Richard

Richard

La biture est-elle un probleme de jeunes ? par Samanta Prastaro filiere Travail social, promotion 06, semestre d’ete Dossier soumis a Mme Catherine Moulin dans le cadre du module « Enjeux actualise de l’ES» (MG10) HES-SO Valais, domaine sante & social le 5 juin 2008 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social Table des matieres Une question d’age 1 2 3 4 5 6 7 Definition de la biture Quelques chiffres Les raisons de boire Visibilite Lien avec la situation Conclusion Prevention 7. 1 7. 2 8 Les hopitaux La communication dans les medias 3 3 3 4 4 5 5 5 5 6 8

Bibliographie HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 2 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social Une question d’age Tout d’abord, il est necessaire de definir la jeunesse. L’approche la plus courante se fonde sur des criteres relatifs a l’age. Mais il ne s’agit pas la d’une approche valable scientifiquement etant donnee qu’elle est arbitraire. Le terme « jeune » se heurte donc a l’incertitude. Doit-on considerer les adultes comme ayant passe a une etape superieure au regard de la jeunesse ?

Cette question

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
de l’age est tres subjective et je considere qu’un adulte peut etre jeune. C’est pourquoi, pour differencier deux categories d’age bien distinctes face au phenomene de la biture, je vais parler d’adolescents et jeunes adultes en les comparant aux adultes. Dans la situation d’Alexis, il entrerait donc dans la categorie jeune adulte, qui s’etend jusqu’a environ 25 ans. 1 Definition de la biture La biture express consiste a consommer une grande quantite d’alcool en moins de deux heures. Ce mode de consommation est caracterise par son but qui est clairement l’atteinte de l’etat d’ivresse en tres peu de temps.

Selon les criteres de l’OMS, il faut avoir bu plus de 5 verres et atteindre un taux d’alcoolemie d’au moins 0. 8 pour mille pour parler de consommation excessive ponctuelle. Cette derniere devient problematique, toujours selon l’OMS, lorsqu’elle est utilisee des deux fois par mois. Par contre, contrairement a la biture elle n’inclut pas la notion de l’objectif bien precis qui est l’ivresse. Il convient donc de distinguer ces deux modes de boire pour decerner si les adultes peuvent etre touches par une consommation telle que la biture. 2 Quelques chiffres En Suisse, 14 % de la population a une consommation excessive ponctuelle.

Meme si ces chiffres ont tendance a baisser avec l’age, ils demeurent tout de meme stables jusqu’a 44 ans. Cette maniere de boire seduit les plus jeunes et les chiffres sont assez alarmants : Chez les 12-13 ans, 12 % des garcons et 7,8 % des filles ont deja ete ivres et chez les 14-15 ans 32,9 % des garcons ainsi que 26,6 % des filles. Si la biture express concerne des adolescents de plus en plus jeunes, elle touche egalement les jeunes adultes (jusqu’a 25 ans environ) qui ont opte pour ce mode de consommation. C’est aux alentours de 20 ans que nous pouvons observer des pics dans l’exces d’alcool.

Cette recherche d’ivresse est donc plus frequente chez les jeunes adultes que chez les jeunes adolescents. Je confirme donc mon affirmation et peut dire que la biture est un phenomene qui touche essentiellement les jeunes. Chez les 16-25 ans 57,1 % boivent plus de 5 verres par occasion exceptionnelle. En ce qui concerne les adultes, des etudes menees par Wicki et Gmel, montrent que jusqu’a 44 ans les episodes d’ivresses ne different pas selon les categories d’age. Cependant, les raisons de consommer de l’alcool et le rapport a celui-ci est-il le meme chez les adultes que chez les adolescents ?

