Baudelaire a dit: « l’autre est à la fois proche et lointain » ainsi, Autrui désigne l’ensemble des autres hommes, nous pouvons le considérer comme un autre soi-même; un alter ego. La question d’autrui e sa connaissance. La connaissance préc et à dire qu’il faut org connaitre la personn Sni* to View avant de la compren Comprendre est un t choses. Concernant autrui le terme comprendre peut être ; saisir le sens de , concevoir quelque chose par l’esprit. Ou bien comprendre serait admettre, concevoir les raisons qui ont conduit quelqu’un ? faire quelqu’un chose.
On peut admettre qu’autrui est très important dans chaque vie. On pense grâce ? autrui, et on ne peut pas vivre sans autrui. En étant porteur d’une exigence absolue de respect, le problème du rapport à autrui est au cœur de la vie morale. Même si autrui fait partie de notre quotidien, que nous vivons avec qu’il nous est familier, cela ne veux pas dire que nous le comprenons. premier temps nous verrons qu’il est difficile d’attribuer un esprit à autrui. Ensuite si il est possible d’entre voir une compréhension face ? autrui.
Dans un second temps nous verrons comment expliquer la connaissance d’autrui Enfin nous verrons qu’on ne peut
Il est vrai que l’on peut affirmer que même si autrui laisse transparaître certaine émotions que l’on peut lire, on dira que l’on ne peut pas être sur e connaître son expérience cet à dire de ce qu’il ressent, éprouve. De plus, il peut exister un autre problème qui serait la possibilité qu’il n’existe pas d’autre esprit que le mien. Pourquoi pourrait on penser cela ? Simplement car, la seule chose évidente que je peux connaître des autres se sont leurs comportements, ainsi la seule relation entre le comportement et l’esprit que je connaisse est celle qui existe en moi.
Nous avons donc deux conséquences qui se posent et qui sont totalement différentes. Dun coté, nous n’avons aucune raison d’accorder un esprit à ceux qui nous ‘accorder un esprit à ceux qui nous ressemble physiquement. D’un autre, il se pourrait qu »il y-ai beaucoup plus de créatures doués d’esprit que nous n’avons tendance à le penser. Il semble donc arbitraire de refuser d’attribuer un esprit à autrui. Ensuite, on peut dire que lorsque nous comprenons tel ou telle chose, nous pouvons donc l’expliquer, pourtant face à autrui cela est différent.
On ne pourra pas facilement dire que nous expliquons autrui, car il est difficile de le falre et même de l’envisager, autrui est si on l’accepte, un esprit, une morale tout comme nous enfermer dans un orps, et qui comme nous l’avons dit peut dégager des émotions sans y faire face, autrui peut pleurer mais être très content. En clair autrui est doté d’une intelligence et peut nous dupé. l_Jne compréhension d’autrui est donc différente et difficile. Nous pouvons comprendre les motivations qui ont fait qu’autrui à été poussé ou contrains à agir de tel manière.
Je comprend donc de l’intérieur ce qui relève de l’esprit. Nous savons que nous avons été compris par autrui quand nos intentions ont été reconnues face à lui. En clair, nous sommes capable de comprendre autrui lorsque ous parvenons à ressaisir en nous les intentions d’autrui. Alors on peut conclure sur le fait qu’autrui n’est plus un exemplaire dans une catégorie toute faites mais un être humain doté d’une conscience comme mol. On ne comprend pas autrui à l’aide de réponse ou d’explication prouvé, des sciences.
Comprendre autrui est plus compliqué à déchiffré qu’un phénomène de la nature qui se résoudrai à des recherches des explication prouvé. Connaître autrui serai découvrir toute la profondeur de son esprit, le sens de ses actes et de ses agissements. Donc la compréhension d’autrui se ait de l’intérieur comme une certaine participation à la conscience de ce dernier. Mais d’un autre coté l’explication peut se faire de l’extérieur, par agencement de causes. Dans un seconde temps, nous allons tenter d’éclairé la connaissance que l’on a d’autrui.
Nous allons parler du jugement. pourquoi ? Souvent,on dit que l’on a compris autrui quand nous disons dêtre mis à sa place. On peut même se dire que si nous aurions été lui nous aurions agis de tel ou telle manière. Voila c’est en cela que nous jugeons autrui. Cet à dire quia ce moment là nous faisons comme si nous refaisions ses pensées. Nous supposons ses pensées. Il n’est en rien là, une questions de mal, cela est naturel, c’est d’ailleurs pour cela qu’autrui pourra facilement nous demander ou avoir le réflexe de nous dire de se mettre à sa place.
Cest alors qu’indirectement , il est permit de transporter nos pensées d’un esprit à l’autre comme our retrouver ses intentions; ses sentiments. sans sa présence, lorsqu’autrui n’est pas la. On veut s’imaginer ce qu’il ressent, ce « qu’il y a dans sa tête ». pourtant, cela parait absurde. Nous ne pouvons pas être à la place d’autrui. Il parait de même absurde de résider dans son esprit. Cest alors que l’on met en place un système de déduction. Dans l’ordre, ce système permet de deviner physiquement, les sentiments d’autrui, ses pensées. Comment ?
Nous savons que le rire est un sentiments de joie, les pleurs de tristesse et ainsi de suite. Alors nous pourrons déduire d’autrui qui rigole et sourri et dans et chante qu’il relève d’un sentiment de bonheur profond. Mais alors, si nous utilisons se système, il faudra dire que nous pensons que tous les hommes sont identiques et fait de la même manière c’est à dire qu’autrui est comme moi. Cette expérience est trompeuse. Nous pourrions être naifs de enser par déduction. Car si il y-a bien une vérité général qui s’adopte partout dans le monde et pour tous,c’est que tous les hommes sont différents.
La comparaison entre moi et autrui est faussé. Car , si je procède de cette manière je ne ferais que chercher à autrui ce que je désire ou craint souvent, comme une projection sur lui de ce qui est en moi. Nous pouvons incorporé un peu de science humane, prouvé. En déduire une explication face au sentiments des autres peut aussi être faussé face ? ce que l’on vois. Nous avons parler de larmes et de rire. Mais, est il vrai que le rire interprète la joie et vols. es pleurs la tristesse ? non Il sera prouvé qu’il est possible de rire dans un moment les plus triste extrême ou lorsque l’on apprendre un événement les plus grave.
Cela est nerveux. De même pour les pleurs qui peuvent être signe de joie extrême. Nos émotions ne se contrôle pas toujours. De même que l’humain connait son corps, connait des raisons pour laquelle il pourrait être heureux, paraitre pour tel. Il est capable de nous trompé, par exemple en pensant à quelque chose de triste dans sa vie, alors il trompe son esprit et il se met ? pleurer. Donc, autrui n’est jamais tel que je l’imagine, il est différent de ce ue je pense dans mon propre esprit.
On dira donc que interpréter autrui ce n’est pas le comprendre mais c’est se représenter en tant qu’autre. Ainsi nous avons vue la première façon de penser connaître autrui, c’est à dire conjecturer autrui. Maintenant, nous allons approfondir la connaissance d’autrui. On peut parler de reconnaissance, c’est le cas de toutes les identifications immédiates repérées par des habitudes. Alors, notre perception d’autrui est basé sur des repères fournissant des interprétation toute faites. On parle alors de connaissance immédiate. Les repère que nous avon important au quotidien.