Drugs including alcoh or 8 Sni* to View Dans l’histoire la drogue a toujours était présente aussi longtemps que remonte la mémoire des hommes, pourtant son usage aujourd’hui est extrêmement controversé de part sa dangerosité et la dépendance qu’elle engendre. Cependant, une tendance à la légalisation de certaines drogues dites douces est en cours dans plusieurs endroits autour du globe ces dernières années. Ceci remet en cause clairement la politique répressive rapport aux résultats obtenus.
L’interdiction du commerce et de la consommation des drogues dans la plupart des pays du monde en n’a entraîné que très peu e dlmlnution de la consommatlon et du trafic. Cependant, Il est très difficile d’obtenir des statistiques fiables sur des activités illégales. L’agence des Nations unies pour les drogues estime qu’environ 200 à 250 millions de personnes consomment des drogues illégales. Cette proportion ne manifeste aucune tendance à la diminution sinon a l’augmentation, malgré cet fameuse guerre contre la drogue décrétée au niveau international et menée par le Américains.
La consommation est en légère hausse pour le cannabis et en hausse extrêmement élevée pour les drogues de synthèse comme pour les amphétamines. Les résu tats de la guerre contre la drogue sont clairement décevants, les conséquences négatives
Au Mexique, la lutte contre les trafiquants a fait plus de 10000 morts entre 2007 et 2010, dont un millier de policiers et militaires. Les ersonnels des forces anti-drogue doivent opérer anonymement pour protéger leur famille, la corruption remonte a des niveaux jamais vus. La guerre des gangs donnent une image terrible du Mexique et décime des familles entières. guerre des gangs donnent une image terrible du Mexique et décime des familles entières. Les Etats-Unis ont pendant longtemps forgé à des alliances avec les cartels de la drogue pour éradlquer les forces de gauche en Amérique centrale.
Cet interventionnisme permanent pour augmenter sa zone d influence a eu un effet catastrophique sur de nombreux petits pays comme ceux d’Amérique centrale, u transitent beaucoup de drogues actuellement. De plus on voit que dans de nombreux pays ou la guerre est passé récemment, le manque de contrôle profite à la production de le drogue comme en Afghanistan ou la succession d interventions étrangères a permis au trafic de se renforcer. De plus, la répression remplit les prisons du monde entier, en surtout aux Etats-Unis, où plus de 500 000 personnes sont en prison pour des faits liés à la drogue. ,5 million de personnes sont arrêtées dans ce cadre aux Etats-Unis chaque année, dix fois plus qu’en France, où les interpellations ont quasiment triplé en uinze ans. Au vu des échecs de la politique répressive la législation peut s’avérer comme une solution alternative qui mérite d être tester a une échelle plus globale. La maniere la plus efficace de régler ce problème serait de légaliser dans le monde entier la production, le commerce et la consommation de drogues.
La seule limite restant l’interdiction de la vente aux mineurs et de la fumée dans les lieux publics. Je ne crois pas qu’il puisse exister un entre deux viable entre la répression et la libéralisation totale de la consommation de drogue A l’inverse du coût extrêmement élevé des politiques ibéralisation totale de la consommation de drogue A l’inverse du coût extrêmement élevé des politiques de répresslon, la légallsatlon rapporterait de l’argent à FEtat sous la forme de taxes (comme c est le cas actuellement pour la cigarette et I alcool).
La légalisation pourrait entraîné évidemment un risque de hausse de la consommation, cependant vu la facilité que ont les jeunes de se procurer de la drogue actuellement cette hypothèse reste plus qu’incertaine. Des taxes plus ou moins élevées selon la dangerosité des produits sont nécessaires pour éviter l’effondrement des prix qui engendrerait un accès lus facile au produit. Cet argent pourrait servir a financer les polltiques de préventions comme il en existe de nombreuses actuellement pour le tabac et l’alcool.
De plus on peut être sur que le produit sera d une meilleur qualité vu que des standards seront surement définis pour les diffèrent types de produits. Le consommateur sera beaucoup plus sur de ce qu’il achète et pourra être mieux informé de I usage qu’il doit faire de la drogue et des conséquences qui en dérive. On pourrait aussi imaginer que la production et la distribution soit contrôlée par l’état, de ce fait le consommateur aurait d autre choix que de s adresser a l’état et celui Cl pourrait alors mieux contrôler la consommation de chacun et les habitudes d’achat.
Néanmoins il est nécessaire de traiter le problème de la dépendance et de l’information sur les drogues grâce à des campagnes de publicité de grande ampleur. Sil n’est pas certain que cette stratégie fonctionne, on peut remarquer qu’elle n PAGF pas certain que cette stratégie fonctionne, on peut remarquer qu’elle ne marche pas si mal dans le cas du tabac. La consommation a nettement reculé dans la plupart des pays qui ont mis en place des polltiques globales, a la fois en augmentant es prix, et a l’information sur la nocivité du produit.
Une autre question qui mérite d être soulever est la qualification qui a été faite des drogues dans le monde moderne. Pourquoi autoriser le tabac sachant qu’il tue des milliers de personnes chaque année ? Pourquoi autoriser l’alcool alors que son excès de consommation tue ou par comma éthylique ou dans des accidents de la route ? Pourquoi ne pas autoriser la consommation de drogues douces comme la cannabis qui ont au maximum les mêmes conséquences que l’alcool sinon moins ? nterdictions pour les drogues dures fait-elle plus du sens vu les onséquences immédiates et irréversibles qu’elles peuvent avoir sur la santé de son consommateur. Cette différence de qualification faite des drogues est quelque chose qui devient de plus en plus obsolète et hypocrite au fil du temps. En Europe, ou la libre circulation des personnes est garantie- les drogues douces sont autorisées en Espagne et aux Pays-Bas. Qu’est ce qul empêche donc un potentiel consommateur Français ou Allemand de se procurer un produit qui sera légal d un cote de la frontière et illégal de I autre coté ?
