T3 Progr S Technique

T3 Progr S Technique

Séance 3 Progrès technique et emploi Construire une analyse approfondie sur le suet suivant pour en tirer une problématique et un plan succinct Le rôle du progrès technique dans l’emploi. Définitions des termes du sujet . Progrès technique : Le progrès technique peut être défini comme l’ensemble des éléments qui permettent d’améliorer les méthodes et d’accroître la production sans que soit modifiée la quantité contributive de facteurs de production. C’est à dire l’ensemble des innovations permettant d’améliorer l’efficacité du système productif, de créer de nouveaux produits ou de ouveaux procédés commerciaux.

Le progrès technique peut aussi se présenter ? damélioration des bi générale, de l’ouvert multiples domaines. (Le progrès techniqu dz Swape loview nextp g s d’innovations, ne manière plus hés dans de tribuer ? l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble des populations) Emploi : Distinction macroéconomique et microéconomique. D’un point de vue macroéconomique, il s’agit de la population active occupé. En revanche d’un point de vu microéconomique, on parle de la quantité d’heure de travail qui dépend de son ttrait pour celui-ci et de la rémunération perçu.

Un emploi est un contrat passé entre deux parties, l’employeur et l’employé, pour la réalisation d’un travail contre une rémunération, par l’exercice d’une profession,

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ou bien pour un travailleur indépendant, la réalisation de multiples contrats implicites ou explicites dans le cadre de rexercice d’une profession. L’emploi confère également un statut social, c’est à dire une place dans la société, une identité sociale. remploi représente l’ensemble du travail fournis au sein d’une économie nationale par l’ensemble de la population active qui ‘est pas au chômage.

Analyse : Le progrès technique permet D’une part d’accroître le nombre d’emploi du fait de la découverte de nouvelles technologies, l’approfondissement de nouveaux marchés. De nouvelles connaissances se développent et la proportion de métiers de hautes qualifications ne cessent de s’accroître. Les nouvelles machines sont génératrices d’emploi : Pour construire ces machines il faut des travailleurs mais aussi de la main d’œuvre pour les entretenir et les réparer. (Mais nombre d’emplois crées aux nombre d’emplois détruits).

La croissance engendrée par le progrès technique favorise l’emploi : Les gains de productivité induits par le progrès technique favorisent la croissance. Ils peuvent se traduire par une baisse des prix conjointement à une hausse des salaires et ainsi une augmentation de la consommation. L’E. B. E sera utilisé par l’entreprise de plusieurs façons : une partie sera redistribuée aux actionnaires sous forme de dividendes, une autre servira ? l’investissement et elle pourra aussi l’utiliser pour acquérir des titres boursiers.

Ainsi, face à une augmentation de la demande, ‘entreprise pourra augmenter son intensité travaillistique grâce aux gains de productivité. En effet l’apparition de nouveaux produits engendre la création de nouveaux marchés générateurs d’emploi. D’une autre part le progrès technique permet également de réduire le nombre d’emplois dit de « basse qualification » grâce ? a substituabilité des facteurs de production. Dans le cas présent, le facteur capital est plus rentable et plus efficace que le facteur travail. Rythme trop rapide du progrès technique : La multiplication rapl 2 plus efficace que le facteur travail.

Rythme trop rapide du progrès technique : La multiplication rapide des innovations rend de nombreux postes de travail existants et de moins en moins rentables. La substitution du capital au travail avec l’introduction de nouvelles machines plus productives a pour conséquence de réduire le nombre d’emplois nécessaires à la réalisation du volume de production désiré (par une augmentation de la productivité). De plus l’intégration du progrès technique à un coût de plus en plus important ainsi les investissements des entreprises en faveur du progrès technique se fait au détriment du travail.

Thèse de la «théorie technologique du chômage » : pour un niveau donné de la production, une augmentation de la productivité telle que l’engendre le progrès technique réduit l’emploi disponible. De nos jours, on constate que le progrès technique est fondamentale et que la recherche d’innovations pour conquérir de nouvelles parts de marché est primordiale pour une entreprise conquérante et décidée à prendre de l’ampleur où a asseoir et conforter sa suprématie.

