Fiche musique résumé . Tutu (1986) Miles Davis Hommage à mr Desmond Tutu 0 futur archevêque anglican de Cape Town qui a eu le prix nobel de la paix en 84 « tutu » équivalent au mot « cool » en Africain yoruba producteur Tommy Lipuma a eu l’idée du titre définitif en remplacement de «Perfect Way» a eu un succès auprès de la communauté noire d’Afrique du sud.
Les titres à retenir : – Tutu (Marcus mille), 5′ 15 Tomaas (Miles davis, Marcus miller), 532 Porati (marcus Miler), Miles Davis Il trompe Marcus Miller D synt S612 avt de jouer sa J saxophone soprano 5 S p w nextpage un sampleur Akai basse et d’un Jason Miles Il synthétiseur Oberheim Matrix 12, un PPG Wave, un Emulator MIDI Cl « Musical Instrument Digital Interface » prises din à 5 branches enregistrement à Paide d’un magnétophone analogique à 24 pistes la pochette de l’album a été pensée par la créatrice japonaise Eiko Ishioka et photographié par l’americiane Irving Penn.
Le titre de l’album ainsi que le nom de l’artiste sont absent. saxphone soprano Paulinho da Costa : percussion Adam Holzman : programmation synthétiseur , ambiance sonore ds ces années. LI intro (1er partie
Basse électrique, il a abaissé la corde de ml de son instrument pour pouvoir jouer les ré graves Thème (0’35 à 204) unisson entre la trompette et les synthétiseurs joué deux fois échelle de sol dorien (très employé en jazz) chorus (2’04 à 3’04) divers sons de synthétiseurs, le groove de plus en plus d’importance, trompette est tjrs 0 théme (3’04 à 406) joué qu’une seul fois n coda (406 à 5’1 5) tête du théme se fait entendre 3 fois ds une sorte de ?tutti» orchestral puis le morceau s’achève en fade-out.
Tomaas Composition : Marcus Miller/Miles Davis linton Recording Studios, Enregistrement : 12-25 m 20F trompette et le saxophone soprano s’amusent. motif de la guitare ( 0’26 à CY44) thème (044 à l’1 3) exécuté à l’unisson désormais accompagné par la basse joué en slap (technique percussive qui fait alterner à la main droite des tapés avec le pouce et des tirés ac l’indexe.
Cl motif de la guitare (1 ’13 à 1’33) n thème ( 133 à 202) interlude (2’02 à 221 5) apparition de la clarinette basse sur l’ostinato de mi motif de la guitare (2’245 à 3’50) rompette ai 1er plan en effectuant des gammes rapides. La clarinette basse la rejoint alors que la grille d’accords se modifie quelque peu. hème (3’50 à 420) trompette joue ds l’aigue D motif de la guitare (420 à 448) O thème et fade-out( 4’48 à 532) Portia D Composition : Marcus Miller/Miles Davis Enregistrement : 13 février 1986 Durée : 6118 Les musiciens Miles Davis : trompette Marcus Miller : guitare basse, guitare électrique, synthétiseurs, programmation des boîtes à rythme, saxophone soprano O intro (0’00 à 026) arrivée des synthétiseurs et dune partie de batterie jouée sur une boite à rythme thème 1 (0’26? IS ccords de la fin de la grillle du thème sont joués en boucle.
Des cocottes de guitare électrique (par miller) se font entendre. La trompetteest au premier plan. C] chorus de saxophone soprano ( 2’51 à 4’16) Miller paraphrase le théme complet au saxophone alors que la trompette n’intervient que sur la fin. D ostinato 2 ( 416 à 4’55) trompette, saxophonesoprano et une des parties de basse électrique interviennent sur les 2 memes accords tjrs au- dessus d’une basse en slap, des synthétiseurs et la guitare. coda (4’55 à 818) thème joué 3 fois tandis que la trompette aura le dernier mot sur le dernier accord.