Les consequences de la biture restent assez impressionnantes. Si on reprend l’etude menee par l’ISPA, le nombre d’adolescents ou de jeunes adultes hospitalises en Suisse s’eleve a cinq par jour. Dans les hopitaux suisses, les jeunes ages de 10 a 23 ans sont quotidiennement pris en charge pour des abus d’alcool. Les chiffres des hospitalisations dues a la biture se concentrent majoritairement sur le week-end. HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 3 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social Les raisons de boire L’alcool seduit les adolescents car il rend leger, desinhibe et rend plus sur de soi. La periode de l’adolescence est difficile et plutot mal percue. C’est a ce moment que la personnalite s’affirme et que le jeune se detache des parents. Il est donc bien percu, pour l’image que l’on donne aux autres, de faire des choses qui sont reservees aux plus grands, majeurs mais surtout adultes. L’image que l’on donne a cette periode est importante et l’adolescent peut manquer d’estime de soi. C’est donc a travers un groupe qu’il recherche une reconnaissance.

Bien entendu, l’effet de groupe et la pression peuvent inciter les jeunes a consommer. Souvent, la recherche de sensations est une raison qui pousse les adolescents a boire de l’alcool. Du fait qu’il est prohibe aux mineurs il represente un danger, une sorte d’aventure dans laquelle se lance le jeune a la recherche d’une certaine adrenaline, associee egalement aux effets que lui procure la substance. Une fois desinhibe, il peut faire des experiences nouvelles et excitantes. C’est peut-etre la egalement une maniere de repousser l’ennui et de chasser ses problemes personnels.

Les adultes peuvent consommer de l’alcool pour les memes raisons qu’evoquees ci-dessus. Ils peuvent ainsi gommer certains traits de personnalite, comme la timidite. Cependant, une fois adulte, la culture peut revetir une certaine importance dans nos comportements et l’alcool a pris une place singuliere dans notre societe. Il a un role social important et devient ensuite une habitude qui s’ancre ainsi dans nos m? urs. Ce qui a mon sens distingue cette maniere de consommer a celle des adolescents est la question de rapidite et de but.

L’adulte boit car il s’agit d’une forme de convivialite, lors des repas, a une occasion speciale ou avec des amis. Mais celui-ci, ne prevoit pas a l’avance d’atteindre un etat d’ivresse. Il met l’accent sur la qualite plutot que sur la quantite. En effet, s’il invite des personnes pour un repas, il se procurera du bon vin pour satisfaire ses hotes et servira peut-etre un petit digestif. Rarement, les adultes se retrouvent pour planifier une « cuite ». De plus, les medecins conseillent de boire de l’alcool en vantant ses effets therapeutiques sur le systeme cardio-vasculaire.

Sans remettre en cause les affirmations du corps medical, je me demande a qui precisement s’appliquent les bienfaits de l’alcool ? 4 Visibilite Les divers reportages que j’ai visionnes, montraient que le milieu estudiantin etait particulierement touche par cette problematique. En effet, ces derniers sont beaucoup plus visibles. On peut emettre les hypotheses suivantes : Il s’agit d’une nouveaute. Avant l’ivresse des jeunes, meme si elle existait deja, revetait d’autres formes ou restait cachee alors qu’aujourd’hui les jeunes consomment meme dans des lieux publics.

Si auparavant les adolescents buvaient dans le carnotzet familial, souvent meme encadres par les parents ou autres figures significatives, de nos jours ils se distancient de l’adulte. En effet, la consommation n’est plus encadree ; le jeune, avec ses amis, se procure facilement des alcools dans les commerces. Ces boissons seront ensuite consommees dans un parc, pres d’une discotheque, ou simplement au milieu de la rue. Ces beuveries revetent un caractere tres festif et sont donc associees au bruit et a la debauche. L’adolescent, desinhibe, enfreint des regles sociales et meme des lois (tapage nocturne, deterioration, etc…).

