or 17 Etude Sectorielle Sni* to View SECTEUR DU LOGEM UNIVERSITAIRES Année universitaire 2013Q014 VILLES entre 12m carré et 20m carré. La première résidence universitaire crée est celle de Jean Zay à Anthony en 1955. Elle compte 2500 logements. Un logement étudiant est un logement qui est réservé à une population poursuivant ses études. Ce secteur est donc réservé principalement aux jeunes. Après avoir passé le BAC, beaucoup d’étudiants quittent le domicile familiale afin de poursuivre leur études. On appelle ses étudiants les « décohabitants ».
Pour ce qui est des villes universitaires, nous allons nous concentrer uniquement aux logements étudiants en France. Les logements étudiants dans les VIIIes universitaires sont t-ils une opportunité ou une menace pour les jeunes ? l) Logements étudiants dans les villes universitaires PAG » 7 Le Dossier Social Etudiant (DSE) doit être déposé chaque année entre le 15 Janvier et le 30 avril : les logements sont attribués tous les ans et non pour la durée des études. Un étudiant accepté une année peut donc se voir refusé l’année scolaire sulvante.
Les chambres des cités universitaires (également appelées ités IJ) gérées par le CROUS constituent la solution la plus économique pour les étudiants : 1 50 € par
Il existe quelques TB mais en petit nombre. Ces logements ouvrent droit à l’Aide Personnalisée au Logement APL). Les foyers pour étudiants Il existe plusieurs types de foyer : • Les foyers d’étudiants : en règle générale gérés par des associations (principalement religieuses) et fermés pendant les vacances universitaires. • es foyers de jeunes travailleurs : en principe réservés aux ouvriers, aux employés ou apprentis de 16 à 25 ans, ils peuvent ouvrir exceptionnellement leurs portes aux étudiants qui répondent aux critères ci-dessus et aux ressources modestes.
Qui dit foyer, dit règlement intérieur, souvent strict notamment pour les horaires de repas, d’ouverture et de fermeture des portes. Souvent réservés aux étudiantes, les foyers étudlants proposent des chambres individuelles ou des chambres pour 2 à 3 personnes, pou foyers étudiants proposent des chambres individuelles ou des chambres pour 2 à 3 personnes, pour 380 à 540 € par mois en moyenne. Le prix varie selon le type d’hébergement : pension complète, demi-pension. L ‘hébergement en foyer de jeunes travailleurs ouvre droit à l’Aide Personnalisée au Logement (APL).
Les logements sociaux pour étudiants Un logement social est un logement destiné, par un organisme public ou privé, à des personnes à revenus modestes qui auraient es difficultés à se loger sur le marché libre. La loi MLLE de 2009 a adouci les conditions de location dans le parc HLM afin de développer une offre de logements sociaux réservés aux étudiants et apprentis. Par dérogation, des organismes HLM peuvent ainsi louer quelques uns de leurs appartements, meublés ou non, aux étudiants, sans tenir compte du plafond de ressources.
Il est cependant notoire que ces logements sont majoritairement éloignés des lieux universitaires car souvent situés en périphérie des grandes villes. Les logements sociaux de type HLM sont rares, les conditions ‘accès restent strictes, même si elles ont été pour partie assouplies. Leur accès dépend de la composition de la famille de l’étudiant, de l’ancienneté de sa demande mais aussi de ses conditions de logements et de ses difficultés à faire face aux frais de logement.
Pour accéder à un logement social étudiant, il faut s’inscrire sur les listes d’attente (office HLM de la commune ou DDE) et renouveler sa demande chaque année. Les étudiants locataires d’un logement social ne bénéficient pas du droit au maintien dans les lieux et doivent demander le renouvellement du contrat de location 13 u droit au maintien dans les lieux et doivent demander le renouvellement du contrat de location tous les ans, sous réserve qu’ils respectent toujours les conditions qui leur ont permis d’accéder au logement (notamment être encore étudiant).
