Dissertation Taux De Profitpdf

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Dissertation Le profit est une des caractéristiques au fondement même du capitalisme. Le profit, aujourd’hui, désigne couramment la différence entre les dépenses occasionnées par la production ou la vente de biens et services et les recettes obtenues par l’entreprise qui les produit ou les livre sur le marché. Cependant le profit a, dans la pensee economque eu plusieurs définitions ce qui a soulevé plusieurs débats.

Pour David Ricardo économiste libéral du 19ème siècle, le p après le paiement de re ainsi que des salaires ez. & l’activité productive e au capitaliste. pour K marxiste avec Engels, le profit, ns où il est fixé a valeur crée par eur de l’école dans le système capitaliste naît de la séparation entre les détenteurs des outils de productions (les captalistes) et les détenteurs de la force du travail (les ouvriers).

En effet selon lui, le travail est le seul facteur apportant une plus-value aux matières premières qui ont servi ? produire le bien ou seraice vendu. Le profit est donc le résultat et l’objet d’une lutte, il naît de l’exploitation du travailleur par le capitaliste. Ce dernier exploite la force de travail de l’ouvrier en s’appropriant une partie du fruit du travail de ces erniers. Le

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profit viendrait du fait que les capitalistes ne rémunèrent pas la force force du travail à sa juste valeur.

Ces auteurs se sont penchés sur la dynamique de long terme du système capitaliste afin d’en vérifier sa durabilité et voir son efficacité sur le long terme. Malgré des cholx politiques divergents (Ricardo était un interprète des capitalistes alors que Marx soutenait les prolétaires ? renverser les capitalistes) et un raisonnement différent, ces deux Économistes en sont arrivés ? la même conclusion, il est impossible d’assurer une croissance durable dans le cadre du apitalisme.

Au centre de leurs analyses, on retrouve un paramètre commun. Le taux de profit. En effet celui ci est au cœur du système capitaliste ; un taux de profit élevé amène des revenus élevés pour les capitalistes. Ils pourront ainsi disposer de ressources pour investir, et donc espérer des perspectives de profits accrus pour l’avenir. Le taux de profit est donc une variable au centre de l’activité économique et son importance dans la croissance économique est cruclale.

Mais quels sont les mécanismes énumérés par ces auteurs pour démystifier la non durabilité d’un taux de profit élevé ? Nous étudierons leurs théories dans un ordre chronologique, nous commencerons donc par la théorie de David Ricardo puis nous finirons sur celle de Karl Heinrich Marx Ricardo reprend l’idée de Smith que les revenus se départagent entre le profit, la rente et les salalres. Le profit correspond à la rémunération du capital, ou plutôt au risque de l’investissement de capital. orrespond à la rémunération du capital, ou plutôt au risque de l’investissement de cap tal. La rente rémunère la terre que le propriétaire terrien va laisser exploiter. Les salalres rémunèrent la force de travail des travailleurs. Contrairement à Smith, Ricardo conçoit que la rente n’est pas absolue, mais qu’elle est fixée selon certains mécanismes, et donc de manière résiduelle. La détermination de la rente se fait selon les différences entre la nature des terres.

Ricardo rappelle que la rente ne correspond pas au profit des installations ou des investissements qui auraient pu être fait sur un terrain, mais correspond seulement ? une partie du produit des facultés naturelles de la terre. La valeur d’un produit de la terre est déterminée par la quantité de travail direct et indirect incorporée dans la terre la moins fertile, celle où il faut le plus de ravail.

Dès lors, la rente d’une terre se détermine par la différence entre la quantité de travail nécessaire sur cette terre, et celle nécessaire sur la terre la moins fertile pour obtenir le même produit. On voit ici que ni le salaire, ni le profit n’entrent en compte dans la détermination de la rente. Il reste maintenant à déterminer comment le salaire et le profit sont départagés. Chez Ricardo, le salaire est dit « naturel c’est à dire qu’il permet seulement aux travailleurs de survivre et de nourrir leurs familles. Cela sans permettre à la population d’augmenter. Il correspond donc à la somme des