Cette théorie est dite classique car elle repose sur les 3 piliers de l’analyse classique. C’est 3 piliers sont : Représentation de l’économie en termes de marché, où les prix sont les variables d’ajustement permettant d’assurer l’égalité de l’offre et de la demande sur ces marchés. – Neutralité de la monnaie. La monnaie n’a aucun rôle dans l’explication grandeurs réelles de l’économie. Elle sert uniquement à fixer le niveau général des prix à travers la théorie quantitative de la monnaie. Priorité accordée à l’analyse de l’offre de biens et de services en égligeant les effets liés à la demande de biens et de services sur l’activité économique. Par ailleurs cette thé néoclassique pour u car or 22 les agents (ménages, comportement de rn Les ménages maximi l’attribut de mentaire : es avor un ontrainte du revenu et que les entreprises maximisent leur protit sous la contrainte de fonctions techniques de production.
Pour produire, une entreprise a besoin d’un capital et de la force de travail. 3 raisons justifient la présentation de ce modèle – Représente le modèle que Keynes a pris pour cible pour justifier sa propre théorie Sert souvent de référentiel à beaucoup de raisonnements en matière de politique
Ce modèle comprend 4 marchés : le marché du travail, des biens et des services, des titres, et le marché de la monnaie. Ils sont concurrentiels ce qui signifie on a une situation, sur chacun d’eux, de concurrence pure et parfaite. En vertu de la Loi de Walras seuls 3 marchés sont étudiés. Dans une économie regroupant (n) marchés, si on a démontré que (n ») marchés sont équilibrés alors le (n)ième marché est équilibré automatiquement. Si (n-l) marchés (3) sont équilibrés û le nième ( le 4ème) le sera automatiquement.
Sur chaque marché, l’égalité entre l’offre et la demande est assuré par la flexibilité des prix. Le modèle est à la foi fondé sur la Loi des débouchés et sur la théorie quantitative de la monnaie. La Loi des débouchés : sur le marché des biens et des services l’offre crée sa propre demande. Ce qui signifie que les revenues istribué à l’occasion de la production (offre) sont affectés en totalité aux dépenses de biens et de services (demande). CA — Cl (conso intermédiaire) = V. A V. A (production) 0 Salaires V.
A – Salaire = Bénéfice Bénéfice Impôts C] Dividende Offre de B & S = revenu des ménages de PIB (somme VA) : Production : Y c Demande L’offre de B&S, qui correspond en économie fermée à la production des entreprises sur le territoire national (PIB) sert à rémunérer les salariés et les actionnaires (dividende). Les salaires et les dividendes forment le revenu des ménages, lequel st répartie entre l’épargne la consommation et les impôts (pas de transfert). L’Epargne étant de l’épargne placée (pas de thésaurisation), et OF et les impôts (pas de transfert).
L’Epargne étant de l’épargne placée (pas de thésaurisation), et si le budget de Fétat est équilibré, elle sera utilisée pour financer l’investissement des entreprlses. Les impôts sont utillsés par l’état pour financer les dépenses publiques. Le montant des impôts et des taxes sera égal aux dépenses publiques. On retrouve donc là les 3 composantes de la demande de en économie fermée: Consommation des ménages Investissement des entreprises – Les dépenses publiques. Sil n’y a pas de thésaurisation sur le marché de l’offre crée bien sa demande. Voir aussi cours Comptabilité Nationale). Ce qui pourrait remettre en question la théorie des débouchés c’est l’existence de la thésaurisation, or le modèle classique et néoclassique est aussi fondé sur la théorie quantitative de la monnaie qui suppose que la thésaurisation ne peut pas exister. En effet pour la théorie quantitative de la monnaie, la monnaie n’est qu’un simple instrument d’échange. La monnaie ne peut amais être détenue pour elle-même, ce qui implique que dans le cas de la théorie classique et néoclassique il ne peut pas y avoir de thésaurisation.
