Martinez Grégory TMVA Dossier Arts Appliqués Thème : Street Graffiti Année 2014-2015 Sni* to View Sommaire : 1. Introduction 2. Histoire sur le graffiti 3. Culture Hip-Hop 4. Le Street-Art 5. Arts ou vandalisme 6. Conclusion boîtes aux lettres, cabines téléphoniques, tunnels, bus et finalement sur les rames du métro. Les tags de Taki 183, sans conteste le plus célèbre des précurseurs, étaient visibles dans tout New York.
Demetrius, de son vrai nom, est d’origine Grecque ; et 183 était le numéro de la rue où il vivait. Il travaillait comme coursier, c’est ce qui lui permit d’inscrire son nom partout pendant ses heures de travail. page 4/8 Culture Hip-Hop La culture Hip Hop est une culture qui vient de la population Afro-américaine habitant le Bronx à New York. Culture éminemment pratiquée dans la rue, elle prône des valeurs positives, permettant à ses adeptes de ne pas se résigner à la morosité due à leur condition sociale modeste.
La culture Hip Hop étant devenue très populaire aux Etats-Unis par sa vivacité, elle commença à se développer en Europe au ébut des années 80. Les graffeurs New Yorkais furent invités à exposer leur travail dans les galeries d’art Européennes, et les Breakdancers du Rock
La naissance du plus grand mouvement artistique de tous les temps était né, et encore aujourd’hui des milliers de jeunes peignent à travers le monde ; le Graffiti s’étant même propagé usqu’en Asie, Afrique, et Amérique du Sud, évoluant ça et là, PAG » OF d Graffiti s’étant même propagé jusqu’en Asie, Afrique, et Amérique du Sud, évoluant ça et là, influencé par les cultures populaires locales. age 5/8 Le Street-Art Le street art apparaît dans les années 1970 à New York, en même temps que le graffiti. Il se manifeste par des interventions sur les bâtiments, les façades, ou encore les panneaux de signalisation des espaces publiques, sous formes de pochoirs, de graffitis, de gravures, d’affiches ou encore de projections sur les âtiments. Souvent, le street art reste à compléter par les passants, ce qui en fait un art interactif et accessible à tous.
Le spectateur n’a qu’? le remarquer pour y être intégré. Cet art gratuit, éphémère et le plus souvent anonyme est une réaction au trop plein d’images commerciales qui nous envahissent. L’art « illicite » ne s’achète pas, mais manipule les images afin de tout envahir à la manière de la publicité. page 6/8 Arts ou vandalisme : Le graffiti est un délit strictement interdit par la loi selon ‘endroit où il est réalisé et le risque qu’il présente envers la société et les individus.
En effet, les graffitis sont souvent produits sur les trains, ainsi que sur la propriété privée d’autrui. Ceci sont souvent considérés comme étant du vandalisme. Bien que nous savons que chaque personne ne représente pas une génération entière, il est utile PAGF3CFd nous savons que chaque personne ne représente pas une génération entière, il est utile d’apercevoir le point de vue de chaqu’ un pour pouvoir élaborer sa propre pensée. Une vision varie selon le mllieu dans laquelle elle est perçue. s plus jeunes générations ont tendance a l’accepter de plus en plus. Le côté vandale de l’art urbain perd sa place et, petit ? petit, il réussi à s’intégrer dans l’univers artistique. Si le graffiti a changé quoi que ce soit , ce serait illégal L’art de La rue n’est pas un crime Page 7/8 Concluslon : Le graffiti a connu, depuis sa création, une véritable renaissance artistique à travers une explosion de créativité et l’émergence de nouvelles idées. grand nombre d’artistes cherchent à s’évader des grandes villes, là où tout est devenu trop similaire pour trouver des nouvelles facettes au Street Art. L’art de la rue est un art libre, sans aucune obligation. Les murs sont tous différents et ont tous une technique différente employée. Il devient bien plus que des simples « dessins » sur des murs ; c’est un moyen d’expression, de motivation. On peux parler de mode, des personnes juge sa comme un jeu d’enfant et autres de vandalisme. Chaqu’un à sa façon de le penser. Page 8/8