III. L’aspect argumentatif, la denonciation Le poete repond avec un engagement politique. La denonciation nait du pathetique qui contribue a mettre l’injustice en avant. Mais le poete cherche la responsabilite, de maniere progressive 😕 Dans le recit, nous avons » on « , relativement general, ensuite » ils « , puis » M. Bonaparte « . > Tout d’abord l’idee de responsabilite collective de la population, ensuite l’idee de dissociation d la grand-mere, puis la responsabilite directe.
Sujet de l’infinitif » tuer « . Il existe un registre ironique.? Association inattendue entre » prince » et » pauvre « . Par » richesse » : cote superficiel et luxueux de la vie de Napoleon. Accumulation : effet accusateur, contraste avec pauvrete de l’enfant.? Effet de decalage entre les biens recherches et possedes, et le role moralisateur. Rapport faussement logique.? Accusation de l’idolatrie dont il est le sujet v. 57, fausse logique v. 58-60.
Rapprochement entre caprices du prince et mort de l’enfant. Critique renforcee par generalisation : » une » ; » des « . Precision de l’age. D. L’image de l’enfant mort – v. 1, elements descriptifs > soulignent horreur d’une mort pitoyable? – Ton neutre d’une constatation > nait de cette economie de moyens a evoquer la
L’image de l’enfant vivant Contraste : passe heureux, prometteur ; fait naitre l’emotion, la revolte. v. 8 » toupie en buis « , v. 27 a 30 : Grand-mere > souligne l’injustice de cette mort. Indicateur temporel : » ce matin » a) La souffrance : – champ lexical de la souffrance : « pauvre petit etre » : compassion de Victor Hugo. – enumeration d’adjectifs qualificatifs : « petit » ; « pleure » ; « pauvre » – souffrance de la grand-mere : hyperbole « les sanglots l’etouffant » xageration qui insiste sur la douleur de la grand-mere, elle se comporte avec beaucoup de tendresse et de sollicitude. -emotion et bouleversement des personnes presentes provoques par la ponctuation (interrogatives et exclamatives) – l’emotion du lecteur (pour la souffrance des personnages) nait du contraste entre la simplicite du lieu et la durete de la scene representee. – on repere la souffrance de la grand-mere par la double perte dont elle a ete victime : « je n’avais plus de sa mere que lui ».