Identification et exposé des éléments déclencheurs du thème J’effectue mon stage de deuxième année au sein d’une association dont les missions principales s’axent autour de l’accompagnement et de l’intégration de familles migrantes dans la société française. Dans la branche de l’association où j’effectue mon stage, je suis confrontée à un public de personnes âgées migrantes avec des problématiques diverses liées à la vieillesse (maladies ; accès aux soins ; maintien à domicile ou en maison de retraite ; accès aux CUM-CUM-C ; assura L’assistante sociale, a i cc. ‘vipère ai vie nées page romancées au sein pour travailleurs mugi heurté aux droits à la écoutent des encens sociales r le public dans ses démarches. J’ai donc remarqué que le public de ces foyers était vieillissant. La plupart se trouvent à la retraite ou est en passe d’être à la retraite et occupent des logements qui ne sont pas toujours adaptés à leurs conditions (logement exigu, non adapté certaines pathologie ou handicap… ).
Au cours de ces permanences nous avons eu un nombre important de démarches à effectuer auprès des organismes de retraite et de retraite complémentaire pour des motifs de épuré de paiement des indemnités de retraite, de cessation de
Cet aspect ma beaucoup interpellée et ma donc naturellement conduite à me poser des questions ;questions qui ont été soulevées d’une part par ce phénomène de coupure de paiement d’indemnités qui a touché cette partie du public en particulier aise aussi ce que leur origine a pu avoir comme incidence sur le paiement de ces indemnités sachant qua la base ce sont avant tout des personnes âgées qui ont travaillé en France et qui ont droit à la retraite comme tout le monde et ceci en accord avec l’article 116-1 du code de l’action sociale et des familles qui stipule la prise en charge de ce public ( les personnes âgées).
J’ai dans un premier temps participé à une formation sur le droit des étrangers par le biais de mon stage car l’association qui m’accueille est aussi une structure formatrice qui a une branche éradiquer qui s’occupe notamment du droit des étrangers en centres de rétention administrative (CRÂ) afin de me familiariser avec les lois en vigueur ainsi qu’avec les différentes politiques qui ont été mises en place.
Puis dans un autre temps, j’ai pu lire un article sur interne concernant les « cabines » afin de mieux connaître leur histoire, savoir ce qu’il existe comme associations à paris d’abord et en France en général afin de me familiariser au mieux avec ce public qui m’intrigue de plus en plus.
En effet, ces personnes dans les foyers habitent dans des chambres alternées, ce qui signifie lesquels ont 2 personnes dans les foyers habitent dans des chambres alternées, ce qui signifie qu’elles ont n’en la jouissance que pendant une certaine période et la libèrent soit pour aller dans leur pays d’origine soit pour aller dans leurs familles qui habitent dans une autre ville ; et d’autres en chambre fixe qu’elles occupent pour beaucoup d’entre elles depuis plus de 10 ans.
D’ailleurs un article intitulé « une convention pour améliorer les foyers adon « 1 fait référence aux conditions dans lesquelles ces personnes âgées vivent et ce qu’il faut mettre en place pour améliorer leur prise en hargne ce qui met en exergue notre rôle de travailleurs sociaux dans ces structures.
De ces nombreux constats, non seulement au cours des entretiens d’aide avec les résidents des foyers mais aussi au travers des démarches effectuées au vu de leurs problématiques diverses, mais aussi par rapport à leur situation de coupure de paiements d’indemnités, il ma semblé intéressant de me pencher sur le public des personnes âgées migrantes et en particulier celui des cabines.
De plus nous réalisons avec un agent de développement de pénétration(dalla) un projet intitulé gâcheurs-migrantes qui retrace le parcours des immigrés de cette partie de PIle-de-France notamment des cabines par le biais de récits de vie et de vidéo et enregistrements aidais combinés à des réalisations artistiques qui impliquent d’autres acteurs.
