Note de synthèse violence congugale

Note de synthèse violence congugale

Madame X Assistante sociale A l’attention du Responsable du service, Bobigny, le 17/09/2014 Objet : Note de Synthèse sur les violences conjugales Monsieur, Je vous prie de bien vouloir trouver la note de synthèse sur les violences conjugales. Veuillez agréer, Monsieur le Responsable, mes salutations Ripe next page Oti , „ distinguées. Madame Assistant Note de synthèse su Cenquête EVEFF révèle « en 2001 que des femmes en en France avaient été victimes de violence conjugale et, pout le quart d’entre elles, d’agressions physiques répétées »

De plus, « A l’exception des violences sexuelles, les enfants avaient assisté aux scènes de violence dans plus de la moitié des cas, le cumul des agressions subies augmentant la probabilité que les enfants en soient témoins. » La violence conjugale est caractérisée par la maltraitance qu’un individu au sein d’un couple peut vivre de la part de son ou sa partenaire. Elle s’installe progressivement dans le couple.

Les principales formes de violence conjugale se développent et s’aggravent avec le temps dans le temps : 1 – Les agressions psychologiques 2- Installation de la violence verbale – Agressions physiques verrons en quoi le service social et ses partenaires jouent un rôle important dans la reconstruction

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de ces individus. I) Les lois concernant la violence conjugale Dans cette première partie, nous allons voir deux lois concernant les violences conjugales. Tout d’abord en avril 2006, La loi renforçant la prévention et la répression des violences au sein du couple ou commises contre les mineurs est adoptée.

Elle vient notamment compléter les dispositions de droit pénal et de procédure pénale afin d’améliorer la lutte contre les violences au sein du couple. La circonstance aggravante d’être violent en tant que conjoint ou concubin s’étend désormais au partenaire pacsé et à l’ « ex Cette loi envisage aussi de destituer le conjoint violent du domicile. En chiffres, les violences conjugales concernent une femme sur dix et causent la mort d’une femme tous les quatre jours.

Ensuite, la loi du 9 juillet 2010 relative « aux violences faites spécifiquement aux femmes, aux violences au sein des couples et aux incidences de ces dernières sur les enfants » dit que toute violence est reconnue comme illégal et devient punissable entre conjoints. Un an et demi après son adoption, cette loi est « insuffisamment et inégalement appliquée sur le territoire » selon les députés Guy Geoffroy (UMP), et Danielle Bousquet (PS). Les députés déplorent que les acteurs de lutte contre les violences faites aux femmes soient peu formés à cette difficulté.

C’est surtout valable pour les JAF Ouges aux affaires familiales) qul sont chargés de mettre en œuvre l’ordonnance de protection. Cette première partie nous permet d’avoir une certaine approche des principales lois concernant les violences conjug 2 permet d’avoir une certaine approche des principales lois oncernant les violences conjugales. Il) Les conséquences des violences conjugales Dans cette seconde partie nous allons voir que les violences conjugales peuvent avoir des conséquences désastreuses sur les femmes et leurs enfants.

A) Sur les femmes Tout d’abord, nous allons analyser le cycle de violence pour mieux comprendre ensuite les conséquences que ça peut apporter sur les femmes. Ici les femmes seront les dominées, et le conjoint le dominant. Ce cycle s’organise autour de 4 phases. La première phase, est la tension par les conflits et les divergences dans par exemple Péducation des enfants, le choix udgétaire, la grossesse, les divergences d’opinion… Ainsi le dominé, la femme, se retrouve dans une situation de crainte, de peur, ou encore de terreur. La seconde phase, est l’agression par les agressions verbales, psychologiques, physiques et sexuelles.

Le dominant (le conjoint) a recourt à la violence. La femme quand à elle se retrouve dans en colère, se sent humiliée, et impuissante et pleine de désespoir. La troisième phase est le déni. La femme commence ? culpabiliser et se sent responsable de la situation. La quatrième phase est la rémission, le sursis amoureux. La femme est pleine d’espoir, et c’est le retour de la confiance jusqu’à ce que le cycle recommence. Les femmes peuvent quelques fois avoir peur de parler de leur situation de peur de perdre leurs enfants, ou qu’on ne les croit pas.

En situation de crise, des éléments sont évidents comme des atteintes physiques ou psychiques, état de choc, menaces, des mises à la porte… Ces situations euvent impliquer une rupture, une désorganisation du qu 3 mises à la porte… Ces situations peuvent impliquer une rupture, une désorganisation du quotidien qui pourrait engendrer de ‘angoisse et de la déstabilisation. De plus, la mère de l’enfant pourrait devenir moins sensible aux besoins et aux demandes de son enfant alors qu’il pourrait vivre de grandes difficultés qui appelleraient à davantage de soutien de la part de la mère.