Comme pour les logements du CROUS, le renouvellement n’est pas acquis automatiquement. Certains logements sociaux de type HLM sont gérés par le CROUS. Les logements sociaux étudiants, qui sont conventionnés, ouvrent droit à l’Aide Personnalisée au Logement (APL). Les résidences étudiantes privées Les résidences avec services de type commercial, dont certaines ont destinées principalement aux étudiants, se sont multipliées ces dernières années en raison d’avantages fiscaux accordés aux investisseurs particuliers.
Les studios ou les appartements proposés par ces résidences sont meublés et plus onéreux que les logements proposés « directement » par les bailleurs privés en raison des services collectifs qui sont proposés et « inclus dans le prix Ces services sont variés (laverie, foyer, salle de ym, mais doivent nécessairement comporter au moins 3 des 4 prestations suivantes : • petit-déjeuner • nettoyage régulier des locaux ?? fourniture de linge de maison • réception Contrairement à une fausse idée très répandue, les contrats de location proposes par ces résidences (Estudines, Lauréades, Studélites, Appart’Etudes, Nexity Studéa… ) sont strictement réglementés et relèvent de la législation des meublés. Ces résidences ne sont pas conventionnées et les étudiants ne peuvent donc pas bénéficier de l’AP’ mais de l’ALS. Il existe également des résidences conventionnées, qui ouv pas bénéficier de l’APL, mais de l’ALS. Il existe également des résidences conventionnées, qui ouvrent donc droit à l’API.
Elles ressemblent aux résidences avec services de type commercial (logements meublés, présence de services collectifs) mais leurs loyers sont plus abordables. Il peut s’agir de logements HLM ou de logements privés proposés par des organismes sociaux comme le CROUS ou par des associations à but non lucratif. Les bailleurs privés Lorsqu’un étudiant ne peut pas obtenir de logement auprès du CROUS, ni de place en foyer, il lui est toujours possible de s’adresser à des bailleurs privés. Soit directement avec le propriétaire avec LocService, soit par l’intermédiaire d’une agence immobilière qui demandera des frais 1 mois de loyer hors charges en moyenne).
Les bailleurs privés sont la catégorie qui propose le plus de logements et certains souhaitent même ne louer qu’à des étudiants, notamment grâce au bail étudiant. La colocation pour étudiants La colocation est possible dans certains logements du CROUS, dans les logements sociaux pour étudiants et auprès des bailleurs privés. Cette solution attire de plus en plus d’étudiants qui tendent ? l’idéaliser (moins de frais, convivialité, mais qui peuvent vite déchanter si les colocataires ne s’avèrent pas correspondre ? leurs attentes. Chaque bailleur peut accepter ou non de louer son logement en colocation et c’est généralement et également lui qui choisit le nombre de colocataires. our connaitre les spécificités de cette façon de se loger, nous vous invitons à lire notre article sur la colocation entre étudiants. » b) Les villes universitaires invitons à lire notre article sur la colocation entre étudiants. » Une ville universitaire est une ville abritant une université d’importance variable selon les situations ou qui tient une place importante dans la ville où elle est située. Elles sont généralement lassées selon leurs offres de formation, la vie étudiante, les sorties pour les étudiants, l’offre d’emploi, les transports, l’offre culturelle, le logement et l’environnement Dans cette étude nous allons nous concentrer sur les villes universitaires françaises.
Classement générales des 20 premières villes étudiantes par l’Etudiant. Rang 2013- 2014 Villes Evolution par rapport à 2012-2013 Grenoble + 1 place 2 Toulouse – 1 place Montpellier 4 PAGF70F17 et le type de logement On peut remarquer ici que c’est à l’âge de 20 ans – 21 ans qu’une majorité d’étudlant quitte le domicile familiale pour vivre en ogement individuelle. On peut également voir que les résidences collectives sont très peu utilisé, le maximum étant de pour les étudiants de moins de 18 ans. b) Facilité pour trouver un logement Sur cette enquête, l’OVE à interrogé les étudiants vivant en dehors du domicile familiale.