Adopter l’hypothèse de la théorie quantitative de la monnaie revient à exclure la possibilité de thésaurisation. Ce qui justifie la Loi des débouchés. Section 2 : La présentation du modèle classique et néoclassique. I Rappels sur les principales hypothèses des modèles. Ce modèle suppose que soient satisfaites les conditions suivantes : Les agents sont rationnels et maximisateurs. – Les entreprises maximisent leurs profils – PIB min – Salaire (=p. Y-Salaires) sous une contrainte ( Les entreprises maximisent leurs profils PIB min – Salaire Y- Salaires) sous une contrainte (avoir du travail et du capital). Les ménages maximisent leur biens être sous une condition (temps). Les marchés sont parfaitement concurrentiels. Les hypothèses de concurrence pures et parfaites sont les suivantes . – Les producteurs et consommateurs ont une information parfaite. – L’Atomicité de l’offre et la demande (il existe une offre et une demande composée d’éléments suffi nombreux et petits pour qu’aucun d’entre eux puissent influencer sur les prix. On limite le ouvoir du marché). – Homogénéité des produits échangés sur les marchés. Il n’existe pas d’élément de différenciation pour un même produit (marques). La libre circulation des facteurs de productions : capital & travail. (On peut travailler où on veut). – Liberté d’entrer sur les marchés et d’en sortir. Il n’existe pas de barrière à l’entrée (ex : barrière technologique), ni à la sortie. Si une entreprise ne doit pas faire de bénéfice, elle doit disparaitre. Les prix sont parfaitement flexibles. Ils peuvent varier à la hausse comme à la baisse pour assurer l’équilibre entre l’offre et la emande. La monnaie n’est pas considérée comme une forme de détention de la richesse. Elle est un simple instrument d’échange. Il.
Présentation de la théorie classique et néoclassique. C’est une théorie de court terme (on se projette sur une année). L’économie considérée est une économie fermée comprenant 3 agents (ménages, entreprises, état) et 4 marchés (du travail, financiers=des titres, de la monnaie des B&S). En vertu de la loi de Walras seuls 3 de ces PAGFd OF financiers=des titres, de la monnaie, des B&S). En vertu de la loi de Walras seuls 3 de ces marchés sont analysés et dans la logique e la théorie classique et néoclassique, étudie d’abord le marché du travail puls le marché des titres puis le marché de la monnaie.
Le marché du Travail : Sur ce marché, la demande qui émane des entreprises est confrontée à l’offre exprimée par les ménages. La flexibilité du salaire (réel), permet la réalisation automatique de l’équilibre de ce marché. La demande de Travail (NAd) : Elle est exprimée par les entreprises. Cette demande dépend négativement su salaire réel. Si W/p baisse NAd augmente Si W/p augmente E] NAd baisse L’offre de Travail (NO) ou (NAO) : Le comportement de maximisation des ménages, supposé par les classiques et les néoclassiques, conduit à exprimer l’offre de travail des ménages par une fonction croissante du salaire réel.
Autrement dit l’offre de travail dépend positivement du salaire réel. Lorsque le salaire réel augmente, l’offre de travail des ménages augmente aussi. Ce comportement de maximisation permet de déterminer les facteurs ou les éléments qui vont expliquer l’offre de travail des ménages. (2) avec O W/p= Salaire réel. La condition d’équilibre : La condition d’équilibre du marché du travail correspond ? ‘égalité de l’offre de travail et de la demande de travail. (3) Avec * : valeur d’équilibre Cette épalité signifie qu’il u de salaire réel qui PAGF s OF permet l’équilibre Na=NAd.
Sectlon 2 : les marchés Les acteurs économiques ou les agents économiques effectuent leur transaction sur trois principaux marchés : Marché des Marché du Travail Marché des capitaux des titres financiers des fonds prêtables. Sur chacun de ces marchés on a une offre, une demande, une condition d’équilibre. Offre désirée Demande désirée Ex-ante : ex : les ménages veulent travailler Ex : la demande, les besoins de l’entreprise Comment ? 0 Selon la théorie. Ex-post : L’équilibre comptable, une fois que les transactions ont été effectuées, à la fin d’une période donnée, est toujours vérifié.
En revanche, l’offre désirée et la demande désirée ne sont pas forcément égales. On passe d’un éventuel déséquilibre excentré à un équilibre comptable grâce à deux mécanismes : – la variation des prix (mécanisme d’ajustement supposé par les classiques et néoclassiques) – l’ajustement par les quantités (mécanisme d’ajustement supposé par la théorie keynésienne. l. Le marché de Offre de B&S : Provient des entreprises et du RDM. L’offre de B&S des entreprises s’appelle la production (Y) en macro (=PIB en Compta Nat) L’offre de B&S du RDM = Importation (M) Demande de : Provient des entreprises, ménages, état, et ROM.
