PHILIPPE Léa LI -SESS PLOUVIER Mélanie PAQUIGNON Claire NARD’ Maëlle Dossier de pratique or 11 Sni* to View la communication : Il faut considérer la communication comme une sorte d’iceberg. C’est une organisation rationnelle. Nous avons beau être rationnels, il y aura toujours une partie qui nous échappera c’est incontrôlable. Le premier contact en communication est unique Le message émit n’est pas le message reçu. L’important n’est pas ce qui est dit, mais c’est ce qui est perçu. Pour que le message passe correctement : il faut 7% de communication verbale pure. 8% de la communication est sur ‘intonation/la voix/le son et 55% sur le visage, les vêtements et la posture. On est censé devoir s’adapter à son auditoire consciemment ou inconsciemment : 100 % signifie ce que j’ai à dire Cl 90 % signifie ce que je pense à dire 80 % signifie ce que je sais dire D 70 % signifie ce que je dis effectivement Cl 60 % signifie ce que l’audltoire entend 50 % signifie ce qu’il écoute 40 % signifie ce qu’il comprend effectivement 30 % signifie ce qu’il admet Cl 20 % signifie ce qu’il retient % signifie ce qu’il dira ou répètera.
Pour être un
C’était enrichissant pour nous, cela nous a donné un aperçu des cours à venir. Séance 2 : Lors de ce second cours, nous avons fait une analyse d’image our ensuite la présenter à Forale. Cétait un travail noté. Le studium est une « étude c’est l’application à une chose, le goût pour quelqu’un, une sorte d’investissement général, empressé, sans acuité particulière. Il n’a pas d’émotions fortes, par exemple une photo neutre. Puis, en contre point du studium, vient le punctum Le punctum d’une photo est un détail, un objet partiel qui lance le désir au-delà de ce que l’image donne à voir.
Il révèle en nous des émotions issues à la fois de la mémoire individuelle et de la mémoire collective. Pour décrire cette image, plusieurs consignes nous ont été onnées • 1 . a) Identifier l’œuvre. Est-ce que c’est une image d’art, de presse ? Donner la nature de l’œuvre (le type) b) Quel sont le contexte et l’époque ? (Exemple: si c’est dans un magazine, journal, mise en scène fictive) c) Quel est le sujet ou thème abordé ? (Le contenu est -il intéressant) d) Quel est l’effet produit ? (Est-ce le plaisir, le désir, la tristesse) e) Compréhension du message.
Y a t-il une légende ? Une référence d’opposition ? Un slogan ? 2. analyse proprement dite de l’ima e -Quels sont les aspects e raires de lecture, cadrages PAGF 11 sont les référentes culturelles ? Il faut avoir acquis une certaine culture pour pouvoir interpréter l’œuvre) Quels sont les expressions et sentiments des personnes représentés ? 3. es procédés Il y a ce qu’on appelle la rhétorique visuelle, quel est reffet recherché ? Il y a aussi les outils. Y a t-il des choix techniques particuliers ? 4.
Contexte Il faut émettre une analyse du contexte dans laquelle l’œuvre a été élaborée. Analyser le contexte artistique, historique et biographique. Que pouvons-nous dire à partir des parametres relevés ? Que peut-on dire de plus ? Exercice : Nous devions analyser cette image tout en respectant les différentes consignes. Analyse • C’était un bon exercice d’observation, d’explication et d’imaeination ; d’observ ue groupes devaient dire, ce sont les informations qui remontent à la hiérarchie et qui remontent de pallier en pallier pour accéder au sommet.
Plus il y a des paliers, plus le temps de communication est lent. ) -La communication descendante , verticale descendante (elle se déplace du niveau supérieur vers le niveau inférieur. S’il y a toujours des paliers, il y aura un problème de communication entre ces différents paliers. Il peuty avoir des bruits (Exemple : téléphone arabe) en passant d’une communication à l’autre. La communication horizontale , il s’agit du niveau entre les hiérarchies (entre nous). C’est un outil à mettre en place.