Ainsi la relation mère-enfant pourrait être affectée. Les violences envers les femmes ont également un impact sur leurs enfants. B) Sur les enfants « L’exposition des enfants à la violence conjugale est une forme de mauvais traitement psychologique qui se manifeste de plusieurs façons puisqu’elle a pour effet de terroriser l’enfant, e l’isoler, par crainte ou honte de la violence, et enfin de le corrompre en le socialisant à l’abus de pouvoir et à des formes inadaptées de relations interpersonnelles (Holden, 2003) » Câge de l’enfant est un facteur important à prendre en compte lorsque les violences conjugales sont détectées.

A la petite enfance, l’enfant est très vulnérable en raison de sa très grande dépendance à ses parents pour sa construction. La violence met ainsi en danger l’attachement que l’enfant à envers ses parents. L’enfant une fois qu’il est scolarisé peut développer des astuces pour s’adapter. Cest à cet âge là que l’impact de la violence est le plus visible. une fois adolescent, il risque surtout de rencontrer des problèmes de confiance et d’estime de soi, donc développer des comportements à risques et ainsi répéter le modèle familial.

En résumé, les répercussions chez l’enfant peuvent être de différents ordres : – Les troubles psychiques ble du sommeil ou a être de différents ordres . – Les troubles psychiques : anxiété, trouble du sommeil ou alimentaire… – Les troubles de l’apprentissage (échec scolaire) – Les troubles du comportement : agressivité, fugue, conduites dditives… – Les lésions physiques comme les blessures accidentelles ou intentionnelles Ill) Les missions du service social et de ses partenaires au regard de l’usager Pour cette troisième partie, nous allons voir les missions du service social et de ses partenaires.

A) L’intervenant social A savoir que l’accompagnement social est assuré par des professionnels de l’action sociale relevant du Service Social départemental polyvalent (SSDP), des services sociaux spécialisés et des associations. Le SSDP et la PMI (Protection Maternelle Infantile) sont souvent les interlocuteurs des femmes et de leurs nfants victimes de violences conjugales. Le rôle premier de Pintervenant social est de repérer tout d’abord s’il y a une situation de violence qu’elle soit en crise ou non.

Cela peut se faire lors de plusieurs entretiens concernant une demande d’aide financière, une naissance, ou une grossesse, ou une séparation… La problématique de la violence n’est pas toujours évoquée. Les femmes ignorent la loi, et craignent des représailles. Pour cela il s’agit pour Pintervenant d’accompagner ces femmes dans son parcours en l’aidant dans la restauration de son autonomie en établissant un climat de confiance pour ermettre de nommer la violence et d’évaluer le danger immédiat ou non. Tout en expliquant é alement les phases du cycle de violence pour ainsi aider I’ rendre conscience. S conscience. ne fois que la victime a pris conscience de la situation, l’intervenant social peut la conseiller sur les démarches à suivre tout en raccompagnant en l’informant et l’orientant sur ses droits. Cintervenant lui explique aussi la nécessité de déposer plainte en l’adressant vers des services de police. Cette intervention se fait bien sûr dans un cadre de confidentialité, en privé. L’intervenant écoute la victime et acilite faccès aux services (numéro d’urgence, lieux d’accueil et d’orientation et des consultations de victimologie pour les femmes victimes de violences) qui sont mis en place pour l’aider.

B) Ses partenaires Les partenaires du service social sont essentiels pour un bon accompagnement de la victime. Concernant la protection de l’enfance, souvent des situations relèvent à la fois du champ de la protection de l’enfance et de l’accompagnement à apporter à la victime. Le partenariat devient dont indispensable pour une meilleure évaluation et davantage de cohérence en vue d’apporter une réponse adaptée. Par ailleurs, il existe aussi des travailleurs sociaux dans les services de police et de gendarmerie afin de mieux répondre à la demande.

Pour conclure, différentes lois ont été mises en place afin de l’égaliser la violence conjugale, pour qu’elle soit punie par la loi. Mais la loi du 9 juillet 201 0 est inégalement répartie sur le territoire. Ces violences conjugales ont autant de conséquences désastreuses sur les femmes que sur leurs enfants. Pour cela, des intervenants sociaux et leurs partenaires sont là pour accompagner et orienter les femmes dans ces situations.