Cl Des ménages : Consommation Des entreprises : Investi PAGF OF FCBF + variation Stock le stock de capital des entreprises. La consommation de captal fixe, c’est la part de l’investissement qui permet de remplacer la part du capital usé. 1/01/2012 14 machines= stock de capital Achat : 6 machines 4 tombent en panne FNCF=2 Stock de capital au 1er janvier sera de 16. Les dépenses publiques, c’est l’achat de B&S par Pétat. Les exportatlons, ce sont les achetés par l’étranger.
En économie ouverte Demande de C+ I En économie fermée Demande de BBS* C+ I AMPHI L’équilibre sur le marché du travail est représenté par l’intersection des droites d’offre et de demande. Cette condition d’équilibre permet de déterminer le salaire réel d’équllibre (W/ p)* et le niveau d’emploi d’équilibre N*. Tous les individus qui acceptent d’être rémunéré au salaire réel d’équilibre trouvent un emploi. Le chômage involontaire ne peut pas exister et le plein emploi est toujours réalisé. Le chômage volontaire qui peut xister concerne la population qui n’accepte pas de travailler pour le salaire réel d’équilibre (W/p)*.
Ce chômage volontaire est mesuré par la différence entre la population active et la population au travail. pour la théorie C et NC, pour étudier les marchés, on commence toujours par le marché du travail. Pour produire il faut du ca PAGF 7 OF ail. Lorsqu’on connait fixe : Y = f(N) avec k : le stock de capital fixe Ce qui implique que la production ne varie qu’en fonction qu’en fonction du nombre de personne embauchées, de l’emploi. Cette fonction de production donc : Dans la mesure où l’emploi st déterminé par la condition d’équilibre du marché du travail (N*) on peut en déduire le niveau d’équilibre de la production (Y*).
La production d’équilibre est déterminé par la fonction de production, une fois connu le niveau d’équilibre de l’emploi : Si l. Le marché des Capitaux : Marché financier : Marché des fonds prêtables. Offre de Capitaux : Capacité de financement de l’économie. Ces capitaux sont offerts par les agents qui ont une capacité de financement : les ménages et parfois l’état quand il est en excédent budgétaire. Les ménages sont toujours en capacité de inancement. = Epargne des ménages + Excédent budgétaire de l’état.
Demande de Capitaux : Forme le besoin de financement de l’économie. Cette demande est exprimé par les entreprises pour financer leur investissement et parfois l’état (déficit budgétaire). Les agents qui sont en besoin de financement sont les entreprises et éventue pour financer leur déficit (besoin de financement) Investissement Déficit Budgétaire DB (X) : selon l’exercice : l’auto financement peut apparaitre mais pas La Condition d’Equilibre du marché des Capitaux qui s’écrit en général : Offre capitaux – Demande capitaux
Va s’écrire plus précisément Si budget état est équilibré : S= – excédentaire : S + EB I Si – déficitaire : S = I + DB Pour produire il faut du capital et du travail. Lorsqu’on connait le niveau de l’emplol, on va pouvoir déterminer Hoffre de B&S, c. à. d. le niveau de production. En effet le niveau de production est donné par la fonction : A court terme on suppose que le stock de capital K est fixe : fonction de production donc : Dans la mesure où remploi est déterminé par la condltion d’équilibre du marché du travail entreprises et est donc égale à leur investissement. OT=I – Investissement
Il dépend négativement du taux d’intérêt, lorsque le taux dintérët augmente le montant d’investissement dans une économie diminue. Cette relation inverse entre le taux d’intérêt et le montant d’investissement s’explique par le fait que les entreprises comparent la rentabilité attendue d’un projet d’investissement avec le cout de cet investissement, c. à. d. avec le taux d’intérêt. L’entreprise réalise son projet d’investissement seulement si la rentabilité attendue est supérieur au cout (taux d’intérêt du marché). I = l(i) avec l’i < O Condition d'équilibre Offre de titres = demande de titres