Le phenomene inquiete. Les alcools forts, facilement accessibles aux plus jeunes, font arriver beaucoup d’alcool en meme temps dans le sang. Les adolescents, de par leur masse HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 4 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social corporelle, sont plus vite ivres que les adultes, de plus, leur foie, pas encore entierement constitue, a plus de peine a eliminer l’alcool. Cette composante physiologique rend le jeune plus vulnerable et donc bien plus visible. Les moments choisis.

Le mineur ou le jeune qui vit chez ses parents ne peut s’adonner a la biture autant qu’il aimerait. En effet, on constate, notamment par le nombre de comas ethyliques recenses, que la fin de semaine est le moment privilegie des adolescents. L’adulte, plus libre dans ses actions consomme plus facilement de l’alcool en semaine ; un diner d’affaire ou entre amis, un verre de vin en mangeant, une fete…. Cependant ce dernier connait mieux ses limites. On peut supposer que le jeune de sait pas s’arreter, qu’il cherche l’extreme, une sensation differente et qu’en semaine il ne lui est pas possible de s’adonner a la biture.

La surveillance parentale constituerait un premier frein, les obligations scolaires ou professionnelles un deuxieme, et le regard des autres un dernier point important. La soiree reste le moment le plus adequat car il constitue une certaine norme. 5 Lien avec la situation La biture semble etre le mode de consommation privilegie d’Alexis. On ne connait pas exactement le nombre de verres bus en une soiree, mais on peut deduire facilement que la limite du taux d’alcoolemie indiquee par l’OMS est atteinte et que la notion de temps limite (deux heures) est respectee ; en effet a 22h00 il est deja tres intoxique.

On peut supposer que cette consommation est problematique car repetee au moins deux fois durant le mois. L’experience du coma ethylique n’a pas dissuade Alexis. Il n’est absolument pas conscient des risques d’une telle consommation, sans compter qu’il conduit en etat d’ivresse. La biture devient un jeu, un concours ou il se vante d’exceller. En ce qui concerne les raisons de boire, il est difficile de determiner ce qui le pousse. Cependant, on remarque qu’il fait partie d’un groupe et que ses membres consomment regulierement de l’alcool.

Ce qui est certain, a mon sens, c’est que sa facon de boire peut etre definie a risque ou du moins problematique. 6 Conclusion La reponse a la question « la biture est-elle un probleme de jeune ? » est affirmative mais elle concerne uniquement le terme biture. Nous avons vu que la consommation excessive ponctuelle touche des hommes et des femmes jusqu’a l’age de 44 ans et que les chiffres restent relativement stables. Il est necessaire donc de distinguer les caracteristiques qui differencient l’ivresse ou la « cuite » de la biture. A savoir la notion du but, d’objectif bien precis et premedite.

Avant meme de commencer la soiree, la personne sait deliberement qu’elle va atteindre une ivresse prononcee et elle en a besoin pour passer une bonne soiree. De plus, le nombre de verres consommes dans un temps donne (deux heures) separe les deux types de consommation. La biture, contrairement a la cuite est souvent associee a une sorte de defi, de concours, d’exploit dans un laps de temps tres court. 7 Prevention 7. 1 Les hopitaux Dans l’echange avec mes collegues, nous nous sommes demandes quel role jouaient les medecins suite a une prise en charge pour un coma ethylique.

Il faut differencier deux HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 5 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social stades. L’arrivee du patient et sa sortie. Dans le premier cas, les medecins et infirmiers se concentrent sur des preoccupations liees a la vie du patient et a limiter tout risque. Si la personne admise aux urgences est restee dormir a l’hopital, le medecin a l’occasion d’echanger avec elle. Cependant, le patient se trouve, encore a ce moment-la, en situation de crise.

