Risques du crédit

Risques du crédit

Les banques commerciales sont s ‘ par ‘ es en g’ en ‘ oral en deux cat ‘ égéries, selon le type de client’ elle : la banque de d étal est en charge es particuliers et PÂME, la banque d’affaires est en charge des grandes entreprises. D’autre part, les banques d’investissement travaillent sur les marcha ‘ es financiers qu’elles intérim tient et sont en charge des émissions en primaire de titres sur les marcha ‘ es pour le compte de leur clients, les fusions-acquisitions, le d’investissement, mais est peu a peu tome?eu en d eus étude pour dissipa être en 1999 suite ? a la Cr ‘ tentation de citations.

citations est un exemple de banque dite universelle, comme il en existe beaucoup en européen. Les banques universelles rassemblent au sein d’un m *me groupe es activité ? es de banque commerciale, de banque de r’ seau, mais aussi de gestion d’actifs, de services financiers aux investisseurs, de services financiers sept calais es (Cr ‘ édits ‘ a la consommation, assurance… ). Pour bien comprendre la nature des risques de la banque, et la fa,cône dont elle va les g’ réer, il faut connu être ses interlocuteurs.

Ceux-ci sont

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de trois types ? ? Cr’ inciser : l’activité?e de base de la banque est de pré- être de l’argent ‘a ses clients afin qu’ils puissent financer leur activité e ou leurs projets. Les Cr ‘ inciser de la banque sont donc des particuliers, des entreprises, ou des ‘états. ? marcha ‘ es financiers : l’AC ‘es privé’ égaie de la banque aux marcha es est d’autant plus important que 3 4 CAPTER 1.

LES RISQUES DANS LA BANQUE cela permet ? a la banque de g’ réer une partie des risques engendre ‘ es par son activité ‘ e de financement. ? R ? égalisateur, autorité ‘e de tutelle : l’activité?e bancaire est tri es r également’ eu, d’une part en France par l’MAFIA (autorité?e des marcha es Financiers), d’autre part par la commission bancaire qui impose aux banques de mettre des fonds propres en couverture du risque qu’elle prennent. Il existe donc un parada 2 FO n couverture du risque qu’elle prennent.

Il existe donc un paradoxe au niveau des banques : si une r ‘ agglomération intervient sur le niveau de risque des banques, les d ? opposants sont plus confiants et la banque y trouve son anti er – et. 1. 2 finition des risques, typologie des risques Le risque est il ‘e ? a la notion d’incertitude (variabilité?e des gains ou pertes) mais ‘ également au fait qu’il a des coins conséquence n agitées : on parle rarement du risque de gagner !

Ces deux aspects de la notion de risque sont contenus dans les mesures de risque habituellement utilise es. La variabilité’ e des gains est mesure eu par a volatilité e, alors que les coins conséquence n agitées d’un risque sont mesure’ es par la VaR (Value ta iris). De fa,cône g’ en râle, un risque est un ‘ave’ mènent qui peut affecter la chronique des flux ? a recevoir par un établissement financier (son compte de r’ sultan, sa valeur actuelle nette, ses ‘états financiers).

On distingue toutefois les risques portant sur un d buteur sept civique des risques du système me tout entier, portant sur l’ensemble des banques. On parle respectivement de risque sept ‘ civique et de risque système ‘ unique, ce dernier étant une perturbation qui affecte gravement le inconsciemment du système me, c’est- a-dire ses acteurs (banques, institutions finança ères), ses m canisses de fonctionnement (système mes de compensation, de r’ également,… ) et ses m ‘ canisses r’ galanteries.

Ce risque système ‘ unique est susceptible d’engendre 3 FO r’ également,… ) et ses m canisses r’ galanteries. Ce risque système unique est susceptible d’engendrer des faillites en ch.- inné au sein du système? me bancaire. Es risques portant sur les banques sont de deux types : il y a les risques financiers et les risques non financiers. Les risques financiers sont les risques il ? es aux rotations de prix des actifs financiers (actions, obligations, taux de change).

On distingue : ? Risque de liquidité?e : Il s’agit du risque le plus important pour un établissement bancaire qui se mat’ réalise en g’ en oral par une course au guichet des ‘ épargnants pour retirer leur ‘ épargne suite ‘a une rumeur de non solvabilité’ e par exemple. ? Risque de Cr ‘ édit : c’est le risque « historique » de la banque dont les m tiers de base sont le pré- et et le financement. Une banque qui pré-été ‘a un ‘état risque ou ‘a une entreprise risque ‘ eu prend le risque de ne pas r occupe? réer l’anti’ égarait’ e du principal de son pré « et. Ce risque est il ‘e ‘a la qualité de signature de l’emprunteur.

