Question sur corpus sur la guerre (intro et première partie)

Question sur corpus sur la guerre (intro et première partie)

Le corpus est composé en diachronie et présente des textes de différents genres : un essai, deux articles d’ouvrages théoriques et une pièce de théâtre. Ils ont un thème en commun la guerre. Le premier texte est un extrait « Du Souverain ou de la République » issu des Caractères écrit par La Bruyère en 1688. Le deuxième document est extrait de l’article « Paix » écrit par Damilaville. Cet article appartient à L’Encyclopédie, ouvrage écrit par plusieurs philosophes des Lumières de 1750 à 1772. Le troisième texte est n passage de la section « Guerre » du Dictionnaire philosophique de Voltaire, écrit en 1764.

Enfin, le dernier texte est un extrait de la pièce de Théâtre de Jean Giraudoux intitulée La Guerre de Troie n’aura pas lieu et écri différents procédés li Premièrement, nous emploient différents Swip page ressant de voir les noncer la guerre. les textes er texte, La Bruyère se sert des registres pathétique et polémique. Il cherche ? provoquer de la pitié chez son lecteur lorsqu’il évoque la mort du « jeune Soyécour Il utilise le discours direct pour renforcer e pathétique et des images fortes pour émouvoir le lecteur (lignes 1,2 et 6).

Le ton se fait ensuite

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
plus virulent. On note le point d’exclamation et l’adjectif « ordinaire » (ligne 5) qui montre l’indign l’indignation de l’auteur. Dans le deuxième et le troisième textes, les registres sont différents. Etant extraits de dictionnaire et d’encyclopédie, ses textes devaient être didactiques. Pourtant, le texte de Damilaville dépasse le registre didactique pour adopter un registre épidictique. En effet, l’auteur présente le blâme de a guerre et par antithèse l’éloge de la paix.

L’une étant « une maladie convulsive et violente » et l’autre témoin de Pétat de « santé » d’un pays (lignes 1 et 2). Voltaire, quant à lui, utilise un registre ironique. Il critique le bien-fondé des motivations des belligérants. L’antiphrase du dernier paragraphe (« le merveilleux de cette entreprise infernale ») montre avec ironie comment les hommes se sont souvent justifiés en faisant appel à Dieu. Damilaville et Voltaire ont subverti des écrits didactiques à des ins philosophiques pour éclairer le peuple.

Enfin, le dernier se distingue des autres tant par les registres utilisés que par son genre. On note le caractère immédiat du texte théâtral. On a les personnages sur scène qui s’expriment devant nous. Andromaque défend la cause des femmes, des mères. Elle est dans l’émotion. On remarque les points d’exclamation (lignes 3, 4 et 15) et les points d’interrogation qui expriment le désarroi du personnage. Priam, lui, fait l’éloge de la guerre et des guerriers en utilisant un registre épique. 2