ÉCONOMIE SEMESTRE 2 Manuel de Jacques Généreux = « économie politique » QCM 20min 30 question, une seule réponse juste, pas de sanction si non reponse Economie politique : – Déduire de la politique une économie, ex le cas de l’école mercantiliste qui apparait à la renaissance : « Le principe, le souverain, doit accumuler les metaux précieux, pour financer une armée et une police, donc pour assurer l’ordre à l’intérieur et la sécurité extérieur L’économie est au service de la politique.
Déduire une politique de l’économie, main visible d’Adam Smith, 1776, la richesse des ire, laisser passer libéralisme économi ique poursuivent leurs intérêts, on abo ire ar une sorte de Snipe to ornique à une main invisible = le m incidence politique c rché aura tendance à se substituer à la main visible du souverain, du prince. Ily a dans le libéralisme politique, un message politique, on peut donc parler avec l’économie, d’une économie politique. INTRODUCTIN GENERALE : Epistémologie : condition de la connaissance économique, condition de validité du savoir économique.
Quel est le caractère scientifique de ce que l’on peut dire sur l’économie. Objet : Ce à quoi s’intéresse le savant dans une discipline donné, mais il ne suffit pas de
Le biologiste : étudie les êtres vivants, ex : la cellule est un objet pour le biologiste L’économiste : étudie l’échange. A une économie évolué, accorde une très grande place ? l’échange, dans les économies primitives, il n’y a pas d’échange, il y a malgré tout une activité économique. Mals dès l’antiquité il y avait des échange. La science économique : études de la production, de la circulation, et de la consommation des richesses. Production offre de bien, le producteur vend sa marchandise, « offre le bien sur un marcher D.
L’offre rencontre la demande, la demande est faite par les consommateurs et donne lieu à une consommation. Lorsque foffre rencontre la demande, il y a échange ou circulation es richesses. : Il faudra distingué entre les sciences de la nature, Remarque 1 (physique ou biologie), et les sciences de la culture. La différence entre les deux : – Dans les sciences de la nature, les objets ne sont pas dotés de liberté de rationalité, l’électron de l’atome ne pense pas et n’est pas libre.
Le cas des animaux pose un problème, on peut dire que l’étude des animaux les différencie des êtres humains, car l’humain peut dominer son instinct. PAGF OF humains, à la différence des animaux, ajoutent à la nature, des créations ils sont aux principes d’œuvres de culture. On a donc ffaire à des « objets très singuliers puisqu’ils sont des sujets, qui s’objectivent dans des œuvres de culture, ils produisent des objets. Ex : la science politique : science du pouvoir, être humain qul créer des institutions politiques et qui les font vivres au jour le jour, dont la principale est l’État.
Ex : Le fonctionnement des groupes humains se traduit par l’émergence de normes sociales. L’études des normes sociales, produites par les individus, sont le résultat de convention, d’accord, et sont étudier par la sociologie. Ex : La science économique : c’est une science de la culture, car n a affaire à des sujets (agents économiques) qui produisent des objets (biens et services), les animaux ne produisent pas, ils satisfont leurs besoins selon la loi de l’instinct.
Mais ils ne produisent pas que des biens, par la négociation, ils finissent par déterminer des prix sur le marché. Le prix est extérieur aux échanges et devient indépendant des individus qui échangent. Les prix acquièrent une autonomie, et sur un marché les agents sont souvent dans la position où ils seront contraints d’adopté le prlx, « prlce-taker Le prix a été prodult par des échanges. Ce processus de sujet – objets est Vobjet de la science économique, on pourra parler de structure.
Le prix du bien A = 10€ = 2x le prix du bien B Le prix du bien B = € structure de prix. La monnaie a été créée par des individus au traité de Maastricht. Remarque 2 : Les sciences résultent de l’activi OF créée par des individus au traité de Maastricht. Remarque 2 : Les sciences résultent de l’activité scientifique, le savent qui étudie un objet, lorsque fon commence l’étude d’une science, il importe de remonter de l’objet qu’il connait pour s’intéresser aux conditions subjectives de la connaissance cientifique.
Le savant, ne se contente pas d’enregistrer passivement les phénomènes. Le savant a un rôle actif, il prend l’initiative, dans la construction de la connaissance scientifique. Emanuel Kant à insister sur la connaissance du savant, il compare le travail du savant, à celui d’un policier qui mène un enquête. « Si toute connaissance commence avec l’expérience, il ne s’en suit pas que toute connaissances viennent de l’expérience. ? – Le savant appréhende son objet munit de cadre intellectuel, qui existe indépendamment de l’expérience, de cadre apriori. Les objets sont intuition de l’espace et du temps -Les concepts a priori, les catégories, (la relation de causalité). Le savant muni du principe de causalité, essaye par le biais de théorie, d’expliquer les phénomènes. Chez Kant par la sensibilité, les phénomènes sont donnés, grâce aux intuitions pures de l’espace et du temps et par l’entendement les phénomènes sont pensés et connus.
