etude maman

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Période située entre le moyen âge et période classique plus précisement vers la fin du 14ieme siècle au début du 17 ieme siècle, la renaissance est une rénovation artistisque littéraire et scienctifique. Elle commence d’abord en Italie et finit par se propager dans tout le l’europe. Dans le domaine de la médécine, de très grandes découvertes se font. Avant tout, fhomme a besoin de maitriser son anatomie. Il s’interroge sur son âme mais aussi sur son corps.

Il ne peut que se fier à l’anatomie décrite par Galien qui se basait sur la structure du singe. Ce modèle comportait sans doute des erreurs. De ce fait, l’homme connaissait encore bien mal la structure Swipe to nex: page de son corps. Les an étudier le fonctionne rares, contrôlées par nous persuader que Cependant, Il est ess PACE 1 or7 dissections pour s, elles restent L’église veut veloppe de Dieu. inimum de connaissances anatomiques peu importe dans quel domaine de la médécine on se trouve.

Le plus grand anatomiste de la Renaissance est sans doute le flamant André vasale surnomé le père de l’anatomie. Il nait ? Bruxelles dans une famille en 1514 dans une famille de médécin. e qui l’amène à voir durant son

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enfance de nombreux cadavres et squelettes nettoyés par les oiseaux . Voila donc vient son inspiration. Après un séjour à Pise, Vésale rejoint Charles Quint ? Bruxelles et devient son son premier médecin personnel. Il perpétue ainsi la longue tradition de service à l’Empire de sa famille. ? la suite de ses études il démontrer clairement que les descriptions anatomiques réalisées par Galien correspondaient aux corps de singe et non d’homme. Malheureusement les erreurs de Galien sont encore enseignées comme un dogme dans les universités d’Europe ccidentale sans contestation. En 1546, écœuré par la meute des galiénistes irréductibles qui comptaient nombre d’anatomistes contemporains, il abandonne l’étude de l’anatomie, il brûle ses manuscrits et quitte Padoue, retourne à Bâle ou il enseigne quelques temps.

Ce fut en 1555 qu’ii va publie en 7 volumes un traité d’anatomie appelé De Humani Corporis Fabrica. Le texte est illustré par des planches réalisées par le lui et l’un de ses élèves. Vésale y dénonce 200 erreurs de Galien et des Anciens. par exemple Vésale décrit parfaitement les valves ardiaques, le diaphragme, les adducteurs, le sternum, et la cloison interventriculaire qui devait être selon Galien un espace percé de trous.

Le premier volume présente un tableau détaillé des os et des articulations, Le deuxième propose une conception fonctionnelle de la musculature, Le troisième est consacré aux systèmes artériel et veineux, Le quatrième à la moelle épinière et au système nerveux pérphérique, Le cinquième traite du tube digestif, et des organes de la reproduction, Le sixième sur (cœur et organes voisins), le septième une description du cerveau et des organes des sens. Vésale fut aussi un thérapeute et un c PAG » rif 7 septième une description du cerveau et des organes des sens.

Vésale fut aussi un thérapeute et un chirurgien et tous ses qualités firent de lui un médecin au sens le plus complet du Après Vésale, le plus illustre artisan anatomiste serait sans doute l’italien Gabriel Fallope. Il nait à Moderne vers 1523 et décède à padoue a 1562. 11 est surtout connu en anatomie puisqu’il a donné son nom a certaines parties du corps humains tel que les trompes de fallopes , appareil sexuel féminin il était également célèbre du coté de la chirurgie.

Bartolomeo Eustachi, savant anatomiste et médecin italien, a analysé le fonctionnement de la trompe de l’oreille, à qui il a donné son nom, et a analysé la circulation lymphatique et les dents la majorité des anatomistes de la renaissance était des italiens ? l’exeption ,de l’allemand Gonthier d’Andernach médecin né en 1487 à Andernach mort à Strasbourg en 1574. Maitre de vésale , il va traité des muscles et vaisseaux de la main et découvre le pancréas. et de l’allemand Salomon Alberti qui nait en 1564 et décède en 1847 décrira à son tour les valvules veineuses et voies rinaires.

Dans le même temps, Charles Estienne, médecin imprimeur français, élabore d’importants principes dans le fonctionnement des nerfs et des os ; Médécin espagnol, Michel Servet devine quant à lui le principe de la circulation pulmonaire . Ces découvertes en anatomie humaine ont profité grandement à l’essor de la chirurgie et dans tous les domaine de la médécine. Le développement de l’anatomie accompli, il n’en PAGF3C,F7 dans tous les domaine de la médécine. Le développement de l’anatomie accompli, il n’en était pas de même des autres disciplines médicales.

Cependant uelques praticiens ont su faire des anticipations géniales, dans l’identification des maladies infectieuses et leur mode de transmission; l’ophtalmologie, l’urologie et l’obstétrique connaissent aussi leur part de renouveau. l’anglaiswilliam Harvey démontra irréfutablement le mécanisme de la grande et de la petite circulation ; sa description du phénomène circulatoire devint un modèle de recherche scientifique. Il accomplit ses expériences sur plusieurs espèces animales puis découvre le rôle primordial du cœur dans la propulsion du sang.

