embranchement des microspora et ciliophora

embranchement des microspora et ciliophora

Embranchement des Microspora Les microsporidies sont dépourvues de mitochondries et sont, de ce fait, des parasites intracellulaires obligatoires. Elles sont fréquemment parasites d’insectes et de poissons, mais on en trouve également chez de nombreux autres animaux, y compris chez l’Homme. Elles se développent généralement chez un seul hôte. Leur cycle de développement comprend une mérogonie (un méronte donne deux mérontes) et une sporogonie (une méronte donne deux sporontes, qui donnent des sporoblastes, qui se transforment en spores). Les spores sont unicellulaires. e infestante, le or7 sporoplasme, qui est uni olaire, polaroplaste, cuole l. Classe des Rudimc d rusion (filament re) Ces microsporidies sont peu nombreuses et présentent un filament polaire rudimentaire. Ce sont des hyperparasites de grégarines parasites d’annélides. Ex. Metchnikovella sp.. Il. Classe des Microsporea Ordre des Microsporida Sous ordre des Apansporoblastina. Le développement se déroule en contact direct avec le cytoplasme de la cellule hôte. Ex. Nosema sp. et Unikaryon sp. sont parasites. Ex. Paramyxa sp. Cours protistes. Llcence de Blologie 1ère année 2004.

B. Marchand Embranchement des Myxozoa Leurs spores sont d’origine multicellulaire. Elles possèdent au moins une capsule polaire et sont limitées par au moins deux cellules valvaires. Les sont tous parasites. On les divise en deux classes

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Myxosporea PAG » rif 7 Paramecium caudatum La paramécie est une cellule de grande taille (150 à 300 gm de long), qui se déplace très rapidement grâce au battement coordonné de ses cils vibratiles. Toute la surface de la cellule est recouverte de cils. Chacun possède à sa base un centriole et une racine ciliaire.

Entre les centrioles, on trouve de petites pointes, les trichocystes, qui, sous l’influence d’excita-tions externes, peuvent être projetés à l’extérieur de la ellule. Ce sont des organites de défense et d’attaque. Une face de la cellule, dite face ventrale, présente une profonde dépression en forme d’entonnoir, le péristome. Au fond du péristome se trouve une ouverture, le cytostome, suivie d’un canal le cytopharynx. Les particules alimentaires pénètrent dans le péristome, puis dans le cytostome et le cytopharynx avant d’être entraînées dans le cytoplasme profond de la cellule où elles sont digérées.

Les vacuoles pulsatiles, associées à des cana-licules, sont des organites particulièrement bien développés chez les ciliés. Leur emplacement est fixe (une antérieure et ne postérieure). Elles se gonflent (diastole) et se vident (systole) alternativement. Le Mthme dépend de la température ambiante. Il est d’environ 8 à 10 pulsations par minute à 25 oc. *AGF 3 c,F7 Il s’étire puis s’étrangle en son milieu sans apparition de chromosomes. Le micronucleus se divise par orthomitose.

Il s’agit d’une mitose rudimentaire avec apparition de chromosomes, mais sans participation de centriole, ni disparition de l’enveloppe nucléaire. Le cytoplasme s’étrangle puis se coupe en son milieu, après formation d’un nouveau péristome et de deux nouvelles vacuoles pulsatiles. Lorsque aramécies vivent dans un milieu de culture suffisamment riche, la division se produit tous les jours (2 à 3 fois pour certains ciliés). Mais, lorsque le milieu de culture s’épuise, le rythme ralentit, puls reproduction apparaît sexuee la par conjugaison. b) La conjugaison.

Lorsque deux paramécies niugaison, elles s’accolent fois de suite. Il se forme ainsi huit noyaux. qui se répartissent en deux groupes. Les quatre noyaux du groupe antérieur 6 s’accroissent pour devenir des macronuclei. Dans groupe postérieur, trois noyaux dégénèrent, un seul subsiste devenant un micronucleus. On obtient ainsi, a artir de chaque cellule oeuf, une paramécie avec quatre macronuclei et un micronucleus. Cette cellule se divise deux fois de suite par mitose simple du micronucleus et avec répartition sans division des quatre macronuclei.

On obtient ainsi, huit cellules à partir des deux paramécies entrées en conjugaison. Chez d’autres Ciliophora, les modalités de la conjugaison sont un peu différentes, mals, dans tous les micronucleus Kinetofragminophorea Sous Classe des Gymnostomatia Ex. Didinium sp. Il ne possède pas de ciliature buccale différenciée. Cest une espèce prédatrice paralysant ses proies à l’aide de ses trichocystes. Sous Classe des Vestibuliferia Ex 1. Balantidium coli parasite de l’homme et du porc. Il vit dans le gros intestin où il peut provoquer des ulcérations.

Ex. 2. Ophryoscolex sp. C’est un ciliophora anaérobie, qui vit en symbionte dans la panse des ruminants et dans le caecum des équidés. Sous Classe des Suctoria Cest l’ancienne classe des Tentaculifères ou Acinétiens. Les Suctoria présentent des caractères très particuliers en raison de leur vie fixée et souvent parasitaire. Ils perdent tous leurs cils à l’état adulte, mais les formes juvéniles sont libres et présentent des rangées transversales de cils. Les adultes sont généralement fixés ? un support par un pédoncule non contractile.

Ils n’ont pas de cytostome, mais ont des tentacules suceurs, qui leur servent à déglutir leurs proies, qui sont essentiellement de petits ciliés. Ex. Acineta sp. La reproduction se fait par bourgeonnement externe chez les exogenia et par bourgeonnement interne chez les endogenia. Ordre des Exogenia. Ex. Ephelota gemmiparia Sur la face supérieure de la cellule, le cytoplasme se soulève réalisant plusieurs petites saillies dans lesquelles le macronucleus envoie des Cours Protistes. Licence de Biologie 1ère année 2004. B. e forme un seul bourgeon. Ordre des Endogenia. Ex. Tokophria sp.

Le bourgeonnement est interne. Il se fait dans une invagination du sommet de la cellule mère, réalisant une poche incubatrice. La conjugaison intervient également chez les Suctoria. Mais, le plus souvent, il n’y a pas de séparation des conjuguants. On assiste alors à la fusion des cytoplasmes. Chez Tokophria sp. , les conjuguants sont identiques. II y a donc isogamie. Par contre, chez Ephelota gemmiparla, les conjuguants sont de taille différente. Il Y a donc anisogamie. Cours Protistes. Licence de Biologie 1ère année 2004. g. Classe des Oligohymenophorea Sous Classe des Hymenostomatia Ex.

Paramecium caudatum Sous Classe des Peritrichia Ex. C arche siu m sp. , Ce sont des sortes de Vorticelles vivant en colonie, fixées sur un même pédoncule ramifié. Les Vorticelles se trouvent fréquemment sur les plantes aquatiques. Elles y sont généralement fixées par un pédoncule qui peut s’enrouler et se détendre à la manière d’un ressort. Elles peuvent momentanément quitter leur pédoncule et devenir libres. Leur péristome est situé sur la face opposée au pédoncule. Il est entouré d’un bourrelet sur lequel se trouvent des cirres et des membranelles. Classe des Polymenophor