Les effets indesirables de la « gueule de bois » l’empechent de se concentrer et il desire avant tout quitter l’etablissement. Souvent il n’entend pas ce qu’on lui dit. Les professionnels de la sante se sentent bien demunis dans des situations pareilles. Ils aimeraient intervenir, faire de la prevention en quelque sorte, mais les soignes sont tres peu receptifs. Bien entendu, sur le plan relationnel, ils essaient d’etablir un echange, souvent infructueux. Ils tentent se s’informer aupres du patient du reseau qui l’entoure, a savoir s’il a de la famille (s’il est majeur), des amis qui l’entourent, quelle est sa condition actuelle.

Mais rien ne lui est concretement propose. Le medecin urgentiste va questionner la personne sur les professionnels de la sante qui l’entoure, precisement a savoir s’il a un medecin traitant. Bien souvent, cette personne constitue une vraie ressource. On conseille donc au patient de prendre rapidement contact avec son medecin de famille, mais rien n’est mis en place pour s’en assurer. Le jeune qui sort de l’hopital suite a un coma ethylique n’est pas oriente. En effet, il arrive souvent que cet incident soit un « accident » et reste un evenement isole. Il n’est donc pas adequat de parler d’institutions ou d’associations a ce moment.

De plus, il se peut que la personne vienne d’un autre canton et le personnel soignant ne connait donc pas le tissu social de sa region. En regle generale, le medecin qui s’entretient avec le patient avant sa sortie, met l’accent sur la gravite d’un tel evenement. Il sensibilise le patient aux mefaits de l’alcool sur sa sante. Il ne s’agit pas de moralisation mais uniquement d’information cependant les reactions sont assez fortes : provocation, deni, ton et repliques narquois. Dans de rares situations, le jeune peut etre directement adresse au psychiatre de liaison de l’hopital.

Il est peu frequent qu’un patient soit adresse a un psychologue mais cela s’avere necessaire lorsque le patient adopte des comportements suicidaires, de par la biture notamment, et lorsque son attitude va au-dela de l’unique intoxication alcoolique. Cette piste pourrait etre d’avantage investiguee afin de renforcer le soutien psychosocial du jeune. Le climat de crise peut etre propice a une intervention du fait de la vulnerabilite du patient suite a une situation dangereuse. Nous pourrions donc imaginer une collaboration directe entre les travailleurs sociaux et le personnel de l’hopital.

En effet, j’ai de la peine a admettre qu’on puisse laisser repartir un patient qui n’en est pas a son premier coma. Il faudrait mettre en place un reseau plus solide avec le psychologue de liaison, avec les parents pour que ces derniers puissent prendre des mesures. Plusieurs comas sont-ils lies a la dependance ? Dans tous les cas, le jeune doit conscientiser les risques qu’il encoure. Le psychiatre de l’hopital pourrait a se moment la orienter le jeune vers des travailleurs sociaux, meme uniquement pour une rencontre et une discussion, et pourquoi pas vers des structures existantes lorsque il en est necessaire.

Le jeune ne doit pas sentir qu’on banalise la situation comme il pourrait le concevoir a sa sortie des urgences. S’il n’est pas pris en charge et traite comme une personne ayant des comportements alarmants, le risque serait de lui adresser un message errone sur la gravite de son acte et de ne pas influencer sa maniere de consommer. HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 6 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social 8 La communication dans les medias Les nouvelles sont en generale, pour la plupart, negatives.

Les medias, nous le savons, n’ont pas pour objectif de nous fournir des bonnes nouvelles. En effet, le cote spectaculaire des mauvaises nouvelles est accrocheur et vend d’autant plus. Qui parlerait d’une fete sympa ou les jeunes se sont tenus a carreau sans provoquer de degats ou sans avoir fait intervenir l’ambulance et la police ? Pourtant ce comportement, sans vouloir le banaliser car il touche une part non negligeable de la population, n’est pas majoritaire. Il serait donc approprie de le faire savoir, sous la meme forme que l’on expose les faits sordides dus a la biture.

