TPE Ivrith

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ors de la première guerre mondiale de 1914 à 1918, les solda(r français appelés «Les Poilus n’avaient que la lettre comme moyen de communication. Vivant dans les tranchées, les conditions de vie étaient très dures, comme le dit André Fribourg dans sa lettre envoyés a un destinataire dont nous n’avons pas trouvé le nom : « Voilà près d’un mois que je ne me suis ni déshabillé, ni déchaussé ; je me suis lavé deux fois : dans une fontaine et dans un ruisseau près d’un cheval mort ; je n’ai jamais approché un matelas ; j’ai passé toutes mes nuits sur la terre. On dort un quart d’heure de temps en temps.

On dort debout, à genoux, assis, accroupis et même couché. On dort le jour ou la nuit, à midi ou le soir. On dort sur les c dans les arbres, dans silence seul réveille. car d’après lui il s’est surement des odeu Swipetaviewn hl p g dans les tranchées, sous la fusillade. Le d’hygiène important s en un mois, Il ya nt se sentir. Il décrit aussi son manque de sommeil important lorsqu’il dit que les soldats dorment « un quart d’heure de temps en temps Les Poilus profitaient

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des lettres pour donner des nouvelles a eurs proches, la correspondance avec ses êtres chères étalent un moyen de survie.

Certaines lettres ont été censurées car ils Swige to next page décrivaient leurs vies, leurs sentiments, leurs pensées, avec trop de détails que l’Etat ne voulait pas dévoiler. En 1998, un appel a la radio a été fait pour essayer de recueillir les archives des lettres que Les Poilus envoyaient a leurs familles. Quelques fois Les soldats étaient tellement désespérer, qu’ils pensaient mourir dans peu de temps, alors ils écrivaient des ettres d’adieux on peut le voir lorsque Charles Guinant a écrit car il s’était blessé au pied gauche et que la blessure s’était s’infecté. ? Ma chérie, je t’écris pour te dire que je ne reviendrai pas de la guerre. Sil te plaît, ne pleure pas, sois forte. Le dernier assaut m’a coûté mon pied gauche et ma blessure s’est infectée. Les médecins disent qu’il ne me reste que quelques jours à vivre. Quand cette lettre te parviendra, je serai peut-être déjà mort. Je vais te raconter comment j’ai été blessé. Il y a trois jours, nos généraux nous ont ordonné d’attaquer. Ce fut une boucherie absolument inutile.

Au début, nous étions vingt mille. Après avoir passé les barbelés, nous n’étions plus que quinze mille environ. C’est à ce moment-là que je fus touché. Un obus tomba pas très loin de moi et un morceau m’arracha le pied gauche. Je perdis connaissance et je ne me réveillai qu’un jour plus tard, dans une tente d’infirmerie. Plus tard, j’appris que parmi les vingt mille soldats qui étaient partis à l’assaut, seuls cinq mille avaient pu survivre grâce à un repli demandé 2