Sachant que les frontières ont disparues, cette situation est otalement incongrue. A coté des considérations légales relatifs aux drogues il existe des questions beaucoup plus philosophique que nous pouvons nous poser comme en en drogues il existe des questions beaucoup plus philosophique que nous pouvons nous poser comme en en quoi la drogue peut-elle être utile à l’homme ? Cette question trouve son intérêt de nos jours, du fait que plus en plus de personnes essaye de trouver un sens à leur vie et leur place dans la société. Il est vrai que la drogue a toujours eu une grande influence sur Vhomme.
Naturellement, l’homme est attiré par ce qu’il ne connait pas. L’inconnu est toujours sujet à l’envie de découvrir ce qui se cache derrière et en effet la drogue fait parti de ces zones d’ombre que on a envie de découvrir. Cependant la drogue a un énorme défaut : ce sont les maux qu’elle provoque. On ne peut nier que la majorité des drogues ont des conséquences souvent dramatiques sur l’homme. La dépendance est un de ces maux. En effet quoi de plus aliénant que d’être l’esclave d’un besoin que l’on ressent au fond de soi. Pourtant en définissent les besoins primaires de I homme : se nourrir, boire, se reproduire.
La drogue n’est pas un de ces besoins primaires. Ce besoin que la drogue crée n’est pas inhérent à la nature de l’homme. On peut donc considérer la drogue comme est un véritable fléau et un danger pour humanité, car historiquement la nature humaine n’a jamais su être modéré dans ses actions. Comment pourrait-elle donc fêtre dans la consommatlon de drogue ? En vérité tout est question de modération, en effet trop manger engendre l’obésité, trop d’hygiène fragilise la santé, boire trop d’eau est mauvais pour la digestion, fumer trop fait tousser.
Pour résumer la drogue attire les hommes parce qu’ils son digestion, fumer trop fait tousser. Pour résumer la drogue attire les hommes parce qu’ils sont curieux et qu’ils veulent découvrir de nouvelles choses, connaître leur limite, c’est la nature de l’homme. Il ne faut pas mettre à l’oubliette le côté culturel de l’usage de la drogue, en effet dans nombres de pays la drogue fait parti des mœurs, ce qui peut expliquer l’attirance de Vhomme vers celle-ci. En effet étant donné que la drague fait parti des coutumes pourquoi s’en méfier, il parait alors même normal d’en consommer avec ce point de vu.
Par exemple à Montréal, l’usage des drogues me parait beaucoup plus accepté que ce qu’il peut l’être en Europe. Assez rapidement les hommes ont compris que la drogue pouvait leur être utile de par leur vertu narcotique qui désinhibe les sens, soigne la douleur, ouvre l’esprit. Les samouraiÈ utilisaient la drogue pour se soigner dans les champs de batailles et ainsi retourner plus vite dans le combat afin de paraître invincible aux yeux des ennemis et prendre l’ascendant psychologique.
Ce furent les premiers hommes à utiliser la drogue de cette manière. L’homme a alors compris que la drogue pouvait soigner, on voit de nos jours une utilisation de la drogue qui va dans ce sens. Cependant, la principale utilisation faite des drogues est toujours e manière récréative. La sensation d’évasion et de liberté que provoque la drogue a été dans I histoire une source de creation artistique pour de nombreux artistes de tous genres.
Longue est la liste d’auteurs célebres ayant subi une dépendance, parfois volontaire, à la drogue ou à l’alcool : des poètes célèbres ayant subi une dépendance, parfois volontaire, à la drogue ou à falcool : des poètes maudits comme Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, ou des écrivains mythiques tel Hemingway bien d’autres. Sans aller jusqu’à la dépendance, nombreux sont ceux qui revendiquent ce genre de consommation, comme I eu ait Ray Charles dans son temps. On peut donc légitimant se demander si l’alcool et la drogue apportent une aide réelle à la créativité littéraire ?
Même si il est vrai que l’usage de drogue reste dévastateur quand il est utilisé à l’excès, cela démontre alors, en partie, la nature autodestructrice de l’homme. Ou peut être encore cherchent t- ils un moyen de s’extirper de leurs vies par le rêve, de nombreux consommateurs de drogue ont en effet vécu des évènements difficiles qui les ont entraines dans la consommation excessive de drogue. Ainsi il est vrai que la drogue aujourd’hui est considéré comme un léau à éradiquer, mais il est vrai aussi que bon nombre d’artiste ont crée des ouvres magnifiques grâce à celle-ci.
Il est également vrai que la drogue peut soigner. Voilà pourquoi je pense que pour la drogue comme pour toute chose il suffit de se modérer de connaître ses limites pour ne pas franchir le point de non retour et ainsi rester maître de ses désirs et de ses dépendances. Car ce n’est pas la drogue qui rend rhomme dépendant mais bien l’homme qui se rend dépendant de celle-ci. Comme disait Platon en son temps : « Le plaisir prive l’homme de ses facultés presque autant que la souffrance