Thérèse Raquin

Thérèse Raquin

Ce passage est la description de la promenade en barque des trois personnages principaux du roman « éthérées requin » (camomille, lauréat et éthérées) Cette scène se déroule un dimanche. Avant celle-ci les trois amis avaient réservés une table et un menu dans un restaurant en bordure de sein afin de manger une friture dans une gargote.

Puis lauréat avait profité de la situation géographique (présence de la sein) pour emmener camomille et le noyer. Cette scène précède donc le crime de lauréat ; la mort de camomille. Elle décrit la promenade en barque des trois personnages qui se trouvent à est nouée dans le appartement de la sein est dénis aux alentours de Paris.

Le choix du cadre sapait-temporel est intéressant à analyser toi page car il n’ a rien de plu l’occurrence une rivière accueillir des corps e passage nos trois pp à présent loin des ré spire vie nixe aquatique, en cacher des scènes, e plus dans ce es de la rive et sont avoir des airs d’une balade en barque sans l’intervention des précisions du narrateur « la barque allait s’engager dans un petit bras sombre et étroit s’enfonçant entre deux îles » et par l’éloignement

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de ‘ « équipe de canotiers ».

Par ailleurs la période nocturne de cette balade laisserait à penser à une promenade amoureuse. Le problème dans la situation qui nous intéresse est que ce sont trois personnages dont une seule femme. Tout porte dont à croire que cette balade à d’autres motivations que la simple romance. En effet I la scène se déroule au « crépuscule » ce qui évoque la mort par connotation. La peinture du lieu permet ainsi dénoncer symboliquement le crime qui va être perpétré. L’adverbe « alors » vient bouleverser le calme quoique fragile qui s’est installé et annonce l’irruption d’un événement. Champs lexicaux : -AI y a le champ lexical des couleurs : « noir » ; « argent pâle » ; « rougeâtre » ; « brun sombre » ; « gris » ; « blanchâtre » ; « rougeâtre » ; « brunes » ; « grises » -Nous pouvons aussi constater la présence du champ lexical de la lumière : « crépuscule » ; « grandes ombres » , « sombre » ; « crépuscule d’automne » ; « ombre » ; « lueurs » ; « sombres » ; « crépuscule » ; « brouillard laiteux La lumière sombre laisse un pressentiment de meurtre au lecteur et lui procure du suspens ne sachant pas vraiment comment lauréat va tuer camomille.

De plus le ciel s’est recouvert et est devenu brumeux ; tout l’environnement est devenu obscur tel une scène de crime. -Le champ lexical de la fraîcheur : « fraîcheurs » ; « froid » ; « air frissonnant » ; « vent froid » ; « souffle ». Cela donne au lecteur une sensation d’anxiété, à cause de la froideur du lieu. -Le champ lexical de l’eau : « eaux » ; « rivière » ; « barque » ; « sein » ; « quai » ; « ramer » ; canot » ; courant » ; « îles » ; « rives » ; « Peau » « barque » ; « eau » ; « îles » ; « sein » ; « îles ».

L’eau préfigure la noyade de camomille. Le champ lexical de la tristesse « mélancolie » ; « langueur tristes » : « douloureusement calme » ; « plaintif de désespérante ». Cela annonce la mort de camomille. Les figures de styles : I y a la présence 2 FO s désespérante Cela annonce la mort de camomille. La a la présence de figures de styles qui ont pour but d’émouvoir le lecteur et de lui faire voir la scène autrement . Des personnifications « des grandes ombres tombaient des arbres » « l’air frissonnant » « les arbres vieillis jettent leurs feuilles » « rayons pâlissent » « la campagne brûlée sent la mort venir Elles ont pour but d’attribuer des traits Humains à des objets inanimés(les arbres ne peuvent pas jeter des feuilles, ils n’ont pas de bras). -une comparaison : « les deux rives étaient comme deux larges bandes qui allaient se rejoindre à l’horizon » .

lie a pour but de comparer les rives de la sein a deux bandes se rejoignant l’horizon avec l’outil de comparaison « comme -un sombre : douloureusement calme . Al a pour but d’opposer deux termes contradictoires. (La douleur n’est pas une sensation calme). -une métaphore : « les coteaux n’étaient plus que des taches brunes et grises ». C’est une analogie qui compare deux termes implicitement c’est-à-dire qu’il n’ a pas d’outils de comparaison (on compare les coteaux à des tâches brunes).

actualité des 3 promeneurs aussi montre bien qu’il va se passer quelque chose puisqu’ restent muets « se taisaient « regardaient les dernières lueurs quitter les hautes branches »et tout l’environnement opposait le restaurant ou ils avaient mangés auparavant « on ne sentait plus l’odeur de friture et de poussière La phrase « la campagne brûlée par les rayons ardents de l’été sent la mort venir avec les premiers vents froids »montre bien eue le paysage s’est transfo 3 FO s venir avec les premiers vents froids »montre bien que le paysage s’est transformé en un véritable champ de mort.

Cette description a été établie afin identités sur la préfiguration de la mort de camomille avec les champs lexicaux (couleurs froides annonçant la mort ; lumière sombre ; le crépuscule venant ; la froideur ; la tristesse et l’eau montrant la noyade La description fait voir cette scène sous un autre ?il avec les figures de styles qui ont pour but d’émouvoir le lecteur en lui faisant voir autre chose que ce que lui-même veut bien voire. Il ne s’agit pas d’une vue d’ensemble ; des détails sont présents afin d’accentuer , de mettre l’accent sur cette mort brutale ; et sur cette nature accablante. « Eaux noires ; crépuscule d’automne ; frissonnant ; brûlée » .. Elle se compose en trois paragraphes : chacun ayant un rôle bien précis : le premier a pour but d’établir la description de la situation (endroit ; le temps présent ; les odeurs ; les sentiments) second a pour but de décrire ce qu’il y a en face des personnages(paysages ; ciel ; eau ; nature ; nuit). Le dernier établit l’attitude des personnages et le paysage s’effaçant ans le crépuscule afin de montrer que la mort est très proche.

En conclusion : Cette description a pour but d’annoncer la mort de camomille grâce à des procédés littéraires (figures de style ; champs lexicaux ; adverbes ; adjacents). Sala fait le tableau d’une nature impressionnante (éléments relevant de la composition d’une image). A cela s’ajoute qu’mile Sala construit la description de la scène comme un tableau dune nature impressionnante, en effet les lignes, la lumière , les mouvement 4 FO S scène comme un tableau d’une nature impressionnante, en effet les lignes, la lumière , les mouvements, les formes et les couleurs ont décrites avec précision.