philosophie

philosophie

Grandes parties : Quelques raisons pour lesquelles nous cherchons à mieux nous connaitre Pour être heureux Je me suis posé cette question car je désire évidemment être heureux. Et pour connaitre le bonheur il convient de se connaitre. Avez-vous déjà vu une personne qui ne se connait pas, n’ayant pas conscience en ses ressources être totalement heureuse ? Bien sûr que non ! Vous êtes peut-être dans ce cas d’ailleurs… personnellement je ne suis pas heureux. Enfin pas tout à fait car je progresse ! Il me manque quelque chose. Une chose fondamentale pour être heureux.

Il s’agit de la connaissance. Qu Swipetaviewn htp g to vien « ext suis-je ? Vaste questi pour avoir confiance Une autre raison ratt Observez les gens qu la confiance en soi. e sont-ils pas bien dans leurs baskets ? Evidemment vous allez me dire. Ceux qui ont une grande confiance en eux osent entreprendre des choses. Ils savent de quoi ils sont capables, connaissent leurs atouts et leurs faiblesses. Et s’ils ont confiance en eux c’est parce qu’ils savent qui ils sont, ce pourquoi ils sont faits. Pour savoir se maitriser Apprendre à se connaitre permet aussi d’acquérir une plus grande maitrise de soi.

Le

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
fait de se connaitre apporte (on fa vu) une grande confiance en soi. Cette confiance obtenue va nous apporter le détachement nécessaire pour appréhender les différentes situations plus ou moins difficiles de rexistence. Ce qui entraine donc une plus grande maitrise de de nous-même. Moins suet à la critique, moins sur la défensive nous arrivons à gérer plus facilement nos émotions. Pour surmonter ses peurs une meilleure connaissance de nous-même nous aide également à affronter nos peurs. Nous sommes tous sujets à des peurs.

Et c’est normal puisque nous sommes humains ! Cependant ces eurs parfois Inconscientes et profondes nous paralysent. Cela nous empoisonne la vie. Toutes ces peurs nous limitent et nous empêche de voir la réalité telle qu’elle est. Je me souviens lorsque j’étais aux prises à de fortes angoisses. Je m’interdisais de faire quelque chose pour ne pas éprouver cette peur comme la peur de me retrouver dans un lieu public par exemple. Des tas de pensées négatives me traversaient, j’étais terrifié. Avez-vous déj? ressenti ça ? C’est très désagréable n’est-ce pas ? our réussir sa vie Une des grandes raisons pour laquelle on souhaite apprendre ? se connaitre est la réussite de sa vie. Le secret d’une vie réussie n’est-il pas de se connaitre soi-même et de connaitre les autres ? Autrement la réussite reste superficielle, matérielle et même artificielle. De nombreuses personnes ont pour ainsi dire l’apparence de réussir leur vie. Elles sont riches, ont une belle situation. Elles possèdent une grande maison et une belle voiture. Tout le monde les envie et pourtant je ne crois pas qu’elles soient heureuses pour autant.

La réussite d’une vie ne tient pas dans le fait de posséder des biens mat 2 biens matériels. Ce n’est pas très important. ?a peut être utile bien sûr, mais pas fondamental. Si vous apprenez que vous allez mourir demain, croyez-vous que votre argent va vous rendre heureux ? Le bonheur est en nous, pas à l’extérieur. En apprenant à nous connaitre nous avons la possibilité de réussir notre vie. première raison . Un des buts de la connaissance de soi, c’est de lever des blocages qui pourraient être en nous.

Nous ne vivons pas au Paradis, l’Éden est soit une légende, soit un souvenir ancestral perdu dans les recoins de notre esprit. Donc, nous avons tous plus ou moins à un moment donné un trauma. Parce que la vie, tout simplement, est souvent difficile. Quand ce ne sont pas les parents qui créent des névroses, c’est la société et ses institutions qui en déclenchent. De toute façon, on a tous été plus ou moins confrontés à l’épreuve de la douleur et de la souffrance. Un individu parfaitement équilibré, ça ne se rencontre pas tous les jours.

Toujours est-il que le but de la connaissance de soi, c’est de cerner sa personnalité, son histoire afin de réussir sa vie. L’analyse de l’âme ou psychanalyse a été découverte et développée dans ce but par Freud. Pour le célèbre docteur iennois, il s’agissait de se connaître notamment en analysant le vécu de la petite enfance afin de lever des inhibitions, notamment d’ordre sexuel puisque Freud soigna beaucoup de femm 3 femmes bourgeoises devenues hystériques à cause d’une éducation et d’une société trop rigoristes.

Connaître les raisons de ses peurs, ses phobies permet parfois un déblocage. En tout cas, il est certain que quelqu’un qui connait le fonctionnement de l’inconscient humain va normalement éviter les grandes erreurs éducatives d’autrefois avec ses enfants. Dans la psychanalyse, le but n’est pas narcissique, il ne s’agit as de se connaitre pour s’admirer mais plutôt de développer cette connaissance de soi pour effectuer une sorte de parcours initiatique dont le but ultime est l’épanouissement de la personnalité (eest à dire l’accroissement des qualités et la diminution des défauts).