On peut donc voir ici que peu importe le lieu où vis l’étudiant, un sur deux estime qu’il a trouvé facilement son logement. pour les résldences collectives, des étudiants estiment qu’ils ont trouvé très facilement, contre 4,6% qui disent avoir trouvé très difficilement, ce qui est une réussite. ) Jugement sur les cités universitaires Ici on peut voir comment les étudiants jugent les cités universitaires. On peut remarquer que les points les plus positifs concernent le prix, la sécurité et la propreté, alors que les points les plus négatifs sont la taille des logements, les espaces collectifs et enfin le calme apparemment peu respecté. ) Type de logement et équipement du logement On peut voir ici qu’il est plus judicieux pour un étudiant de choisir un logement individuelle plutot qu’une résidence collective car dans presque chaque logement individuelle il est possible de rouver une cuisine des wc et une salle d’eau, ce qui n’est pas toujours le cas dans les résidences collectives. Notamment la cuisine qui est présente environ une fois sur deux dans les résidences collectives 3. es chiffres clés En 2011, 1 étudiant sur 2 déclare avoir des difficultés à trouver un logement e PAGF 3. Les chiffres clés logement en 2011. Pourquoi ? Tout d’abord car lors de la rentrée 2012-2013, sur les 2. 2 millions d’étudiants français, 1. 4 milllons compte vivre en dehors du domicile familiale. Il est donc très difficile de tous les loger.
De plus, en 2010, des étudiants 1 50 000 places) peuvent bénéficier des cités universitaires. A SAVOIR : 87,2 millions d’euros ont investis par le CNOUS dans le logement étudiant en 2011 2000 étudiants ont bénéficié en 2013 de la caution locative qui ? permis aux étudiants de famille monoparentales de trouver un logement plus facilement. Cette caution locative à été financé par le ministère de l’enseignement supérieur, la caisse des dépôts et le crédit coopératif Fin 2013, la France à atteint les 600 résidences étudiantes, ce qui représente 169 000 places consacrées aux étudiants. Néanmoins ela est insuffisant, sachant que le nombre d’étudiants augmente chaque année.
Les étudiants qui ont accès aux résidences du CROUS bénéficient d’ALS et se voit donc attribuer entre 86 et 355 euros pour les aider à s’acquitter de leur loyer Chaque année 1 million d’étudiants fait une demande de logement auprès du CROUS. Mais le nombre de résidence étant insuffisant, l’organisme ne peut satisfaire toutes les demandes Face aux obstacles rencontrés par les étudiants dans leur recherche de logement, ils seraient de plus en plus à choisir la colocation. Cest une facon conviviale d’économiser. La colocation permet l’accès à des surfaces bien plus grandes, mais aussi une réduction du loyer indéniable. Ainsi d’après une étu surfaces bien plus grandes, mais aussi une réduction du loyer indéniable.
Ainsi d’après une étude de l’INSEE réalisée en février 2013 ils étaient 1,6 million de personnes en France à avoir choisi la colocation. 40 000 logements étudiants devraient voir le jour dans les cinq années à venir, d’après une étude de l’INSEE réalisée en 2012. Il) Les grands tendances du marché 1 . Les deux tendances qui peuvent faire changer le marché Depuis le début du XXI ème siècle, les études supérieures ont beaucoup changés. D’après un article du Monde de février 2014 ont peut voir que cinq grandes tendances ont recomposé l’environnement des bacheliers 2014. Dans cette étude j’ai donc décidé de citer une partie de cet article car deux de ces tendances nous intéresse. ? Enseignement supérieur : les cinq grandes tendances DES ÉTUDES DE PLUS EN PLUS LONGUES Des études de plus en plus longues Mener 50 % d’une génération à bac + 3 en 2020 : c’est l’un des objectifs réaffirmés en 2013 avec la loi d’orientation sur l’enseignement supérieur. En élevant le niveau de qualification des actifs, il s’agit de se maintenir dans la course mondiale à l’innovation. A l’heure actuelle, 43 % d’une classe d’âge est diplômée du supérieur, bac + 2 inclus. On se situe donc sur une courbe ascendante puisque 32 % des jeunes entrés au collège en 1995 ont décroché au minimum un niveau licence contre 26 % de la promotion 1989. D’ailleurs, selon l’observatoire de la vie étudiante, les étudiants de premier cycle ont tendance à se projeter de plus en plus loin. Si 22 % d’entre eux espéraientpoursuivre au-delà du bac + 6 en 2010, ils sont 32 % en 2013 à formuler ce s 17