dit, chaque user control correspond ici a une table dans la base de données, à deux exceptions près. Les User control sont des fichiers ASCX qui peuvent être appelés dans les pages . ASPX sous la forme de balises ASP. Les pages ASPX peuvent contenlr un ou plusieurs user controls. Regardons maintenant de plus près à quoi ressemble ces fichier dans Visual Studio. Tous les user contrôles de l’application sont fait de la même anière. C’est-à-dire que les éléments sont placés à l’aide d’un tableau ASP plutôt qu’un tableau HTML classique.

Bien que cette méthode soit très peu pratique à utiliser dans le mode design de visual studio, elle permet de manipuler les tableaux dans le fichier ascx. cs, c PAGF 61 mode design de visual studio, elle permet de manipuler les tableaux dans le fichier ascx. cs, ce qui est nécessaire dans les pages où il est nécessaire de générer des lignes dans le tableau facilement. Sur ce screen on peut constater à plusieurs endroit la présence de trois Ces caractères désignent les cellules vides ans les tableaux ASP. Voici donc à quoi ressemble notre user control quand on passe en mode source.

Il n’y a ici que deux choses de plus à remarquer. Les textes des labels ne sont pas mis entre la balise ouvrante et la balise fermante mais dans un attribut « Text Ce choix a été fait pour que l’application puisse être facilement portée en plusieurs langues. Il suffira de changer l’attribut Text des labels de chaque page pour passer d’une langue à l’autre. La deuxième chose à noter est la présence d’un évènement sur la CheckBox, l’évènement « OnCheckedChange La possibilité de créer des ?vènements sur les contrôles est un des avantages d’ASP. et sur d’autres langages Web comme le PHP, il ny a pas besoin ici de faire intervenir de javascript. Cet évènement fait que si l’on active la CheckBox tous les autres contrôles deviennent inutilisables. E. Les Validateurs Une des préoccupations au cœur de ce projet concerne la cohérence des données saisies par les utilisateurs. En effet si les informations sont incomplètes, ou mal saisies, cela peut changer les résultats de l’étude en cours. Pour éviter les incohérences un gros travail a été effectué sur les val