Le risque de Cr’ édit se subdivise en 4 cat égéries : le risque de d faut du client, le risque de d ? gradation de la qualité e de sa signature (risque de transition de ratine), le risque de marche sur la qualité de sa signature (ou risque de espéra) et le risque de contrepartie sur les contrats d ? arrive ‘ es avec une contrepartie risque ? eu. ? Risque de taux d’anti ? er -et : la hausse de la volatilité’ e des taux d’anti’ er-êtes survenue ‘a partir des an’ es 70 a permis l’essor 4 FO hausse de la volatilité?e des taux d’anti er- êtes survenue ? a partir es an es 70 a permis l’essor de la gestion actif-passif.

Les d’ épée- ôtes collectée ‘ es (qui sont des engagements ‘a court 1. 3. MESURE ET CONTRÔLE DU RISQUE 5 terme de la banque vis- ‘a-vis des d’ opposants) sont plaça ‘ es ‘a moyen et long termes, faisant courir ? a la banque un risque de taux d’anti er -et important compte tenu des sommes mises en Jeu. ? Risque de change : un ‘établissement international a des activité es dans défi’ errent pays et publie un bilan dans une seule devise. Son r’ sultan est donc sujet aux fluctuations des taux de change. Risque de marche : outre que les banques sont des investisseurs pour compte propre, leurs activité ‘ es d’intérim édition sur les marcha es financiers engendrent des risques il es aux fluctuations des marcha es (taux d’anti’ er nets, taux de change, Cr ‘ édit, actions matin ‘ères premier ères). ? Options cacha ‘ es : ce risque est surtout important en banque commerciale. Un des exemples les plus courants est celui il ‘e ‘a l’option de remboursement anticipée d tenue par de nombreux particuliers qui s’endettent apparu? es des banques pour qua ? réer leur r stridence principale.

En effet, lorsqu’ client rembourse de fa. cône anticipa ‘ eu son Cr? édit, la banque doit énoncer ? a toucher les flux d’anti er ? êtes qui étaient pré? vus dans le futur, ce qui constitue un manque ? a gagner. Par ailleurs, des produits d » épargne tri ‘es courants L par exemple contienne s 3 Par ailleurs, des produits d » épargne tri es courants tels que le PELÉ par exemple contiennent de nombreuses options de taux d’anti’ er -et, qui ne seront en g’ en’ oral pas exerce’ es de fa. cône optimale, ce qui rend leur couverture d’autant plus difficile ‘a calibrer.

Les risques non financiers comprennent entre autres : ? Risque de marges (ou de volume) : de nombreuses activité’ es encaisses ont des revenus proportionnels au volume d’activité e. C’est par exemple le cas des assit managers (r’ même ‘ aération proportionnelle aux encours g’ er’ es). Dans ce cas, si les levé’ es d’encours sont faibles, les r ? même ‘ rations futures seront faibles. ? Risques r’ galanteries et I ‘ égaux. ? Risque op ‘ rationnel : fraude, buggy informatique, incendie des locaux…

Les grands sinistres bancaires sont souvent dus au risque op ‘ rationnel (barrais, SAGE). Selon le document consultatif du commit e de 3 -allé, les risques op ‘ irrationnels se d’ finissent comme les risques de pertes directes ou indirectes ‘ exultant de l’inadaptation ou de la d ? vaillance de prof ‘ dures, de personnes ou de système »mes ou r’ exultant d » ave’ emmènent est ‘ erreurs (« thé iris Fo direct or indirect Loos résultent froc inadéquate or faille internat processus, peuple and système or froc externat vents »).

Cette d’ finition a ‘ et ‘e critique ‘ eu, car il est relativement difficile de calculer certaines pertes indirectes. 1. 3 Mesure et contre- elle du risque La mesure et le contre-elle 6 ont r’ allies es ‘a plusieurs contre La mesure et le contre-elle des risques sont r’ allies?es ‘a plusieurs niveaux dans la banque et sont en g’ en ‘ oral réagis es par le d ‘ appartement des risques et la direction finança ère (pour ce qui concerne le risque de taux et de change).

Pour le risque de Cr édit, les d’ cessions d’octroi de Cr? édit sont prises selon une intervention des défi’ errent niveaux hie ‘ hiérarchiques au sein de la direction des risques, et selon l’importance du dossier. 6 Pour les risques de marcha e, des ‘équipes sont d attaché es sur place dans les salles de marcha ‘ e, dans les socs’ et’ es de gestion, au contact des équipes commerciales, de structuration et de training.