De plus, Le manque de dynamisme et de réactivité à l’innovation handicape l’économie, diminue a compétitivité et provoque le déclin de l’emploi. En effet le manque d’innovation rend l’entreprise moins compétitive de part une stagnation de la productivité mais aussi une perte de certaines parts de marché liés à une absence d’innovation de produit I y a donc 2 types de conséquences complètement opposées de l’omniprésence du progrès technique dans l’emploi, nous pouvons donc dire que le progrès technique permet à la fois de créer des emplois mais également d’en détruire.

En effet, il faut des travailleurs pour construire les nouvelles machines, les entretenir, veiller à leur b entretenir, veiller à leur bon fonctionnement De plus, le progrès technique change la nature des emplois : Il modifie la répartition sectorielle des emplois et a des effets sur la qualification des emplois… L’apparition de nouvelles machines, de nouvelles méthodes de production demande plus de compétences aux salariés. En effet ces derniers devront suivre une formation plus poussée pour pouvoir utiliser pleinement ces nouvelles machines de production.

Conséquence : Le progrès technique entraîne une hausse des qualifications et donc une hausse de l’embauche sur e marché primaire au détriment du marché secondaire (emploi peu qualifiés) car les nouvelles machines et nouvelles méthodes de production demandent de nouvelles compétences. L’innovation peu aussi réduire le niveau de qualification des employés : Certaines machines de productions innovantes permettent de remplacer les travaux qui demandaient une qualification particulière par des emplois peu qualifiés. Ainsi certaines machines peuvent réduire les compétences demandées aux travailleurs.

Cf. : Le développement du taylorisme a ainsi réduit les qualifications des travailleurs. Le progrès technique peut être facteur d’exclusion : Les personnes ayant perdu leur travail du fait de l’introduction du progrès technique dans leur secteur d’activité n’auront pas nécessairement les qualifications requises pour intégrer un autre secteur ou un nouvel emploi Problème d’adéquation des compétences, le progrès technique contribue donc ? l’augmentation du chômage structurel qui est un chômage de longue durée pouvant être source d’exclusion du marché du ..

Mais mod•fie également la répartition sectoriel de ces emplois . Loi des se 4 du travail. … Mais modifie également la répartition sectoriel de ces emplois : LOi des secteurs CLARK & FOURASTIE : A court terme : Selon cette théorie, le progrès technique, lorsqu’il est introduit dans un secteur d’activité ou une branche, détruit des emplois dans ce secteur, on parle de substitution capital/ travail : les « machines » remplacent les hommes.

A long terme : Le progrès technique permet des gains de productivité. Or, la répartition des gains de productivité va permettre l’accroissement de la demande, mais cette demande ne se portera pas forcement vers les produits du secteur dans equel le progrès technique a été introduit, elle pourra se porter vers d’autres secteurs. La production augmentera donc dans ce nouveau secteur, ce qui sera source de création d’emplois.

On a pu observer ce phénomène avec d’abord le déversement des emplois du secteur primaire vers le secondaire, puis aujourd’hui de plus en plus du secteur secondaire vers le secteur tertiaire. On peut donc dire que le progrès technique change la nature des emplois : le processus de déversement des emplois entraîne une tertiarisation progressive des emplois. Limites du déversement sectoriel : La répartition des gains de productivité n’entraînent pas toujours une augmentation de la demande.

On suppose que ceux qui viennent de perdre leur emploi dans un secteur trouveront immédiatement un nouvel emploi dans un autre secteur. le processus de déversement des emplois entraîne une Nous pouvons également souligner que le progrès technique peut être source d’exclusion : ceux ayant perdu leur emploi du fait de l’introduction d’un progrès technique dans leur secteur productif n’ont en effet pas nécessairement les qualifications requises pour postule S