LEOURE AN Voltaire, Candide chap. 6 Comment voltaire dénonce t-il l’inquisition dans ce texte ? Voltaire est un écrivain philosophe XVIIe siècle. son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Il écrit le conte philosophique « Candide ou l’Optimismei’ en 1759, l’extrait étudié PARLE des « sages » de Lisbonne qui, à la suite du grand tremblement de terre, décidèrent de donner au peuple un bel autodafé pour to page empêcher la terre de utilise l’humour pour on aux idées de celle-ci Sni* to vieu nous demander com ce texte. ur répon ans ce texte, Voltaire e face à l’Eglise et enser. Nous allons -il l’inquisition dans s allons tout d’abord nous pencher sur le fait que cette ex cution est orchestré comme un spectacle, puis nous verrons que voltaire utilise la satire pou dénoncer l’inquisition. l- une exécution orchestré comme un spectacle 1 . Un spectacle Cette « grande cérémonie » (1*4) montre que tout le monde est convié a ce spectacle.
Dailleur, l’auteur lui-même parle d’un spectacle: « le spect spectacle de quelques personnes » (1. 4) Champ lexical du spectacle: comme le fait que les que les érudits oit habillés avec des vêtements rituels:
Une exécution À travers ce « spectacle », une exécution se met en place: Candide et Pangloss sont mis en prison, Voltaire utilise un euphémisme mais aussi une antiphrase (1,9-10) « dans des appartements d’une extrême fraîcheur, dans lesquels on n’était amais incommodé du soleil » Voltaire atténue la vérité, mais il dit aussi le contraire de ce qu’il ce pense. Il se sert d’une gradation (l. 15-17) cette gradation de la violence est évidente: Candide, « féssé » (1. 15) le biscayen et les deux hommes, « brûlés » (l. 17) et Pangloss, » pendu » (l. 7) ll- La dénonciation par la satire 1- La violence mise au service de l’inquisition L’inquisition est un tribunal créé au XIIIe siècle par l’Eglise catholique pour lutter cantre l’hérésie. Elle était chargée d’émettre un jugement sur le caractère conforme ou non d PAG » OF d contre Ihérésie. Elle était chargée d’émettre un jugement sur le caractère conforme ou non des cas qui lui étaient soumit. Dans ce texte, la violence est mise au service de l’inquisition, Voltaire critique et dénonce ce tribunal de manière ironique et satirique.
En apparence favorable à l’inquisition mais ce n’est qu’une façade. S’il osait dire ce qu’il pense, il serait censuré, Voltaire a donc trouvé un moyen de se jouer de l’Église sans se faire inquiéter de quoi que ce soit. 2- Une idée absurde et injuste Voltaire fait clairement comprendre au lecteur qu’il trouve cette idée absurde: « les sages du village n’avaient pas trouvé oyen plus efficace Bel autodafé » (l. 12) et « le spectacle de quelques personnes brûlés le décalage entre les crimes et les châtiments rend la justice absurde. Empêcher la terre de trembler » (1. 4-5).
Il se moque directement des personnes hautement placées. Ironie du sort car (l. 19) « le même jour la terre trembla de nouveau avec un fracas épouvantable » ce qui prouve bien que cela n’aura serai a rien 0 remise en question de la parole des sages Voltaire considère aussi que cette exécution est injuste (1*6) « IJn biscayen le lard » montre que cette exécution est injuste et est asé sur des fait superficiels, l’inquisitio montre que cette exécution est injuste et est basé sur des fait superficiels, l’inquisition condamne n’importe qui en trouvant des prétexte pour montrer sa puissance. – Les procédés comiques Voltaire, pour faire partager son indignation utilise des procédés comiques qui donnent au texte une tonalité humoristique au texte. II utilise pour cela un vocabulaire mélioratif: « orna » (l. 1 1) » en procession » (l. 14) « sermon très pathétique » (l. 15) Mais Voltaire a aussi recours a l’ironie, en effet, l’auteur utilise une antiphrase » Bel autodafé » « sages du pays » (l. -3) il emploie donc par ironie des mots par leur contraires. L’auteur utilise aussi plusieurs antithèses : « petit feu » (1. ), « ruine totale » (1-12) « grande cérémonie » le rapprochement de ces termes opposé met en valeur leurs contrastes. CONCLUSION: Dans ce texte, Voltaire critique l’Eglise sous le masque de la comédie, pour cela il utillse plusieurs procédés comiques: l’absurde, l’humour et l’ironie. Ces procédés amusent le lecteur et captent donc mieux son attention. Liauteur fait le récit d’un « Bel autodafé » qu’il trouve absurde et injuste tout en se moquant de la parole des sages et de l’inquisition.