Les différentes échelles de communication : -La communication interpersonnelle (z entre deux personnes (qui parlent ensemble)) -La communication de groupe (exemple : le professeur parle aux élèves de la classe) -La communication de masse. Elle correspond à une communication à sens unique alors que groupe y a la possibilité d’interagir. Exercice : Lister toutes les pratiques de communication au sein de lupec (point de vue ascendant, descendant, horizontal) Au sein de l’IJpec, la communication s’effectue
Entre les étudiants – Entre les étudiants et les professeurs (Site LJpec, Messagerie Upec) – Entre les professeurs – Entre l’administration et les étudiants – Aux portes ouvertes – Avec les multiples brochures – Entre l’administration et les professeurs – Grâce au site de rupec. Nous pouvons y trouver des informations sur l’université, sur les cours, sur les absences des professeurs, sur les emplois du tem s. Nous avons plus tendance à regarder le site internet e esthétique car il n’est plus tendance à regarder le site internet du point de vue esthétique car il n’est pas très bien organisé.
Le site de FIJpec est pratique pour s’informer mais n’est pas toujours d’actualité, il peut être saturé (Exemple : lors des inscriptions) – Avec la messagerie Upec. Elle est pratique pour communiquer avec l’ensemble des formateurs. Avec la bibliothèque Avec Eprel où nous pouvons trouver différents devoirs ou cours en ligne donnés par les professeurs. Analyse : Avec ce cours ainsi que cet exercice, nous avons pu découvrir différents types de notations de communication et nous avons pu aussi nous questionner sur les différents moyens de communication de l’Upec.
Cétait un bon exercice de réflexion. Cependant, n’ayant pas compris complètement l’exercice demandé, nous n’avons pas pris en note les différents avantages et inconvénients pour chaque pratique de communication. Nous étions donc un peu perdues à la fin de l’exercice. Séance 4 . Au cours de cette séance, le professeur a évalué nos capacités à prendre des notes pendant la moitié de la séance. Sa séance était basée sur « un topo de la mise à plat des mécanismes de communication Nous avons pris en note la présentation détaillée des principes.
Exercice : Après avoir fait la prise de note, nous avons fait un travail de groupe sur notre co ie. Nous devions comparer nos copies puis trouver les poi négatifs. Ensuite nous 6 1 que la prise de notes était difficile dans ce cours car le professeur parlait vite et ne revenait pas sur ses idées. Cela nous a permis de voir nos difficultés par rapport à la prise de notes. Grâce ? l’exercice, nous avons pu comparer nos notes et voir que nous n’avions pas les mêmes difficultés. Grâce à cette séance, nous avons pu améliorer notre prise de note.
Ensuite, nous avons eu des difficultés de concentration et certaines de notre groupe ont décroché et n’ont pas suivie intégralement la séance. Enfin, nous vons eu du mal à nous décrocher du monde des réseaux sociaux et cela se répercute sur la séance. Séance 5 et 6 : Ces séances sont liées et sont consacrés à des scenettes de théâtre, des jeux de rôles : Qu’elles sont situations que l’on voudrait rejouer pour en changer l’issue ? Cl Jouer une situation future, à venir, qui va nous poser des difficultés que l’on veut anticiper.
Cl Jouer une situation pour nous familiariser. La séance 5 était consacrée au 1er temps de réflexion : Il fallait tout d’abord cholslr une situation, puis créer une trame narrative et enfin faire des simulations (c’est à dire mettre en lace la discussion, le déroulement et l’analyser). La scène doit durer entre 5 et 10 minutes, puis le temps suivant est consacré à l’analyse et retour des autres. Nous avons choisi la situation suivante : Les personnages sont le professeur (Maëlle), les parents homosexuels (Claire et Léa) et leur fils (Mélanie).
L’élève s’est fait renvoyer de cour et s’est plaint à ses parents. Le professeur a demandé un conseil de discipline. Les parents ont rendez-vous avec le professeur pour en parler et ils ne sont pas d’accord avec sa décisi PAGF70F11 parents ont rendez-vous avec le professeur pour en parler et ls ne sont pas d’accord avec sa décision. Le professeur juge l’éducation de renfant du fait qu’il n’y ait pas de figure masculine dans le couple. La séance 6, elle, parlait du théâtre forum aussi appelé le théâtre d’intervention sociale ou théâtre de l’opprimé.
