TPE Foot Business

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Le Foot Business Comment le business a-t-il remplacé le football ? Introduction Aujourdhui, le football est le sport le plus pratiqué et le plus médiatisé dans le m sport populaire. Dep or 13 professionnel tient u gr Snipe to au niveau social. Cela monde entier qui est avant tout un ècle, le football société, notamment ul pays, c’est le ne. Le fait que nous vivions dans une societ capitaliste renforce la présence de l’argent dans le football professionnel sous forme de salaires, de transferts, de publicités.

Ces ressources financières poussent les footballeurs à essayer de se surpasser pour plusieurs raisons. La première étant l’aspect financier et le rapport performance/ salaire, plus ils sont performants et plus leurs salaires et leurs prlmes de matchs seront élevés. La deuxième raison concerne l’aspect médiatique et le regard du public sur leurs performances car pour ce sport les spectateurs et les supporters sont nombreux, ils cherchent donc à les satisfaire.

Par ailleurs, ces deux aspects influencent certains joueurs, ce qui les entraîne à utiliser des méthodes plutôt controversées. En effet, nous retrouvons des cas de tricheries, de corruptions, ce qui ternit l’image de ce sport très populaire de par le monde. Aujourdhui le football professionnel est au

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centre de multiples salaires, qui sont pour certains trop élevés.

Sommaire l- L’argent dans le football 1 -les retransmissions TV et les sponsors 2-les salaires et les transferts 3-les nouvelles sortes de rentrées d’argent ll- Les difficultés financières des clubs 1 _l’entrée en Bourse 2-la dette des grands clubs européens 3-influence des agents Ill- Dérives du football 1-dépense abusive dans des événements sportifs 2-affaires de corruptions et matchs truqués 3-fonds qui achètent des joueurs/clubs l) L’argent dans le football ) les retransmissions tv et les sponsors Les rapports entre le football et la télévision furent souvent houleux.

Ils apparaissent aujourd’hui nettement plus apaisés, car les chaînes de télévision acceptent désormais d’investir de fortes sommes d’argent pour se payer le « spectacle » du football. Ce phénomène n’est vieux que de vingt ans, et depuis lors, l’escalade des budgets est impressionnante[]; rien, ou presque, il y a deux décennies, contre plusieurs milliards d’euros aujourd’hui injectés chaque saison dans le football.

Les retransmissions TV ont ermis au football de devenir ce qu’il est auiourd’hui. 3 bataille a permis à certains clubs d’être côtés en bourse et ? certaines channes privées qui se disputent dans un petit groupe de chaînes (Canal +, Bein Sport) les droits des matchs de LI pour un peu plus de 750 millions d’€/an. On a ainsi pu observer au cours des années, la place de plus en plus importante du football dans nos écrans.

Voici quelques chiffres permettant de se rendre compte de l’évolution des retransmissions télé des matchs de foot (et donc l’augmentation des droits télé dans le même temps) : -En 1974, 10h de retransmission par an -En 1994 509h de retransmission par an 1980 990 2000 Retransmission TV Pub/Billeterie/ Merchandising Tableau représentatif du financement des clubs professionnels français Avec cette arrivée massive du football à la télévision, il est naturel que les puissances économiques veuillent profiter de l’hégémonie et y mettre leur argent en vue de retombées, c’est ainsi que l’on a pu voir des icônes du football se retrouver dans des publicités, ou même leur maillot sur lequel des marques n’ayant aucun rapport avec le foot apparaissent.

La gestion de Pimage du t de plus en plus PAGF 13 l’équipe de France de football en 1998 a permis à beaucoup de ublicistes de profiter de cet élan. Les marques n’adoptent pas pour autant les mêmes stratégies de communication. Certaines entreprises choisissent leur cible en fonction de leur type de produit ou de leur clientèle alors que dautres misent sur la renommée de leur client sans qu’il y est de rapprochement avec le produit présenté. es joueurs de l’équipe de France de football qui s’associent avec tout type de marques diffusées sur nos écrans de télévision en est un bon exemple : Zinédine Zidane : Leader Price, Volvic Bixente Lizarazu : Petrol Han Emmanuel petit : Pepsi Zinédine Zidane

Fabien Barthez : Mac Donald, Bic (rasoir) Ces investissements en matière de communication sont colossaux, cependant, les marques, qui en ont fait l’expérience, conservent généralement cette stratégie. En effet, les retours sur investissement sont tout aussi importants : augmentation des ventes, amélioration de l’image de la marque… En étant l’un des plus beaux sports, le football devient l’une des plus belles vitrines : vitrine des villes désireuses d’attirer les investisseurs, vitrine des grands patrons désireux d’attirer les acheteurs (en 1929, Jean-Pierre Peugeot créait le F. C. Sochaux), ou bien vitrine des grands groupes souhaitant s’acheter une bonne conscience. 2) les salaires et les transferts a) Salaires Prenons un chiffre rond : 46 000 € C’est le salaire mensuel moyen d’un footballeur professionnel français en 2012.

