Une fois arrivée à l’adresse indiquée, je me retrouvais dans un bric-à-bras poussiéreux, ou des objets venus d’un autre temps ’empilaient les uns s jusqu’ ce qu’un vie était petit, maigrelet noirs. Il s’approcha d d’objets, mais un use spoliaient « t p g n paraissait vide, coup d’un rayon. Il encas et des yeux ras toutes sortes Il y avait ce tableau, là, juste en retrait par rapport aux autres. Il représentait une petite fille, elle avait l’air si joyeuse, et elle était si jolie qu’elle avait l’air totalement inoffensive, mais ce tableau m’inspirait aussi de l’inquiétude.
La petite me regardait, et j’avais beau me déplacer dans la pièce, son regard ne cessait jamais de me fixer. Je ressentais un sentiment si étrange, c’est comme si ut autour de moi disparaissait, il n’ avait plus qu’elle et sapée toi eue nixe page moi. Son regard était si pur, et si noir, qu’il me paraissait irréel. Comment pouvait-on ressentir un tel sentiment à l’égard d’un tableau? Je me posais des tas de questions mais je finis quand même par l’acheter. De retour dans mon appartement, je déposais le tableau dans l’entrée pour aller chercher des clous dans ma caisse à outils.
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align="justify">Maintenant que j’avais le matériel nécessaire pour installer le tableau, je n’avais plus qu’ décider ou j’allais le mettre. Dans les toilettes? Sûrement pas. Dans le salon? J’avais déjà mis une plante et un tableau. Citait décidé, il serait accroché en face de mon lit. Une fois le tableau installé, je me remis avec occupation quotidienne, je mangeais le reste de la pizza d’hier soir, et regardait ma série préférée a la télé. Citait alors le moment d’aller se coucher.
Je regardait un dernier instant mon nouveau tableau, et me couchais. Mais il me fut impossible de m’endormir, je ne pouvais pas m’empêcher de sentir le regard de la petite fille sur moi. Je sentais son regard constamment, elle me regardait, avec ses yeux verts. Cela en devenait même inquiétant, comme si la édité fille représentée sur le tableau pouvait être vivante. Je passais alors la nuit comme ça. Le lendemain matin, après avoir passé une nuit blanche, je décida de retourner a la brocante, et de rendre le tableau.
Je suivis les mêmes directions que la veille mais une fois arrivée au même endroit que la veille, il n’ avait plus rien. Comme si la brocante avait était rayée de 2 arrivée au même endroit que la veille, il n’ avait plus rien. Comme si la brocante avait était rayée de la carte. J’étais bien à la bonne adresse, le même vent soufflait dans les feuilles mortes, es arbres étaient identiques, le paysage n’avait aucunement changé, mais la brocante n’était plus là.
Je me rendit alors dans le village pour interroger les habitants, mais tous eurent la même réaction: ils n’avaient jamais entendu parler de cette brocante. Étais-je devenu folle? Pourtant j’étais sûre d’avoir vu cet homme barbu, aux cheveux blancs, et le tableau était bien réel! Il était là, sur la banquette arrière de ma voiture, et le petite fille continuait de me regarder. Le sentiment étrange que j’avais ressenti la veille n’existait plus. A cet instant, j’avais peur. Je retournait alors chez moi, choquée par ce qui venait de m’arriver.
Je décida de réinstaller le tableau à sa place et de voir comment ça allait se passer. J’allia me coucher, et cette nuit là, je dormir comme un bébé. Le lendemain, au moment de me réveiller, j’ouvrir délicatement les yeux, et mon regard se figea contre le mur: le tableau avait disparu, les clous qui servaient à l’installer aussi! Mais qu’est-ce qui avait bien pu se passer cette nuit là? Est-ce que tout cela n’était qu’un rêve, ou est-ce que j’avais bien vécu cette aventure tout aussi étrange que terrifiante?