Dans le travail de l’économiste on retrouvera ces deux temps. Le phénomène est donné par les statistiques, la statistique à une fonction équivalente, à celle de la sensibilité dans la construction e la science physique. L’économiste, pour élaborer les statistiques, procède à des définitions formulé a priori, indépendamment du phénomène, (la mesur statistiques, procède à des définitions formulé a priori, indépendamment du phénomène, (la mesure du chômage).
La masure du chômage : les statistlques de sa mesure résultent d’une construction en parti conventionnel, il faut distinguer la statistique du chômage et la mesure du chômage. Première tentatives de définition intervienne au 19e siècle, la révolution industrielle comportait des chômeurs qui n’étaient pas compté. Définition fixé en 1954 : du bureau international du travail : pour qu’une personne soit considérer comme chômeur, il faut trois conditions : Etre sans emplois, être disponible pour travailler, rechercher activement un emploi.
Certaines personnes sans emplois ne sont pas disponibles pour travailler. D’autres parts, des personnes sans emplois et disponible pour travailler n’entreprennent pas de recherche active d’emplois et donc ces personnes (salariés proches de la retraites, découragés) ne sont pas considérer comme chômeurs. La définition est donc restrictive. Le degré de temps partiel, faisant qu’un travailleur est considérer comme pourvu d’un emploi est à faire le choix effectué par le statisticien. Le phénomène économique est donné par la statistique.
Il faudra ensuite penser le phénomène économique au moyen d’une théorie : Une théorie est une articulation de concept consistant en un raisonnement, fondé sur des hypothèses. Ce pose ici la question du caractère réaliste ou non d’une théorie référence à la science physique : Galilée du haut de la tour de Pise à jeter une pierre et a formuler la loi de la chute des corps = la itesse à laquelle tombe un corps es PAGF s OF et a formuler la loi de la chute des corps la vitesse à laquelle tombe un corps est = à 1,5 du vecteur G e.
Plus le temps dur plus la vitesse est élevé. Cette théorie dépend des hypothèses pour savolr si elle est réaliste ou non. Il ne faut pas qu’il y a des frottements, (ex, pierre et feuille). En économie, très souvent on aura à faire à des feuilles qui tombent d’un arbre, il y aura un écart entre la théorie qui articule des concepts avec des hypothèses, il y aura un écart entre la théorie et les faits, ceci ne veux pas dire que la théorie n’a aucun intérêt.
La théorie de la feuille à une valeur heuristique. En principe une théorie à une valeur prédictive. Les phénomènes sont plus complexe en économie, il n’y a pas de théorie permettant de prévoir des crises économiques. Exemple de théorie économique qui s’écarte de la réalité – théorie du marché de concurrence pur et parfaite, cette théorie présente les 3 caractéristiques d’une théorie, on a le concept d’offre d’un bien, le concept de demande d’un bien et le concept de prix d’un bien.
Le raisonnement est que la confrontation de l’offre et la demande permet d’arriver à un prix d’équilibre, un prix our lequel la quantité offerte est = à la quantité demander. Les hypothèses de la concurrence pur et parfaite sont au nombre de 5 : l’atomicité, la libre entrée sur le marché, la libre circulation des facteurs de productions, l’homogénéité, la transparence.
Atomicité : dispose ou affirme qu’il y a sur le marché un très grands nombre d’offreurs et demandeurs, si bien qu’aucun offreurs ou demandeurs n’a de pouvoir de marché, aucun n’a d’inf et demandeurs, si bien qu’aucun offreurs ou demandeurs n’a de pouvoir de marché, aucun n’a d’influence sur les conditions de égociations des marchandises sur le marché ; – La libre entrée : affirme qu’il n’y a pas d’obstacle à la participation au marché, d’offreurs ou de demandeurs nouveaux. Logiquement qui dit libre entrée, dit libre sortie du marché. Aucune réglementation n’entrave l’accès au marché.
Les coups d’entrée sur le marché sont nul, il n’est pas coûteux d’entrée sur le marché ou d’en sortir. – La libre circulation des facteurs de production : indique que le facteur travail, la main d’œuvre, sont mobile, à l’intérieur d’un secteur de façon intra sectoriel, ou d’un secteur à [‘autre c’est- ?-dire de façon intersectoriel. Il est facile pour un travailleur du secteur du blé de migré dans le secteur du vin. – L’homogénéité : caractéristique technique des biens échangés, les biens sont identiques, pas de différences techniques entre biens échangés sur le marché. Transparence : Cette hypothèse est relative à l’information disponible sur le marché, tout intervenant sur le marché offreur ou demandeur, est parfaitement informé des conditions de marché notamment de prix pratiqué par les autres intervenants sur le marché. Cette hypothèse peut être traduite en termes de oût en disant que les coûts d’intervention sont nuls. Ces hypothèses sont simplificatrices de la réalité économique du marché. -Atomicité : sur un marché le nombre d’intervenant est le plus souvent limité, caractérisera notamment les offreurs, il peut y avoir sur un marché un seul offreur : monopole.
