Synthese “Peut-on rire de tout? ” Les documents donnes portent sur le droit a rire de tout. Le dossier de documents est forme d’un article du Label France ecrit par Pierre Siankowski, d’un discours prononce par Charles Beer en 2005, d’une satire de Jonathan Swift et d’un dessin de Charlie-hebdo . Dans la premiere partie nous analyserons les sujets qu’un comedien peut aborder, puis nous mettrons en evidence les divers domaines ou le rire est utilise comme un instrument pour affronter la realite pour finir en expliquant quelles sont les frontieres a etablir pour eviter de prendre des risques inutiles .
Tout d’abord, le rire est un acte de liberte, une liberte d’expression garantie par la Constitution. Donc les humoristes peuvent rire de tous les sujets a condition d’etre droles, d’avoir « une forme d’humour universelle et partageuse ». Ainsi meme des sujets graves sont abordes : la situation des bebes et des pauvres, le chomage, les institutions publiques, les personnalites politiques ou les difficultes economiques comme le chomage.
En second lieu, le rire repond a un besoin de la societe, celle de se distancer du tragique pour faire face a la realite, pour essayer de resister et pour apporter un peu d’optimisme
Le rire est donc un acte liberateur qui vise des aspects sociaux, politiques mais aussi psychologiques de notre vie. En dernier lieu, les auteurs du dossier constatent qu’il y a certaines limites en ce qui concerne la possibilite a rire de tout. En fait, le rire ne doit pas etre une modalite de stigmatiser, de se moquer ou de mettre a l’index, car les comediens risquent d’etre accuses de diffamation et d’injure. « On peut rire de tout, mais pas n’importe ou et pas n’importe quand ».
En conclusion, l’intention de se rassembler afin de reussir a depasser les obstacles ensemble autorise a franchir les bornes seulement si tout le monde rit. L’humour est legitime s’il se manifester comme un esprit critique, reussissant en meme temps a respecter les autres, a ne pas les offusquer et a ne pas les exclure du collectif. Le droit a rire de tout est juridiquement et moralement correct s’il se base sur le desir de « vouloir rire ensemble ».