Ils sont pour la plupart dans l’incapacité de lire leurs courriers, d’effectuer les démarches nécessaires à l’ouverture de leurs droits et habitent 3 courriers, d’effectuer les démarches nécessaires à réouverture de leurs droits et habitent depuis de nombreuses années dans des chambres de foyers de travailleurs migrants. Les questions eu je me pose à ce stade sont quelles sont les prises en charge mises en place par l’administration et l’état ? Quelles lois existent et quels recours sont possibles pour éviter que des personnes âgées se retrouvent sans aucune ressource même si ce sont des personnes immigrés ?
Quelle est la réalité des dispositifs sur le terrain et leur mise en application ? Quels sont les organismes et les institutions à priorités ? Comment orienter le travail social autour de cette question d’origine par rapport aux prestations qui existent ? Pour une personne lambeau il est déjà très difficile de faire les marchés nécessaires ou de connaître les organismes auxquels il faut s’adresser pour ouvrir ses droits aux prestations alors est- ce-que l’origine peut rajouter une difficulté supplémentaire dans l’accomplissement de ces démarches ?
Toutes ses questions que je me pose vont me pousser à orienter un peu plus mes recherches et donc à me documenter et me renseigner sur les différents dispositifs et les comparer avec la réalité du terrain. Confrontation des éléments déclencheurs au champ théorique et au champ professionnel es personnes âgées à qui l’on a coupé soit la totalité de leur traite en plus de la complémentaire ou en plus de SAPA sont toutes d’origine imaginaire donc des cabines. Pour savoir si ce phénomène n’est observable que dans les résidences où l’on 4 donc des cabines.
Pour savoir si ce phénomène n’est observable que dans les résidences où l’on effectue nos permanences ou si cela se fait sur le plan national, je suis allée sur interne entre autre et ai consulté des articles et des ouvrages qui abordent ce phénomène. Une confirmation que ce phénomène se situe à l’échelle nationale ma été au préalable faite par l’intermédiaire d’une association e travailleurs migrants qui a fait une intervention au cours de repas solidaire que nous avions organisés dans le but de rompre l’isolement au sein des résidences.
Celle-ci nous a rapporté l’information de la cessation de paiement des prestations pour de nombreux résidents de foyers pour travailleurs migrants dans de grandes villes telles que Toulouse et Lyon et qu’elle s’organisait pour effectuer un recours collectif devant le tribunal car les caisses de retraites exigent en plus le remboursement des prestations versées les années précédentes au motif d’une non- stridence des bénéficiaires sur le sol français.
En consultant par ailleurs un ouvrage intitulé « cabines »2, j’ai pu affiner mes connaissances et recouper les témoignages présents non seulement dans ce livre qui retrace assez fidèlement le parcours quasi-commun des cabines mais aussi à travers les récits de vie des usagers cabines dans les interviews que nous réalisons avec l’appui de notre agent de développement de l’intégration dans le cadre du projet migrateurs, migratrices. D’ailleurs un autre récit de vie que j’ai eu à écouter sur France culture. Fer, fait part des difficultés que d
S autre récit de vie que j’ai eu à écouter sur France culture. Fer, fait part des difficultés que doivent affronter ces personnes âgées dans le maintien de leurs indemnités de retraite ; l’isolement auquel elles doivent faire face étant loin de chez elles et des membres de leurs familles qui les affecte énormément ; la difficulté qu’elles ont a se réintégrer dans une société qu’elles ne côtoient plus que pendant les courts séjours qu’elles y effectuent ainsi que la peur de rentrer chez elles de façon définitive et de faire face à des systèmes de santé qui ne sont pas les mêmes qu’en France.
La frustration qu’elles ont à devoir systématiquement rendre des comptes de leurs déplacements sous prétexte qu’elles n’ont pas la nationalité française est comme une épée de démoules sur leur tête, qui menace de leur tomber dessus si jamais elles dépassent une durée de 180 jours maximum au cours d’une année pendant leur séjour à l’étranger. J’ai aussi pu discuter du sujet des cabines concernant leur prise en charge et leur accompagnement complexe au sein des dispositifs liés à la vieillesse avec une assistante sociale.
Celle-ci ma rappelée que ces derniers relèvent d’une part de la politique e l’immigration donc des diverses circulaires émanant du ministère de l’intérieur ainsi que des lois en vigueur concernant leur titre de séjours (la majorité des cabines d’origine algérienne ou américaine sont sous le coup de conventions signées avec leurs pays facilitant l’obtention de leurs titres de séjour : carte de résident retraité ; carte de résident permanent… ).