Certes, c’est 36 fois le salaire moyen d’un travaille 3 footballeur professionnel français en 2012. Certes, c’est 36 fois le salaire moyen d’un travailleur hexagonal français, mais là n’est pas la vraie question. Ce qui intrigue vraiment, c’est de savoir que lors de la saison 1997/1998, un joueur de ligue 1 empochait en moyenne 15 245€ ar mols. Ce qui nous fait une augmentation de + de 200% en moins de 15 ans. Alors à qui profite l’inflation ? b) Transferts Depuis l’arrêt « Bosman » rendu en 1995, les clubs peuvent racheter autant de joueurs européens qu’ils le souhaitent. Mais il définit également que tout joueur est libre d’aller où bon lui semble.

Et cette liberté-là n’arrange pas du tout les clubs qui engagent des millions d’euros sur leur dos. Donc, pour les financiers du football, le jeu est simple : vendre absolument un joueur avant la fin de son contrat et si possible plus cher qu’ils ne l’ont acheté. La mécanique est simple, les clubs rallongent le contrat de leur joueur qui négocie en échange une augmentation de salaire. Une augmentation qui a du sens puisqu’elle donne plus de valeur au joueur, donc à sa revente. 3) les nouvelles sortes de rentrée d’argent Comme toute entreprise, les clubs cherchent à diversifier leurs recettes pour générer de nouvelles rentrées d’argent et chercher à se protéger économiquement.

Dans cette optique, beaucoup de clubs européens envisagent de recourir au naming du stade qui consiste à faire apparaître le nom d’une société ou entreprise dans le nom du stade de sorte ? romouvoir cette société et en retour percevoir de l’argent de sa part. En Allemagne PAGF s 3 sorte à promouvoir cette société et en retour percevoir de l’argent de sa part. En Allemagne l’opération de naming s’est généralisée et apporte une manne financière non négligeable pour certalns clubs On peut voir que parmi les 16 clubs allemands y ayant recours, la médiane des sommes perçues par les clubs se situe à un peu plus de 3 millions d’€ par an.

Mis à part le naming, le club français, POIympique Lyonnais mise beaucoup sur la stratégie digitale pour rattraper la concurrence. L’Olympique Lyonnais devrait disposer du premier stade connecté de France. Le club envisage de mettre en place plusieurs dispositifs favorisant la consommation de contenus numériques : élection de l’homme du match, visionnage d’action selon certains angles de caméra, possibilité de commander sa boisson directement depuis son smartphone… Au bout de cinq ans de fonctionnement, la direction du club espère générer plus de 70 millions d’euros de revenus additionnels par an grâce à la mise en service de ces applications numériques.

Les revenus proviendront du sponsorlng des pplications, d’une consommation plus importante des produits de buvette ou encore d’abonnements à des services proposant du contenu exclusif. ‘estimation des revenus a été réalisée en fonction des premiers retours d’experience mesurés dans certains stades américains. L’idée de fonder un musée du club germe dans beaucoup de têtes de dirigeants de clubs. En France, l’As Saint Etienne a succombé à la tentation. Cependant c’est en Catalogne que Fon trouve le musée footballistique le plus visité au 6 3 tentation. Cependant c’est en Catalogne que l’on trouve le musée ootballistique le plus visité au monde, celui du très célèbre FC Barcelone.

Avec plus de 1,5 million d’entrées par an à un prix moyen de 20 E, le FC Barcelone génère une recette de 30 M€ par an grâce à son musee. Même si les clubs rivalisent d’ingéniosité pour trouver de bons compromis entre le sportif et le financier, ils connaissent des difficultés financières significatifs. Il) Les difficultés financières des clubs 1) L’entrée en bourse : un secteur à risques Le club anglais de Tottenham fut le premier club anglais ? entrer en bourse en 1983. Il a été suivi de plusieurs clubs ayant our objectif le désendettement. Cette pratique permit aux clubs de lever des fonds rapidement mais au fil du temps leurs investissements baisser de façon importante.