Il peut y avoir un pet 7 OF notamment les offreurs, il peut y avoir sur un marché un seul offreur : monopole. II peuty avoir un petit nombre d’offreurs : oligopole. Le caractère limité du nombre d’intervenant peut concerner les demandeurs, sur un marché il peut y avolr un seul emandeur : monopsone (ex : sur le marché du travail il peut y avoir une situation de monopsone, un seul demandeur de travail une seule entreprise). Un monopole aura tendance à demander un prix plus élevés que le prix de concurrence pure et parfaire, un monopsone aura tendance à proposer un salaire inférieur au salaire que donnerai un concurrent.
L’atomicité n’est pas vérifié la plus par du temps. -Libre entrée sur le marché : pas vérifié non plus, des règlementations plus ou moins stricts peuvent limiter l’accès au marché, dans la réalité, l’entrée est coûteuse (exemple le archand de pomme du marché). On dit en théorie économique, que les agents économiques supportent des coûts de transactions l’échange en lui-même est coûteux. -Libre circulation des facteurs : Pas vérifié non plus, on peut procéder à une analyse en terme de coût, un travailleur souhaitant changé d’entreprise sera peut-être dissuade si l’entreprise est par ex loin de chez lui.
Ici intervient la dimension spatiale d’un marché. Lorsqu’il s’agit pour un travailleur de changé de secteur, on ne migre pas facilement du secteur blé à vin car le travailleur doit se formé ce qui est coûteux. L’homogénéité : démentie la plupart du temps, sur un marché réel, les biens ne sont pas parfaitement identiques, au contraire, c’est tout l’objet des stratégies marketing, les producteurs s 8 OF identiques, au contraire, c’est tout l’objet des stratégies marketing, les producteurs s’arrangeront pour procéder à une différenciation marqué des produits. La transparence : pas vérifié, pour se renseigné sur les conditions de marché faites, intervient la dimension spatial du marché, il faut supporter des coûts d’information, qui peuvent être élevés. Les marchés réels sont comme la feuille qui tombe de l’arbre, il y a également des forces de frottement, donné par les coûts de transaction. L’objet est appréhendé par des théories. Cas où le prix est faible : (Photo du 26 Janvier) pour prix faible, quantite demandée est elever, quantité offerte est faible. Comme le prix est faible, les perspectives de profit sont faibles.
Les demandeurs vont donc accepter des augmentations de prix. Le prix a tendance à monter, (Pl à P2), il y a donc une diminution de la quantité demandée (Dl à D2), mais Poffre augmente, ?cart entre offre et demande à tendance à diminué, le marché est à la recherche de son équilibre. Joue alors la loi de l’offre et la demande (P3), augmentation de l’offre, dlmlnution de la demande. On arrive finalement à l’intersection de la droite d’offre et de demande = prix d’équilibre où la quantité offerte est égale ? la quantité demandé.
Il faut un grand nombre de demandeur. Dans la réalité on observe des phénomènes de rigidité du prix, soit rigidité du prix à la baisse, lorsque le prix est élevé il ne descend pas ou à la hausse, lorsque le prix est faible il ne veut pas onté. Comme les prix ne varient pas facilement il y a aura des décalages (rationnement) entre l’offre e Comme les prix ne varient pas facilement il y a aura des décalages (rationnement) entre l’offre et la demande. 0 cas, le prix ne baisse pas et est au-dessus du prix d’équilibre, il y a un phénomène de rigidité à la baisse du prix. Pour ce prix, la quantité demandée (D) les demandeurs, pour ce prix obtiennent ce qu’ils veulent. La recette réalisée par les offreurs est égale au rectangle OP-AD (photo). La recette réalisée (hachurée en rouge) par les offreurs. Les emandeurs sont satisfaits, et le prix est très élevé. Mais les offreurs, pensaient vendre la quantité (O), et ne seront pas satisfaits.
Ils ne peuvent vendre que la quantité OD, il y a donc une surproduction (flèche verte) 0>0. La recette (hachurée en noir) souhaité du carrée OPBOf. La recette souhaité est > à la recette réalisé, les offreurs sont rationnés, les demandeurs sont satisfaits, ils obtiennent ce qu’ils voulaient. 20 cas, le prix est inférieur au prix d’équilibre, soit rigidité du prix à la hausse. Ily a la situation inverse de la situation précédente, es offreurs réussissent à vendre (POf), la quantité demandée (D).
Les offreurs parviennent à vendre la totalité de leurs productions réalisées (flèche rouge). Les demandeurs ne parviennent pas à acheter la quantité souhaitée (flèche verte). Ily a donc un excès de la demande sur l’offre. (Économies planifiés à l’époque du communiste au XXe siècle où les prix étaient fixés, conséquences : pénuries. ) Ici, la dépense voulue = rectangle OPAD (hachurée en noir). LA dépense réalisé = OPBOf (hachée en rouge). Ily a donc un écart entre la dépense souhaité > à la dépense réali