Patients Grand Corps Malade

Patients Grand Corps Malade

L’auteur raconte sont transfert de réanimation a un centre de rééducation. Il dit avoir regardé pendant des semaines le plafond et ses détails de sa chambre d’hôpital. Des soignants qui prennent le temps de se pencher pour que le malade voit a qui il s’adresse et d’autres qui ne le font pas! Il rencontre les aides soignants du centre , qi se présente et décrivent leurs rôles. Il dit ne pu penser à l’avenir même le proche. Il rencontre Ernest VAS, qui va l’accompagné dans les gestes de sa vie quotidienne notamment la toilette.

D’ailleurs, Fabien ne se sent pas gêner car il constate que l’As a de l’expérience et cela rend la situation plus montrer ses parties Il explique ses premi levés qui étaient diffi Sni* to View ci est exposer a dant la toilette. , et les premiers ec les autres. Il apprend ce que c’est un escarre et les difficultés que cela peut engendrer dans le quotidien. Il apprécie le bien de rencontrer des personnes autres que les soignants et sa famille ou amis, alors que cela ne lui était pas arrivé depuis quelques temps.

Il a l’impression de revivre normalement. Il explique être devenu tétraplégique incomplet à la suite

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d’un plongeon a Swipe to View next page au fond de la piscine. Il pensait être le seul a avoir eu son accident dans ces circonstances, et que cette période au centre permet de préparer la sortir pour organiser son futur lieu de vie lors du retour à domicile. Les médecins lors de son hospitalisation en réanimation avait pu d’espoir que Fabien puisse retrouver un peu d’autonomie un jour.

Il fait connaissance avec les couloirs où se trouve les chambre des traumatisés crâniens et un des traumatisé « kevin » qui ne se rappel jamais de ce qui se passe la veille ou dans un temps proche. Il fait connaissance avec son ergothérapeute qui lui met a disposition des choses pour être autonome dans certains gestes de la vie, notamment pour se déplacer elle lui adapte son fauteuil. Il explique qu’il faut être patient après les soignants car ils ont plusieurs patients à prendre en charge et ne peuvent pas ntervenir à l’instant T.

Selon lui, il faut être ami avec l’horloge et que la patience est un art qui s’apprend en étant patient. Il explique que même pour changer une chaîne de télé il dépend des As et que pouvoir zapper les chaînes de télévision est un grand pas vers l’autonomie. Au bout de quelques semaines, il quitte le sewice/les chambres individuelles et Ernest. Il découvre la vie en collectivité et gagne en sociabilité. Il reste bloqué dans la chambre durant des minute PAG » OF d