En effet, la bourse est un sport à haut risque pour le sport en général car on ne peut pas prévoir les résultats des matchs ou même la blessure d’un joueur ou autre aléa du sport. Beaucoup de clubs se sont énormément endetté à cause de la baisse d’investissements notamment. Même les plus gros clubs de football ne sont pas ? l’abri d’une baisse d’investissements suite à une mauvaise passe. Cette incertitude du sport falt peur à beaucoup d’investisseurs qui préfèrent investir dans d’autres domaines plus stables (comme les nouvelles technologies ou même les diffuseurs qui retransmettent les matchs télévisés). 2) La dette des grands clu PAGF 7 3 européens Les grands clubs européens sont souvent endettés car ils vivent au dessus de leurs moyens.

De plus en plus de clubs sont rachetés par des fonds souverains ou par de riches investisseurs (par exemple le Qatar qui a racheté le Paris Saint Germain), tandis que d’autres clubs réduisent leur train de vie. Le football uropéen est globalement en mauvaise santé économique car la majorité des clubs des clubs des principaux championnats européens sont très endettés. Des mesures furent prises par les instances dirigeantes du football notamment le fair-play financier commandé par l’UEFA de Michel Platini. Il répond au principe que les clubs ne peuvent dépenser plus que ce qu’ils ne gagnent. Cependant ce n’est pas dans l’intérêt du football de faire disparaitre des clubs. Parmi, les 10 clubs les plus endettés, on retrouve 4 clubs espagnols. Ce qui est aussi révélateur. De plus, aucun club allemand n’y figure.

Ce qui prouve bien que le domaine du football n’est pas imperméable aux tendances économiques des pays européens. De plus, on observe une hausse de salaires impayés dans les petits clubs. Pour cause, l’effort de ces clubs est tourné vers le désendettement fiscal. Une des solutions évoquées est la « mutualisation de la commercialisation des droits Tv’ du championnat de Liga BBVA ? l’horizon 2016-17 Cela entrainerait une redistribution plus équitable des Droits TV monopolisés par les 2 gros clubs (Barca, Real) et ainsi une baisse des disparités sportives entre les clubs donc une forte et saine oncurrence entre les clubs. 3 sportives entre les clubs donc une forte et saine concurrence entre les clubs.

En effet, la Liga est le championnat le plus inégalitaire entre les clubs Le Real Madrid et le FC Barcelone se sont ainsi partagé 37% des recettes télévisuelles du championnat de Liga BBVA. L’étendue : 140 000 000-20 000 120 000 OOO€ d’écart de droit TV. 3) Influence des agents. L’agent sportif est par définition une personne qui, contre rémunération met en rapport les deux parties principales (joueurs et clubs) notamment dans les conclusions de contrat rémunéré ‘une activité sportive et dans les transferts de joueurs. L’agent sportif, pour exercer en France, doit être titulaire d’une licence accordée par le FFF (fédération française de football).

Il doit avoir des connaissances dans plusieurs domaines tels que le sport bien évidemment, mais aussi le marketing, le droit, la gestion et les relations publiques. L’agent est rémunéré par des commissions qui, sont calculées en fonction du salaire du joueur. Le pourcentage de commission tourne en général autour de Les agents sont influents dans la mesure où ils connaissent à la ois les joueurs et les clubs de foot. Ils peuvent donc influer dans l’intérêt du joueur. Cependant, peu d’agent arrivent à gagner leur vie par ce métier. En effet, le football est un sport très conservateur. Seuls quelques agents arrivent réellement à tirer profit du marché du football et en profitent pour gagner des sommes souvent démesurées.

Ainsi, deux agents sont très connus internationalement pour les joueurs qu’ils con Ainsi, deux agents sont très connus internationalement pour les joueurs qu’ils conseillent Le portugais Jorge Mendes qui concentre avec sa société ? Gestifute » qui concentre près de 80 joueurs sous contrat dons les portugais Cristiano Ronaldo et José Mourinho ainsi que les colombiens Radamel Falcao et James Rodriguez. L’italien Mino Raiola qui s’occupe via sa société « Intermezzo » de Zlatan Ibrahimovic, Paul Pogba et Mario galotelli notamment. En France, l’agent l’agent le plus influent se nomme Jean Pierre Bernès inculpé dans l’affaire de corruption il y à 30 ans de cela lorsqu’il était dirigeant du club olympien.

Aujourd’hui, Jorge Mendes est considéré comme l’homme le plus influent et puissant du football. Cependant, il connait beaucoup de détracteurs qui l’accusent de se servir de ses joueurs comme des outils pour réaliser de très grosses affaires. A l’heure actuelle, sa fortune est estimée à plus de 500 millions d’euros. Jorge Mendes s’est attiré les foudres de beaucoup de présidents de clubs, notamment Florentino Perez, le président du Real Madrid qui l’accuse de vouloir faire pression auprès des fans pour la venue d’un de ses joueurs dans le club. Les difficultés financières des clubs sont aussi accompagnées des dérives liées à ce sport car l’argent en jeu reste très important.