Augusto baal met en place cette dynamique, il travaille sur la libération de l’individu dans la société autrement dit nous sommes esclaves et comment peut-on nous libérer de nos propres schèmes ? Pour cela il faut en prendre conscience et pour cela il faut utiliser les méthodes du théâtre. Qu’est-ce que ce théâtre ? Des acteurs se rendent sur la scène, ont leur pièce et à un moment donné ils vont s’arrêter et demander au public de continuer la pièce de théâtre. Public s’intéresse aux personnes ayant des problèmes compliqué (par exemple les femmes battues ou le handicap) Un espace de discussion a été créé.
C’est a la fois un moyen d’interroger/ d’analyser une situation et de créer de la concertation (c’est a dire un espace de discussion) C puissant levier. Analyse: Lors de l’entrainement, Maëlle avait du mal à trouver ses phrases, elle cherchait ses mots et avait tendance à vouloir connaître ses répliques par cœur, ce qui enlevait le côté naturel u théâtre. Léa et Claire avaient du mal à garder leur sérieux. Mélanie ne savait pas trop quoi dire dans son rôle de fils. Cet exercice a permis de rentrer dans la peau de personnages en conflits.
La situation choisie reflète un problème actuel de la société à savoir la place de l’enfant dans un couple homosexuel. Cette scène a dérangé les autres car les paroles du professeur sont dér B1 dans un couple homosexuel. Cette scène a dérangé les autres car les paroles du professeur sont dérangeantes voir choquantes vis à vis de l’homosexualité. Il fallait donc réagir, afin de changer le énouement. Séance 7 : Durant cette séance, nous avons travaillé sur le photo- langage, c’est à dire mieux comprendre l’autre, la facilité du langage entre inconnus.
La rationalisation de la relation au groupe est l’aspect positif de cet exercice. C’est aussi un exercice de participation. Le savoir d’une personne à un savoir du groupe est un processus de mise en commun. On va partir du savoir d’une personne au savoir du groupe. Ily a 3 fonctions au niveau du photo- langage: Permet de parler plus facilement à un groupe. par exemple, savoir ce que nous sommes: ce que nous savons (notion de roupe), ce que nous pensons, ce que nous voulons (ex: l’argent, le bonheur). Associer plus facilement nos sentiments et la raison à travers l’image (processus de rationalisation et compréhension de soi).
Toucher la symbolique des images par association. Exercice : Pour appliquer cette théorie, nous avons pratiqué un exercice de groupe. La mise en place de rexercice consistait ? ce qu’une personne (le maître) donne un sujet, et parallèlement dispose sur une table des images. Chaque joueur devait choisir un nombre de cartes qu’il considérait en lien avec le sujet donné. Chacun devait se focaliser sur son choix et le maître devait hronométrer le temps pour le choix des icônes. Ensuite, une mise en commun des images a été faite ainsi qu’une explication Individuelle puis collective.
Le maitre s’est intéressé aux choix des joueurs (Pourquoi avoir choisi ces images). Il a d PAG » 1 collective. Le maître s’est intéressé aux choix des joueurs (Pourquoi avoir choisi ces images). II a dû gérer les émotions des joueurs, superviser le débat et comprendre pourquoi il y a eu des ressemblances et des différences. Le maître a donc fait naître une prise de conscience et une rationalisation chez chaque joueur. Des mots clés sont alors pparu. A la fin, le maître a du faire un compte rendu de Hexercice.
On est donc passé de l’image à un débat verbal. Analyse • Durant notre séance, nous avons fait l’exercice deux fois. Les sujets donnés étaient la famille puis la communication. Clémentine et Léa ont été les deux maîtres. A chaque fois, elles ont observé des différences et points communs: nous n’avons pas tous choisi les mêmes images mais les mots clés ressorti ont été très similaires. Nous avons trouvé cet exercice assez intéressant car il nous a fait prendre conscience que nous n’avons pas tous la même vision de a famille par exemple.
Nous pensons que ce phénomène est lié aux différentes éducations que nous avons reçues et aux milieux familiaux différents dans lesquels nous avons grandi. Après une discussion, nous avons remarque que nos souvenirs ont influencé le choix des images. De plus, nous avons remarqué que le débat a suscité des sentiments différents chez chacun (énervement, indifférence, désaccord). Conclusion : Pour Maëlle, les différents TD ont été très instructifs. Grâce à ces cours, elle a pu découvrir et apprendre les différentes facettes de ce qu’est la co En effet, elle ne
