Situation psy

Situation psy

Voila je vous expose ma situation clinique qui ma interpellé. POurriez vous sève m’aider a trouver une problématique: En bref, est une dame qui souffre du fait de son handicap, de devoir finir ses jours en Maison de retraite, très peu de visites, et peu de temps accordé par le personnel soignant ( maltraitaient par négligence…. ). Situation clinique Lors dune stage en maison de retraite, j’ai été amené à m’occuper tous les matins de la toilette d’un secteur de résidents. Parmi eux, se trouvait une dame, que nous appellerons me M. Âgée de 65 ans, victime d’un AVEC il y a peu de temps et qui a eu pour ensemence une oh Elle était veuve depuis sur deux étages: ch. salon au réez-de-chah âgée de 41 ans et de dans une maison , étage, et cuisine et aisance à une fille, ait très rarement puisqu’ habitait assez loin ( environ 2 heures de trajet jusqu’ la maison de retraite). me. M a eu un accident vasculaire cérébrale il y a environ 5 mois, et suite à une longue période de convalescence, elle pour conséquence un handicap: une hémiplégie de la partie gauche de son corps.

A ce jour, me

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M est en maison de retraite depuis 2 mois. Mon premier jour de stage fut ma première rencontre avec cette âme. J’étais alors accompagné dune aide-soignante et nous nous venions pour l’aider dans ses soins d’hygiène et la mise au fauteuil. Son nouveau cadre de vie, si je puis dire, était une petite chambre de 25 mes avec quelques commodes et une télévision. Les deux premiers jours de stage, j’ai été amené à collaborer dans mes soins avec une aide-soignante. me M. Est une personne très sympathique et, dès notre entrée, engager d’elle-même la conversation. A ce moment là, il est hui: la résidents regardait la télévision dans un noir obscure: les volets étaient encore armes. Dès lors l’aide-soignante, se pressait, la discussion ne tournait finalement qu’autour de ce soin. En effet, l’aide-soignante sortait les vêtements selon ses goûts puis disait: « On met ca aujourd’hui !? » sur un ton qui faisait comprendre que la résidents n’avait pas réellement le choix.

De plus, tout s’enchaînait comme un travail à la chaîne et pas tout à fait dans la bonne chronologie: le dos, la toilette du bas, la petite toilette, habillage du bas puis la mise au fauteuil et l’accompagnement dans la salle de bain. Cet ordre fut justifié par nécessité d’un gain de temps: « Comme ca us l’emmenons dans la salle de bain et pour la fin de la toilette me. M est capable de s’en charger. » Au bout dune dizaine de minute,nous quittions la chambre. Durant mon stage, mon travail a été sectorisé: j’avais à ma charge personnes dont me. M.

Parmi les soins que j’avais à exercer: il / a avait 4 toilette complète au lit et 4 aides à la toilette plus ou l’avais à exercer: il y a avait 4 toilette complète au lit et 4 aides à la toilette plus ou moins facile. Roux les matins, je me rendais dans la chambre de me. M afin d’assurer ses soins d’hygiène. Cet instant, c’est comme cela que je résumais le travail infirmier n maison de retraite: les soins d’hygiène corporelle. C’est un constat que j’avais pu faire lors des deux jours où j’avais collaborer en bonhomme avec une aide-soignante. Pourtant, très rapidement je me suis remise en question dans mon travail.

Peu à peu, j’essayer d’établir une relation avec les personnes ma charge et avec me. M, le courant est très bien passé. Elle était ravie de me voir entrer dans la chambre: un petit sourire se sur son visage tous les matins. Cependant, au fil des jours, l’ai ressenti un besoin de se confier à moi: elle me dit qu’elle ne supportait pas le fait d’ être dépendante à ce point et qu’elle ne allait pas être ici, en maison de retraite. La décision de son placement en institution avait été prise par sa fille car, celle-ci, habitant loin, et admettant que sa mère avait besoin dune aide, ne voyait pas d’autre solution.