Deuxième raison : Se connaître soi-même serait la base d’autres connaissances, notamment celle de la morale. Ainsi l’adage inscrit au fronton du temple d’Apollon À Delphes était : « Connais toi toi-même et tu connaîtras tout l’univers Cette phrase très célèbre présente une certaine difficulté, on e voit pas ainsi comment au premier abord la connaissance de soi aboutirait à une connaissance plus générale, comment une connaissance (somme toute assez auto centrée) pourrait déboucher sur une connaissance sur le sens de l’univers en général.

Mais il est vrai que si on analyse son histoire, on s’aperçoit au bout d’un certain temps qu’on est condamné ? répéter le même type de scénarios tant qu’on n’a pas une prise de conscience et qu’on n’évolue pas personnellement. Par exemple, un individu qui n’est pas décidé à aimer est condamné ? l’échec amoureux, tant qu’il n’y a pas de pr 4 ndividu qui n’est pas décidé à amer est condamné à l’échec amoureux, tant qu’il n’y a pas de prise en compte réelle de cette insuffisance caractérielle.

Par ailleurs, en s’examinant soi-même, on volt ses travers et ses dons, on voit ses propres faiblesses; cela peut nous amener ? une certaine indulgence envers les autres, et donc à acquérir une certaine humanité. D’ailleurs, le philosophe Albert Camus disait dans son roman la Chute que l’on ne pouvait vraiment évoluer positivement qu’en devenant « un juge pénitent par cette expression de « juge pénitent », Camus voulait dire que l’on ne eut comprendre autrui que par rapport à une préalable auto- critique.

Un individu incapable d’auto-critique, de reconnaitre ses limites, quelqu’un pensant « être globalement parfait » ne sera tout simplement pas capable d’aimer, et donc pas capable d’être vraiment moral. Quand on s’est jugé soi-même après avoir jugé les autres, on fait pénitence d’avoir été si dur envers les autres et indulgent avec soi-même. Se connaître soi-même, c’est la base de la morale tout simplement, c’est se dire « je ne ferai pas à autrui ce que je n’aimerai pas qu’on me fasse ». Troisieme raison : Se connaître soi-même permettrait de ne pas se tromper dans ses choix, et donc de faire ce qui nous correspond le plus.

Les tests de personnalité ont été créés dans ce but, mieux se connaitre, pour mieux choisir, pour réussir sa Car si l’épanouissement de la personnalité est le but de la vie humaine (rappelons le, c’est le développement de ses qualités et la diminution de ses défauts S (rappelons le, c’est le développement de ses qualités et la diminution de ses défauts); il y a malheureusement plus de probabilités d’échouer que de réussir. En effet, comme le faisait remarquer Rousseau, dans la Profession de foi du Vicaire Savoyard, il y a 1001 façons de se tromper, et il n’y en a qu’une seule pour trouver le droit chemin! 001 manière d’errer et une seule de s’y retrouver. Dans le fatras des opinions, des us et coutumes du genre humain, il est difficile de ne pas s’égarer dans une quelconque bêtise ou un préjugé séculaire. Il est certain que pour une certaine catégorie de personnes comme les femmes, la connaissance de soi devient une reconnaissance. L’instruction de masse appliquée au genre féminin a permis aux femmes de rendre conscience qu’elles aussi pouvaient être intelligentes.

D’ailleurs, les femmes en France sont maintenant plus diplômées que les hommes, car elles sont souvent plus sérieuses et assidues dans les études que nombre de leurs confrères masculins trop sûrs d’eux. La connaissance de soi ne passe pas seulement par le décryptage de l’ADN, mais par un effort continu pour développer ses qualités. On a beau ainsi par exemple être potentiellement intelligent génétiquement parlant, si on ne se cultive pas, si on ne travaille pas lors de ses études par un effort de la volonté, l’intelligence este aussi inaccomplie qu’un champ laissé en friche. ? L’être en puissance » et « l’être en acte » sont deux états différents comme le soulignait déjà Aristote. L’enfant disait Aristote dans la Métaphysique, est un homme en puissance, mai soulignait déjà Aristote. L’enfant disait Aristote dans la Métaphysique, est un homme en puissance, mais n’est pas encore l’homme en acte. L’Humanité existe déjà dans l’enfant, mais ce qui fait la spécificité du genre humain, le développement du cortex n’est pas achevé; la raison ne prédomine pas encore ans l’enfant; même s’il peut avoir plus de « bon sens » qu’un adulte, dans la mesure où il n’est pas encore perverti.

La connaissance de sol est un long processus, ce n’est pas un jeu de miroir, c’est plutôt traverser l’image que l’on renvoie aux autres. Conclusion • Nous cherchons tous à mieux nous connaitre pour nous libérer de la souffrance. C’est le point de départ, notre motivation première. C’est bien parce que nous avons suffisamment payer le prix que nous désirons connaitre une vie plus harmonieuse, demeurer en paix avec nous-même. Cette connaissance de soi ous apportera un bonheur réel et infini.

La connaissance de sol est une recherche continue, et on n’en a jamais fini de se connaître. Car comme le disait Sartre, dans l’Existentialisme est un Humanisme; il y a toujours une possibilité pour le lâche de ne plus être lâche, et pour le héros de cesser d’être un héros. La liberté humaine nous rend pire ou meilleur selon nos choix. Or, on peut toujours faire des choix même à la veille de sa mort, c’est pourquoi d’ailleurs existe le proverbe : « Il ne faut jamais jurer de rien »; tellement l’existence peut être pleine de rebondissements inattendus.