Mes enfants, les derniers nés de la lignée du vieux caducs, Pourquoi restez-vous là, assis, Brandissant vos rameaux de suppliants ? Notre Cité entière, dans les fumées d’encens, Résonne de peins et de gémissements ; Je n’ai pas jugé bon, mes enfants, de vous envoyer Quelqu’un d’autre, je suis venu vous écouter moi-même, Moi, qui suis connu de tous sous le nom d’?Dieppe. Dis-moi donc, vieillard, puisque tu es à même De parler en leur no Craignez-vous, désire À faire tout ce que je si H
riper nixe page Sans entrailles, si je n LE PRÊTRE Toi qui règnes sur notre pays, ?Dieppe, Tu nous vois devant toi, à notre âge, div. subie toi vie nixe page tuer, e suis disposé s vraiment roi ainsi. Devant tes autels, certains d’entre nous, n’ont pas encore la force De voler bien loin? nous croulons, nous, sous le poids des ans, Je suis, pour ma part, un prêtre de usées, tu as là un choix De jeunes gens ; le reste du peuple, avec ses rameaux, Demeure assis dans les places, devant les deux temples
De paellas, et les cendres prophétiques d’siennes. La Cité, comme tu peux toi-même le constater, Se trouve au