Objet détude LA CONSOMMATION DES MENAGES Tableaux d’analyse des documents Document n p g Titre : La consomma Nature : articles (tabl Source : www. economie. gouv. fr/facileco/consommation-des- menages Date: 2013 Idées générales : Ce document montre la consommation des ménages en milliards d’euros et en coefficient budgétaire (%) en 2011 Document no l’objet d’une dépense de leur part. Consommer un aliment par exemple, c’est le détruire pour satisfaire le besoin de se nourrir.
Un ménage au sens statistique du terme désigne l’ensemble des occupants d’un même logement sans que personnes soient écessairement unies par des liens de parenté et peut être composé d’une seule personne. La dépense de consommation des ménages se limite aux dépenses que les ménages supportent directement. Elle comprend la part des dépenses de santé, d’éducation, de logement, restant a leur charge, après remboursements éventuels.
J’ai choisi ce thème car dans la vie de tout les jours nous consommons quotidiennement des biens et des services. Pour cela, j’ai voulu découvrir comment le revenu des ménages est reparti, leur influence, les impacts des prix sur la consommation et son évolution. Ainsi que de connaitre les dépenses, le choix es consommation, le comportement social et les influences des consommateurs. Problématique :
En première partie je vais vous définir les formes et les facteurs qui influencent la consommation, en seconde partie je vais vous aborder les structures et l’évolution de la consommation et pour finir une conclusion. PARTIE _ LES FORMES ET LES FACTEURS DE LA CONSOMMATION A) Les forme de la consommation La consommation n’étant pas une fonction homogène, elle peut donner lieu à différents classements fondés sur l’une ou l’autre de ses caractéristiques. 2 e bien ou le service consommé l’est que par un seul individu, excluant tout autre individu du même usage en même temps (une paire de lunettes). dans la consommation collective, plusieurs individus peuvent consommer en même temps le même bien ou le même service (utilisation d’une autoroute, par exemple), sans possibilité d’exclusivité et tout en satisfaisant le même besoin. Les consommations collectives sont en général des services non marchands produ•ts par des administrations publiques (certains services collectifs pouvant toutefois être produits par le secteur privé, comme les cliniques par exemple).
La consommation finale et la consommation intermédiaire : – la consommation finale, qui est uniquement le fait des ménages (on parle de consommation finale des ménages), est composée des biens et des services destinés à la satisfaction directe des besoins, ainsi que de l’autoconsommation, c’est-à-dire de la consommation que les individus font de leur propre production (produits des jardins, utilisation des logements dont ils sont propriétaires… ). la consommation intermédiaire, qui est le fait des entreprises (on parle de consommation intermédiaire des entreprises), concerne les matières premières ou les produits emi-finis qui sont détruits, transformés ou incorporés, au cours du processus de production, pour réaliser le produit final (l’énergie et la farine utilisées pour fabriquer une baguette de pain). La consommation marchande et la consommation non marchande : – la consommation marchande qui concerne tous les biens, qui sont par nature marchands dans la mesure où ils sont échangés sur un marché à un rix couvrant au moins leur coût de production. sont échangés sur un marché à un prix couvrant au moins leur coût de production. – la consommation non marchande qui concerne ssentiellement les services obtenus gratuitement ou pour un prix inférieur à leur coût de revient (ticket de métro, par exemple). La consommation selon la nature des biens : – les biens matériels et non matériels : les biens matériels regroupent l’ensemble des biens physiques, palpables, stockables et consommés après avoir été produits, tandis que les biens immatériels (ou services) ne sont pas stockables et sont consommés dans le même temps où ils sont produits (ex :une séance de cinéma). les biens durables, semi-durables et non-durables : les biens durables sont les biens utilisés plusieurs fois et durant une ériode assez longue (Électroménager, hi-fi, voiture… ), les biens semi-durables sont les biens utilisés plusieurs fois mais dont la durée de vie est assez courte (vêtements, chaussures… ) et les biens non durables sont des biens qui sont détruits à la première utilisation (nourriture.. ).
