Molière biographie Jean-Batiste Poquelin 1622/1673 Père : tapissier du roi Mère : mort à 10 ans Scolarisé chez les jésuites à paris puis étude de droit à Orléans Grandes œuvres : le tartuffe 1664 e misanthrope 1666 Don Juan Personnages DOM JUAN, fils de Dom Louis. Don Juan(le personnage) donne son nom au titre de la pièce ce qui montre qu’il e grande présence. or 11 ipal ainsi que sa ersonnalités, c’est Don Juan est un pers ne • to neKtÇEge un personnage ambi -Don Juan le séducte -Don Juan le manipulateur. -Don Juan, un beau parleur.
Don Juan est un noble français du XVIIe siècle. Il est un grand séducteur qui ne donne aucune importance aux femmes et qui les considère comme des objets. Il utillse sa capacité de séducteur pour obtenir se qu’il souhaite. Don Juan est un libertin, il nia aucune pudeur et utilise un vocabulaire religieux pour décrire ses exploits sexuels. Il est un grand manipulateur qui ce fait passer pour un croyant affin d’être crédible et d’obtenir se qu’il souhaite. Don Juan est un hypocrite et va même jusqu’à mentir à son père. it ce qu’il veulent entendre mais il n’est pas très efficace car il ‘arrive
Comme dans la plupart des pièces de la comédie de l’âge classique, le couple maitre/valet joue Ici n rôle fondamental, et la pièce est structurée autour de leurs oppositions, de leurs confrontations et des dialogues qu’ils échangent. Sganarelle a gardé de nombreux traits du valet italien et en particulier sa poltronnerie et il incarne la voix du peuple par ses discours et ses croyances simples et rassurantes. Son bon sens et sa ruse lui permettent d’affronter son maître avec aplomb, tout en connaissant parfaitement les limites sociales à ne pas dépasser.
Il se fait homme d’esprit, et ne rechigne pas devant l’opportunité de se valoriser par un beau discours sur le tabac u la médecine lorsque l’occasion sien présente. Il connaît parfaitement son maitre et met régulièrement en garde des tierces personnes sur le danger qu’il représente (Gusman, Elvire, Charlotte et Mathurine). Néanmoins son affection pour Dom Juan PAG » 1 qu’il représente (Gusman, Elvire, Charlotte et Mathurine). Néanmoins son affection pour Dom Juan est Indéniable et il est autant son double que son opposé, son miroir que son juge.
Cest la raison pour laquelle son jeu est ambigu, comme l’ont immédiatement descellé les ennemis de Molière. Ainsi, son ncien protecteur, devenu dévot, le prince de Conti, parle de Sganarelle en ces termes : Après avoir fait dire toutes les impiétés les plus horribles ? un athée qui a beaucoup d’esprit (Dom Juan), l’auteur confie la cause de Dieu à un valet, à qui il fait dire, pour la soutenir, toutes les impertinences du monde. Complice de son maitre, on a l’impression qu’il prêche la morale pour avoir le plaisir de lul entendre bafouer les bons principes.
Sganarelle est le reflet de la complexité de la pièce de Molière et son rôle est aussi important que celui de son maître. Il en accentue les provocations usqu’à la dernière scène. Si ses lamentations finales sur ses gages engloutis avec la mort de son maître, ont emprunté leur légèreté à la Commedia dell’Arte, ils renversent aussi toute la démonstration morale de la pièce et c’est la raison pour laquelle ils ont tant fait scandale à l’époque.
ELVIRE, femme de Dom Juan Présente pour la première fois dans Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière, le personnage d’Elvire semble cependant avoir été inspiré par celui de Leonora d’un canevas de la Commedia dell’Arte nommé L’Ateista Fulminato ou L’Athée PAGF30F11 elui de Leonora d’un canevas de la Commedia dell’Arte nommé L’Ateista Fulminato ou L’Athée foudroyé. Chez Molière, Elvire représente la seule femme noble séduite par Dom Juan, amoureuse sincère qui a été enlevée d’un couvent, puis abandonnée.
Présente physiquement dans deux scènes seulement de la pièce, elle l’est constamment de manière indirecte par l’intermédiaire de son valet Gusman, puis par l’entremise de ses deux frères Dom Carlos et Dom Alonse, et enfin en spectre avertisseur face au destin irrévocable de Dom Juan. Passionnément éprise de Dom Juan, elle panse sa blessure, orsque ce dernier l’abandonne, en passant du courroux à la piété la plus pure. Tour à tour fragile et forte, elle réclame d’abord sa vengeance, puis souhaite ensuite avec ardeur sauver l’âme de Ihomme qui l’a pourtant déshonorée et éconduite.
En apparaissant la deuxième fois sur scène, en religieuse, elle devient l’intermédiaire entre Dom Juan et Dieu, celle qui tente de le convertir et de l’amener ? changer de vie. Elvire est aussi la première femme dans l’histoire de Don Juan qui ose lui résister et se refuser à lui quand il se montre à nouveau troublé par sa présence. En cela, elle est la seule femme capable de le séduire deux fois, la seule aussi de taille à l’affronter.
Enfin, par sa conversion réelle et sincère, Elvire représente la foi véritable, celle qui s’oppose violemment à la conversion feinte de Dom Juan ; elle est la réponse éclatante de ce que doi PAGFd0F11 s’oppose violemment à la conversion feinte de Dom Juan ; elle est la réponse éclatante de ce que doit être la vraie religion. Comme le fait remarquer Jean Rousset . Sans Molière, cette figure indispensable n’eût pas été introduite dans la grande histoire du mythe. GUSMAN, écuyer d’Elvire.
DOM CARLOS, DOM ALONSE, frères d’Elvire Dans Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière, Dom Carlos et Dom Alonse sont de nouveaux personnages dans l’histoire de Don Juan. Frères d’Elvire, qui a été enlevée d’un couvent, séduite puis abandonnée par Dom Juan, ces gentilshommes ont pour rôle de la venger tout autant d’ailleurs que l’honneur de la famille. Mais Dom Carlos est sauvé par Dom Juan lors d’une attaque par trois bandits. Dès lors, il se voit contraint, comme l’exige sa qualité de noble, de payer sa dette de reconnaissance envers un homme à qui il doit la vie.
Les deux frères présentent alors un visage fort différent, bien qu’ils se recommandent tous deux de l’honneur de leur rang. Si Dom Alonse ne pense qu’à l’affront subi qui doit être lavé par le sang, Dom Carlos incarne l’esprit chevaleresque du Moyen Âge. Il empêche ainsi son frère de tuer Dom Juan car il doit d’abord honorer sa parole envers l’homme qui a bravé un danger pour lui. Il n’oublie pas le conflit qui les oppose mais ses obligations de gentilhomme comportent une hiérarchie et il ne peut inverser les valeurs morales et humaines qui sont les siennes. Parfaitement lucide, il se s s 1