D’au l’obtention de leurs titres de séjour : carte de résident retraité ; carte de résident permanent… )- D’autre part leurs droits aux indemnités vieillesse et complémentaire sont quasiment les mêmes que ceux des Français et dépendent également des trimestres de cotisations donnant droit à la retraite mais la plupart des usagers que nous recevons n’ont droit qu’au minimum vieillesse et à l’SAPA. D’autres sont soumis à des difficultés découlant de maladies liées à la vieillesse ou entraînant un ou des handicap(s). Euro ce fait la CANNAS( caisse nationale de solidarité pour l’autonomie créée sous la loi du 30 juin 2004 pour la prise en charge des personnes âgées handicapées) est un interlocuteur important au travers de la MODE (Maison départementale des personnes handicapées chargée entre autres d’évaluer le degré de handicap Euro permettre la mise en place de dispositifs adéquats) ainsi que le CLIN-Personnes âgées (Centre local d’information et de coordination).
Il ressort de cet entretien que la prise en charge des cabines est complexe et fait appel à de nombreux dispositifs, nécessite des connaissances spécialisées (droit des étrangers, conventions existantes) et aussi générales (la prise en charge des personnes âgées donc la législation en vigueur). Il Va de nombreux aspects prendre en compte et il faut utiliser les dispositifs adéquats.
Questions qui se posent, Problèmes soulevés Il existe donc de nombreux dispositifs pour la prise en charge des personnes âgées notamment les cabines dans la société alors pourquoi semblent-elles être pourquoi semblent-elles être des laissés-pour-compte dans le champ du social d’une part et de la société française d’autre part ?
Pourquoi n’-a-t-il pas de dispositifs spécifiques pour la prise en charge des personnes âgées migrantes étant donné la complexité du fait de leurs origines notamment dans les démarches administratives ? Doit-on former des assistantes sociales avec des compétences spécifiques liées à l’immigration ? Les cabines sont e plus souvent en situation d’isolement en France est-ce-qu’une prise en charge psychologique est-elle systématique pour les migrants développant des pathologie liées à ce fait ?
Une association a pu intervenir devant les parlementaires l’assemblée nationale afin de parler du sort des personnes âgées migrantes et a donc interpellé les élus sur leurs conditions ceci en date du 5 avril 2013 ceci dans le cadre d’une audition par la mission d’information sur les immigrés mise en place par une commission parlementaire et a mis en exergue l’urgence de leur situation. Beaucoup de questions qui me poussent à m’interroger sur la lace des cabines dans le système social français et m’entraîne donc sur la dernière partie de ce dossier.
Aboutir à l’énoncé d’un sujet La prise en charge des cabines est un domaine très vaste sachant que la vieillesse peut entraîner de nombreuses problématiques liées à la santé telles que le manque de soins liés à une pathologie grave et de longue durée ou le développement d’un handicap moteur ou physique dans un 8 handicap moteur ou physique dans un logement inadapté car les foyers de travailleurs migrants comprennent des chambres d’environ 9 mètres carrés avec des douches et sanitaires nommons situés sur le palier et une cuisine commune ce qui ne représente pas des conditions idéales pour le maintien domicile.
D’autre part un cabine à la retraite vivant dans un foyer a en général une femme et peut-être des enfants qui vivent dans son pays d’origine et à qui il rend visite une à deux fois dans l’année car, malgré le fait que certains ont des difficultés à se réadapter à leur pays d’origine beaucoup ont tendance à chercher à rentrer chez eux ne serait-ce que pour une période courte afin de garder le lien avec leur terre de naissance.
Face à ces nombreux aspects de la complexité de la charge e travail d’accompagnement social qu’entraîne leur situation particulière, et m’appuyant sur le projet migrateurs-migrantes que ma structure de stage actuel est en train de d’appliquer je choisis de parler des cabines possédant une carte de séjour résident retraité d’île-de-France dans l’ouverture et le maintien de leurs droits à la retraite.