Au niveau global de la banque, la gestion des risques est pilota eu ai une allocation optimale des fonds propres. Cette allocation prend en compte le couple rentabilité / risque de chaque transaction origine ‘eu par la banque. Une r’ agglomération bancaire, n ? agace ‘eu ‘ a un niveau supranational et adapta eu dans chaque pays par les autorité es de tutelle, impose un niveau minimal de fonds propres (fonds propres r’ galanteries) pour les banques. Capter 2 La gestion du risque de Cr 2. FO appel ? a sa banque pour AC eider au marcha ‘e de la dette : particuliers, professionnels, entreprises, collectivité es, ?états, tous demandent ? a leur banque e financer leur effet de levier afin d’obtenir aujourd’hui des fonds pour qua réer un bien ou un actif qu’il n’ont pas les moyens de financer par leurs seuls fonds propres. Ce qui rend un portefeuille bancaire particulier armement risque’ e est que le portage des pré- êtes sur le bilan de la banque est associa ‘e ? a une grande incertitude sur les remboursements futurs.

Cette incertitude vient avant tout du risque intrus que de chaque client et de chaque pré?et qui ont une maturité?e g ? en oralement tri’ es longue. Les banques ont d ‘ éveille e des m études d’analyse du risque de leurs clients (d’ terminaison de la rabattit ‘ e de d’ faut), des pré?êtes individuels (détermination du recouvrement et de l’exposition au moment du d’ faut) et de leur portefeuille de cri édit (mode élisaient des d pendantes des d effets). La mode élisaient du rendement d’un pré- et est beaucoup plus complexe que celui d’autres types de classes d’actifs ‘a cause de l’sans étrier de sa loi de distribution.

La valeur d’un pré « et est limita eu ‘a la hausse contrairement ha celle des actions. En effet, si la situation d’une socs’ et’ e s’ma ‘ Loire, la banque n’en profite pas car la SOCS et’ e peut se référence ‘ a un taux plus attractif. A l’inverse, si la situation de l’entreprise se d’ grade, la banque en subit pleinement les coins ‘ conséquence car la marge q 8 FO l’entreprise se d grade, la banque en subit pleinement les coins conséquence car la marge que lui r ? même ère le aparté octroya?e ne change pas.

Cette sans étrier est carat ‘ rustique du risque de Cr’ édit et on la retrouve au niveau de la loi des pertes du portefeuille de la banque. Dans le sac ‘ enraie extra- me o u la socs et’ e n’est plus en mesure de rembourser sa dette, la banque ne r’ occupe errera qu’une fraction du montant pré- et e. Il est donc essentiel pour la banque de connu être, sur que pré « et, le montant d’Exposition Au D’ faut (exposer ta défaut en anglais ou AÈDE), qu’on peut d finir comme la perte maximale que peut faire la banque sur ce pré « et en cas de d’ faut mm édita.

Suite au d’ faut la perte support eu finalement est infini erreur ? a l’AÈDE car la banque obtient un recouvrement R non nul sur le pré- et. La mode? illustration de la perte sur un pré?et passe donc par l’estimation de la perte en cas de d’ faut (Loos givre défaut LEGS = 1 ? R). Ces informations sur l’amplitude des pertes en cas de d faut concernant le pré- et doivent -être complu ‘ et es par une information sur la fer » couenne des d ? effets d’ici 7 CAPTER 2. LA GESTION DU RISQUE DE CRÉDIT 8 la maturité e du pré « et.

Cette information est contenue dans la probabilité e de d’ faut (probabilité Fo défaut ou P D) ou, de fa. cône plus pré’ cesse, de la structure par terme des probabilité es de d ? faut de l’emprunteur. Le produit entre la perte en cas de d’ faut et l’exposition au d faut s’appelle la se l’emprunteur. faut s’appelle la s’ ave rit? e de la perte, qui est ‘ également une variable al ‘ attire. Vue d’aujourd’hui, la perte L a venir est donc une variable al ? attire gale au produit de la s’ ave’ rit?e de la perte et de la variable indicatrice du d ? faut L = AÈDE. LEGS. ID = SÈVE.

ID u ID est la variable indicatrice du d ? faut et SÈVE la variable al attire de s’ ave rit?e de la perte. Les trois parla êtres de risque carat ‘ rustiques d’un pré- et (AÈDE, LEGS et P D) servent ? a estimer le risque attendu (perte moyenne ou expédié Loos (LE)) et le risque non attendu (inexécutée Loos (U L)) qui correspond ‘a I » écart-type (ou la variance) de la perte. Nous calculons la perte moyenne sur le pré- et : LE E(L) = p D. LEGS. AÈDE, et la variance de la perte est . Var( D + . P D. La -P D) Il existe plusieurs types de pré- êtes que l’on classe suivant leurs carat rustiques contractuelles.