La notion de consommation est une opération par laquelle les ménages utilisent une partie de leur revenu disponible plus le crédit à la consommation plus les biens et services mis gratuitement ou quasi gratuitement à leur disposition par les administrations, afin de satisfaire leurs besoins économiques. B) Les facteurs de la consommation La capacité des ménages à consommer dépend des moyens financiers dont ils disposent et du prix des produits dont il ont besoin. Le rapport entre leurs moyens financiers et les prix des produits définit le pouvoir d’achat des ménages.
Les facteurs qui influencent la consommation sont: 4 d’achat des ménages. Le facteurs économique au niveau du revenu de consommation des ménages est lié à leurs revenus, aux prix de vente, aux crédits, aux publicités et à l’intervention économique de l’Etat des biens et des services. Quand le prix baisse, la consommation augmente et quand le revenu augmente, la consommation ugmente car le pouvoir d’achat augmente. Les facteurs sociaux : la composition et la taille de la famille, l’âge et le sexe, l’intervention de l’État en matière sociale (politique familiale, protection sociale, retraite, etc… . L’appartenance à un groupe social : le groupe social est formé des individus qui présentent des conditions économiques (niveau de revenu, patrimoine), des genres de vie (pratiques culturelles, politiques) et des valeurs identiques. Les agents se comportent en fonction de la position sociale qu’ils occupent. Les modes de vie : caractérisés par plusieurs éléments : le type ‘habitat et le cadre de vie, le partage du temps entre travail et loisir, le type d’activité et les conditions de travail, le degré d’intégration sociale.
PARTIE Il- L’EVOLUTION DES CHOIX DE CONSOMATIONS A) L’évolution de la consommation La consommation des donnés est essentiellement basées sur la santé économique en France car elle représente 55 % du PIB et sa variation augmente de chaque trimestre. Depuis la deuxième guerre mondiale, la consommation n’a cessé d’augmenter, mais c’est la période 45-75, connue sous le nom de « Trente Glorieuses » qui restera caractérisée par la plus orte augmentation de la consommation, correspondant à une augmentation de la production de 5 à 6% en moyenne annuelle.
Toutefois, elle S correspondant à une augmentation de la production de 5 à 6% en moyenne annuelle. Toutefois, elle n’as pas durée longtemps car en 1990, cette consommation s’est progressivement réduite en cause de la crise. Entre 2000 et 2007, elle augmentait en moyenne de 2,1 % par an. Depuis 2008, la consommation augmente de seulement % par an. En 2011 l’augmentation de la consommation a été fortement ralentie : seulement 0,3 % par rapport à 2010, après une hausse de 1,4 % entre 2009 et 2010. La consommation de voitures est l’exemple le plus marquant.
L’achat de véhicules représente près de la moitié (45 de la variation de la consommation totale. Ainsi que les équipement de la maison. En 2013, on peut remarquer que les français ne se prive pas de nouvelles technologies comme le téléviseur ou les smartphones. 3) L’évolution des choix de consommation La structure de la consommation est représentée par la part des différentes dépenses au cours d’une année donnée. Les dépenses sont réparties par poste budgétaire, chaque poste correspondant à l’une des grandes fonctions de onsommation(alimentation, habillement, etc. ).
Les biens essentiels correspondent aux besoins indispensables ? la vie courante ; il sont les premiers à être satisfaits. Le niveau des dépenses qui leur sont consacrées reste relativement stable, ils sont peu sensibles aux variations de revenu ; on dit qu’ils ont une faible élasticité par rapport au revenu, c’est-à-dire qu’ils seront achetés quel que soit le niveau du revenu(ex : médicaments). Les biens non essentiels correspondent aux besoins satisfaits après les besoins essentiels. Ils sont au contraire très sensibles ? l’accroissement du revenu : on dit qu’ils ont une forte él