De plus, elle travaillait toute la rouanne et ne pouvait donc pas la prendre en charge elle-même. De ce fait, elle ne pouvait pas recevoir de la visite fréquemment, elle se sentait seule et avait du mal à s’imaginer finir ses jours dans cet établissement alors qu’elle n’avait que 65 ans. En effet, une grande majorité des résidents étaient u établissement alors qu’elle n’avait que 65 ans. En effet, une majorité des résidents étaient un peu plus âgés. L’étais très touchés par ses paroles.

Après l’avoir longuement écoutés, je me suis rendue compte que le temps pressait et je quitta la chambre avec un léger mal-être car je ressentais que :été dame avait besoin de parler mais la contrainte du temps avait pris le dessus. L’avais appris au cours de nos discussions que me. M ne dormait pas très longtemps le matin mais qu’elle n’aimait pas non plus qu’on vienne la déranger trop tôt. C’est pourquoi, sur les coup de oh, j’entrais dans sa chambre afin de lui ouvrir les volets pour elle puisse un peu profiter de la lumière du jour, et je revenais plus tard pour l’aider dans sa toilette.

Elle fut très touchée de mon comportement et me remercia. Quotidiennement, après le repas de midi, je la raccompagnais dans sa chambre. Puis, elle me demandait , généralement, de bien vouloir l’aider à la réinstaller dans son lit car, à son habitude, une petite sieste s’imposait. Pourtant, un jour une aide-soignante me fit une remarque: « Tu sais, il ne faut pas la recoucher après le repas, il faut qu’elle reste éveillé et qu’elle reste dans son fauteuil, ‘équipe d’après-midi n’ pas forcément le temps de la réinstaller dans son fauteuil.

Cette dame n’assistait pas au peu d’activités, Inintéressante selon elle, proposés au sein de la maison de retraite, elle n’avait pas trouver de réels amis, ce qui l’enfermé 4 sein de la maison de retraite, elle n’avait pas trouver de réels amis, ce qui l’enfermait dans une profonde solitude. Un jour, en entrant dans sa chambre, me. M fondit en larmes. Le lui demandais immédiatement ce qu’il n’allait pas et elle me répondit: « Je n’en peux plus, vous savez mademoiselle, le préférerai mourir plutôt que de continuer à vivre ici Je suis Inutile. Je vous dérange.

Je ne peux rien faire seule, je ne peux pas me déplacer toute seule, je suis loin de ma famille, j’aurai p ferai mourir lors de cet AVEC. Je ne m’ ferais jamais. Vous me comprenez? » Et, la j’ai ressentit un grand malaise. En effet, je ne savais plus quoi répondre. Je me suis imaginé à sa place et en toute sincérité, le pensais la même chose qu’elle mais je ne pouvais évidement pas le lui dire. Ma seule réaction a été: « Il ne faut pas dire a, vous verrez ca va aller. » J’essayais de la consoler mais je ne trouvais pas les mots. Cette dame avait un réel besoin de résidence, de se divertir, de discuter et de se sentir utile.

Elle a besoin de se sentir considérer, valoriser sans quoi je pouvais m’imaginer un sombrera dans la dépression. Mon devoir en tant que futur soignant étaient d’essayer d’éviter cela. Ces pourquoi immédiatement j’en ai fait part à l’équipe soignante mais rien n’ été entrepris pour l’aider, les seules réponses qu’on pouvait me fournir étaient les suivantes: « Il lui faut du temps, elle va s’habituer, on va voir pour éventuellement faire venir une psyché Il lui faut du temps, elle va substituer, on va voir pour éventuellement faire venir une psychologue. Pour ma part, l’essayais de lui accorder un peu plus de temps, de prendre en compte ses demandes, de lui laisser libre choix pour ses vêtements…. Mais il est vrai, qu’en maison de retraite, le temps passe très vite pour nous, les soignants, et nous ne pouvons pas toujours agir comme nous le voudrions. Je quittais tous les jours mon poste avec un sentiment de non accomplissement,d’impuissance, un certain mal-être. Mon stage s’est terminé et j’avoue avoir été très affecté car, contrainte par les conditions de travail, j’avais délaissais quelques unes de mes compétences infirmières, mes valeurs professionnelles et personnelles.