L’ISPA propose un journal sur internet, disponible gratuitement et uniquement sous forme informatique, qui s’interesse aux sujets delicats des abus mais en restant centre sur des faits. De plus, la politique, la recherche et la prevention, les thematiques abordees, ne sont pas ciblees pour les adolescents qui n’ont, a mon avis, pas du tout envie de lire ces articles. « A 12 ans a la biere » (Le Matin, 9 mai 2008), « Boites : le champagne gratuit coule a flot » (Tribune de Geneve, 9 mai 2008), voila les grands titres des journaux !

Effectivement la question de l’alcoolisation des jeunes est tres souvent traitee dans les medias. Ils se plaisent a relever le cote spectaculaire du phenomene, notamment dans les quotidiens gratuits. Pourtant ce sont ces derniers que les jeunes lisent. Ne serait-ce pas la une maniere de valoriser ces comportements ? Ce traitement de l’information n’at-il pas un effet normatif pour les adolescents ? Voila pourquoi il serait pertinent de parler des adolescents et de leur comportement d’une autre maniere, plus positive. Parler de toutes les fetes qui se deroulent « normalement », faire parler les ersonnes qui sont restees sobres pour montrer que l’on peut egalement s’amuser. Et pourquoi pas, se moquer un peu de ceux qui ont exagere. Les boissons sans alcool peuvent egalement etre attractives, il existe bon nombre de cocktails qui offrent tout autant de plaisir et qui sont bien moins cheres. Argument non negligeable pour de tres jeunes etudiants. Pour toucher un groupe cible comme les adolescents et jeunes adultes, j’ecrirais des articles positifs et droles dans les quotidiens gratuits qui sont enormement lus.

Les magazines touchent beaucoup plus les filles et nous avons constate que les garcons adoptent plus la biture comme mode de consommation. Il est important de ne pas utiliser un ton moralisateur. Valoriser un comportement positif mais sans le comparer ou l’opposer aux comportements abusifs et peu adaptes. Des slogans comme « Sans alcool la fete est plus folle » sont a eviter. Il ne faut pas que les consommateurs rejettent le message car il est en totale contradiction avec leurs propres experiences. La question de l’absence d’alcool ne doit pas prendre toute la place.

L’ISPA a fait un flyer que je trouve en partie interessant et j’utiliserais des moyens identiques ; « pas vraiment un atout pour la drague » ou, specialement pour les filles, mettre en avant l’aspect calorique de l’alcool en guise de volet preventif dans les articles. Mais le simple fait de parler d’evenements jeunes, de fetes, de rencontres sans constamment relever leurs debauches seraient deja un moyen de faire de la prevention. Et les photos des articles seraient bien plus agreables a regarder ! En effet, les illustrations montrent toujours des verres d’alcool ou des jeunes tres emeches.

Je montrerais donc des images beaucoup plus positives car les adolescents y sont sensibles. De plus, je n’identifie aucun point negatif lie a ce projet, il me semble qu’il contribuerait, sinon a un changement, a une evolution du rapport a l’alcool chez les jeunes. HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 7 HES-SO Valais – Haute Ecole Valaisanne, Sante & Social, Filiere Travail Social 9 Bibliographie Jean Ades, Michel Lejoyeux, « Les conduites alcooliques et leur traitement », Velizy Cedex : Doin Editeurs, 1996 http://www. revention. ch/alcoolpourenparleraveclesados. htm http://www. sfaispa. ch/index. php? IDtheme=26=1589=1=F http://www. canal9. ch/television-valaisanne/emissions/antidote/03-09-2007/bitureexpress. html http://www. raidblue. ch/prevention-jeunes/alcool/dependances/est-ce-bitureexpress. html http://www. who. int/fr/ Echange avec Denise Hofmann, cheffe projets jeunesse a la Croix-Bleue Romande Echange avec le Dr Fischmann, medecin chef des urgences de Sion HES-SO Valais/Sion/Bachelor TS 2006/semestre 04/Prastaro Samanta/Module G10 : APP/5 juin 2008 8