E corpus rassemble 4 poèmes, une fable de JDLF « La Cigale et la Fourmi » paru en 1 668, « L’Albatros » de Charles Baudelaire publié en 1857, I »Le Crapaud » écrit par Tristan Corbière et paru en 1873, et enfin le plus récent celui de Jacques Roubaud « Le Lombric » datant de 1932. Dans leur poème ces quatre auteurs utilise des animaux afin d’exprimer ce qu’ils ressentent ou de faire passer un message.
Cependant, cette identification avec l’animal valorise-t-elle le poète dans ces différents textes ? Nous verrons qu’à travers cette identification le choix de l’animal aura e l’importance et que certains auteurs prendront la défense du poète. Tout d’abord nous pouvons remarquer que Baudelaire compare le poète a un bel Oise albatros Baudelaire é Baudelaire se rappo sublime. Au dessus d ces « vastes oiseaux Swipe ta View nextp g rant le poète à un .
Dans son poème qu’à l’aspect e qu’est la société géant » donnent une impression de majesté. Ces valorisations en font un oiseau exceptionnel. Cependant ce poème donne de l’albatros une deuxième vision Suipe to View next page totalement opposée. Lorsqu’il se pose, celui-ci parait ridicule ses iles sont comparaient
L’oiseau est agressé moralement en étant caractérisé comme « gauche et veule » « comique et laid » puis physiquement par les moqueries des marins « l’un agace son bec « l’autre mime, en boitant puis par « l’archer » et les « huées Cette faiblesse de l’oiseau qui nous est représentée est accentuée par les modalités du troisième quatrain. Selon Baudelaire, la place du poète dans la société est comparée un albatros, c’est à-dire qu’il est majestueux et au dessus de a société dans ses poèmes, mais au contact des hommes il n’est plus rien et devient ridicule.
Le poète se sent exclus de la société. Ceci est remarquable aussi chez Corbière. De la même manière que Baudelaire, Corbière utilise un animal afin de mettre en avant l’incompréhension à laquelle peut faire face un poète. Celui-ci utilise le crapaud et en fait son autoportrait « ce crapaud là c’est moi Le crapaud est un animal répugnant et qui provoque la répulsion. Dans son poème le thème de la laideur est omniprésent.