Au milieu du 17 ieme Philosophe, mathématicien, astronome et édecin de Diane de Poitiers et de Henri Il , Jean fernel serait le père de la physiologie moderne. Le francais tentera également de faire des prédicton avec son ami nostradamus. Canvaicu de la primauté de la philosophie sur la médecine, il réussit à rajeunir et à revaloriser pour ainsi dire l’œuvre de Galien, en la dégageant de la gangue d’apports confus et obscurs qui ‘avait alourdie au cours des siècles.

Il à écrit: Sept livres traitent de la physiologie, décrivant les différentes parties du corps et leurs usages, les éléments et les tempéraments divers, les esprits et la chaleur interne, les onctions et les humeurs, et enfin la génération. Trois livres traitent de la pathologie ; Fernel y décrit les maladies, leurs causes, leurs signes et symptômes, le pouls et les urines. Sept I décrit les maladies, leurs causes, leurs signes et symptômes, le pouls et les urines. Sept livres traitent de la thérapeutique, décrivant des cas de guérison, la saignée, les purgatlfs, l’usage et l’action des médicaments.

Selon l’ alchimiste et le médécin paracelse « L’homme est un composé chimique; les maladies ont pour cause une altération quelconque de ce composé: il faut donc des médicaments himiques pour combattre les maladies.  » Ainsi, paracelse est donc le « grand-père » de la chimiothérapie moderne et de « homéopathie. le suissien a introduit la pratique de l’emploi des composés chimiques et a donné d’excellentes notions sur un grand nombre de médicaments comme l’opium, le mercure, l’arsenic, le soufre, l’antimoine surtout. Lui par contre sera contre l’oeuvre de galien. il souhaite que la médecine s’attaque directement aux soins sur le corps et ne reste pas dans des grands discours et des incantations. Il eut aussi le père de la chirugie Ambroise Paré. Les travaux u francais ont porté, outre la chirurgie, sur l’urologie, l’ophtalmologie, la stomatologie, la physiologie sexuelle, l’obstétrique, la médecine légale. Médécin italien ,Santorio a été l’un des premiers à s’approcher du concept appelé maintenant « métabolisme Il a utilisé ou inventé des instruments pour mesurer la température du corps et le pouls, introduisant la quantification.

Il a découvert que les poumons émettaient de l’eau. II a inventé — et utilisé pendant trente ans — une balance où il était lui-même le sujet de l’expérience ou il mesure et com ‘expérience ou il mesure et compare les apports et les pertes de poids chez l’homme. Il est d’usage de situer la naissance de la psychiatrie moderne au XVI e siècle. Depuis les temps les plus reculés, les troubles mentaux ou nerveux étaient attribués à une origine surnaturelle.

Cest ainsi que Le Suisse Félix Platter rédige le premier, un essai de classification des psychopathies l’apport de la Renaissance a été beaucoup plus substanciel en pathologie infectieuse. Jérôme Fracastor en est le principal artisan. crée une discipline nouvelle : l’épidémiologie. Il dégage e rôle fondamental de la contagion et affirme l’existence de micro-organismes Infectants. Il traite de la syphilis ou de la grande vérole communément appelé a cet époque avec rigueur.. L’origine vénérienne de l’affection fut très vite reconnue et sa contagiosté fut assez vite admise d’une façon presque unanime.

Par conséquent La gravité du mal fut compensée sans délai par le recours à une thérapeutique opérante (le mercure et le bois de gaïac). D’autres maladies infectieuses retinrent également l’attention. . Cardan différencie l’éruption du typhus de celle de la rougeole et nsiste sur sa transmission par les parasites du corps (puces). la rage par Jean Bauhin. la dysenterie par Fabrice vonHilden. la fièvre scarlatine est observée par Ingrassia et Jean Coyttard , les symptômes de la grippe sont décrits par Lusitanus.

Guillaume de Baillou apporte des précisions sur la variole et entrevoit décrits par Lusitanus. entrevoit le croup de la diphtérie et identifie la coqueluche Fracastor projeta des idées nouvelles sur la tuberculose A partir de la pathologie infectieuse, la notion de contagion (directe, indirecte ou à distance) entraîna la création de l’hygiène ublique dont le médecinn israélite David de Pomis fut un des premiers à établir les règles pratiques dans son ouvrage : « Courts et eficaces moyens de préserver une cité d’un mal contagieux » en 1 577.

L’imprimerie leur permet de composer des livres d’anatomie illustrés et de transmettre leurs connaissances. Avec la reproduction massive des documents, le livre scientifique prend de l’ampleur dans toute l’Europe. ceci a donc pour conséquence de contrer l’ignorance des Occidentaux de l’époque. La Renaissance a donc entraîné une véritable révolution ibératrice dans l’histoire de la médecine et des médecins. Mais beaucoup d’efforts méritoires sont demeurés vains et sans effets pratiques.

La plupart des faits observés et des théories émises durent être redécouverts par la suite. Ainsi, à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe, les grandes professlons de médecins, chirurgiens, apothicaires, sont individualisées et s’organisent à un niveau universitaire au plan européen. La rationalité et la démarche scientifique et humaniste s’installent alors dans ces métiers et ouvrent le chemin de la médecine moderne.