La cloche sonna après la première période de la journée à la polyvalente JHL. C’était un matin comme les autres, tranquille ou les personnes se regroupaient entre amis pour la récréation. Martin 17 ans, finissant en secondaire cinq cette année la, marchait pour aller rejoindre ces amis. Francis son meilleur ami lui aussi finissant et claude le plus jeune du groupe du haut de ces 16 ans. En ouvrant leurs casiers , le trio se rendit compte que leur cellulaire n’y était plus.
Martin était sous le choc, son cellulaire contenait tout sa vie , des essages textes les plus personnels aux photos de la mère de son meilleur ami pas très habillée. La peur et l’angoisse firent Swipe Lo nexL page place à la colère. Dan propagent vite, s’en de secondaire trois p o, casiers. Martin bien courait partout dans or2 s nouvelles se Martin. Un élève amusé à voler les rager à ce moment une félix avec une colère pas possible.
La troisi me cloche annonçant le début du deuxième cours sonna bien conscient que Félix devait être en our, il ce rendit donc a l’évidence, les photos devaient avoir fait le tour de l’écale et que francis serait au courant
Au bord du désespoir martin ce résolu a allé tout avouer a son ami sachant qu’Il se ferait probablement battre ou torturer, Martin avait pleuré toutes les larmes de son corps. Dans son sprit les idées ce bousculait, les malheurs auxquelles il pourrait être confronter face a francis. Il savait pertinemment que son meilleur ami avait un tempérament colérique. Plus il approchait de la salle de cours plus l’angoisse et la peur s’emparait de lui. Il entrouvrit la porte de la classe il croyait bien que sa tête allait explosé il aurait préférer mourir que d’avoir affronté son ami. ? peine eux-ils mis deux pieds dans a classe que la professeure lui annonçait qu’il était convoqué au bureau du directeur, il balaya a classe du regard et remarqua que la place de francis était vacante. Arrivé au bureau du directeur Martin remarqua aussi-tot les souliers de Francis dans l’entrebâillement de la porte, il entra et s’assoya. Le directeur pris alors la parole : Les garçons ce matin nous avons fouillé taus les casiers de l’école et nous avons trouvé quelque chose a l’intérieur vous serez sanctionné pour avoir désobéie aux règles de l’école. Vous copierez 100 fois : je ne dois pas avoir un cellulaire à l’école.