Mode Iocrien basé sur mi sonate «La folia» op. 5 NO oreili (1 653 à 1713) à dire de la naissance de l’opéra en 1600 à la mort de J. S Bach en 1750. Les caractéristiques de la musique baroque: . La basse continue . l’harmonie . L’art baroque est ample, théâtral, dramatique, il est décoratif et ornementé. La plupart des formes musicales naissent à Pépoque baroque . – formes vocales : l’opéra (œuvre profane), la cantate et l’oratorio (oeuvres religieuses). formes instrumentales : la suite, la fugue, le concerto grosso, le concerto de soliste, la sonate. La follia serait apparue au XVs. Au Portugal sous la forme dansée de rythme rapide. A la fin du siècle, la follia se fixe à travers un modèle harmonique et mélodique unique. Plus de 1 50 compositeurs l’ont utilisé en composant sur ce thème : Marais, Corelli, Lully, Bach, Haendel, Rachmaninov, Vangelis La plupart du temps sous forme de thème et variations, on la retrouve aussi comme citation (dans les œuvres de J.
S. Bach), ou comme inspiration pour une autre mélodie (sarabande de GF. Haendel). Le theme et la variation : Un thème musical est une mélodie qui évolue tout au long de l’œuvre. Une variation consiste à modifier cette mélodie par : l’ajout d’ornements (notes de passage, broderies, mordants, rilles) – la modification des paramètres du son (hauteur, intensité, durée, timbre) Variation ornementale : le difié mélodiquement et/ couleurs vocales ou instrumentales). ? Sonate N012 op5 Publié à Rome en 1 700, l’opus 5 compte 12 sonates pour violon solo et continuo avec 6 sonates da chiesa (nol à 6) et 6 sonates da camera (no 7 à 12). Corelli reprend la présentation traditionnelle du thème de la Follia : Métrique à 3/4 – Tonalité de ré m – Carrure de 2 X 8 mesures. Il ajoute quelques ornements mélodiques et modifie légèrement les formules cadentielles à la basse. Il garde le mouvement conjoint (avec quelques sauts de tierces). L’ambitus passe d’une 3ce à une Ste J.
Le thème l’harmonie 1ère section ré mineur (mes. l à 4), modulation en Fa Majeur (mes. 5), retour en ré m. (mes. 7) avec une 1/2 cadence à la mesure 8 (repos sur le Se degré : la), -2ème section (répétition) conduit à une Cadence Parfaite (V -s l, la -> ré) en ré m. Les variations : • Oppositions de registres (aigu/grave) avec l’alternance des 2 voix (violon/violoncelle) en dialogue dans un jeu de questions- réponses (V3 et V9). • Opposition de caractères avec des passages mélodiques et rythmiques (VIO et V1 1). ??? Changement de métrique : assa e en ternaire (V13)) • Alternance entre différen iture : 6 OF IS variations 0/4/5 – ‘„’6/7 – V22/23) – au sein d’une même variation à la césure entre les 2 sections . L’ensemble des œuvres de Thierry Machuel Compositeur post-moderne et pianiste français né en 1962 ? Paris. Il contribue à la reconnaissance et au développement de l’écriture chorale en France en enseignant la composition pour choeur, ainsi qu’à fémergence de nouvelles générations de compositeurs d’œuvres chorales Ses œuvres chorales sont chantées dans de très nombreux pays.
Il obtient différentes récompenses : 993 : Grand prix d’improvisation classique (piano) au concours international de Montbrison 2008 : prix SACEM pour la meilleure œuvre chorale 2010 : grand prix de l’académie Charles Cros dans la catégorie « document » : coffret « Clairvaux, Or, les murs » et Clef d’or ResMusica (récompense des ublications remarquables en matière de CD/DVD/Livres Formation : grand chœur à voix mixtes (soprano- mezzo-soprano- alto, ténor- baryton- basse) Textes : poésie de Langston Hughes (mort en 1967), poète américain faisant partie du mouvement intitulé « renaissance de harlem » qui donne une nouvelle impulsion à la culture afro- méricaine dans l’entre-deux-guerres, dans le domaine de la photographie, de la musique, de la littérature et de la peinture. Structure générale : 6 parties enchaînées sans ruptures D Afraid Chœur homorythmique en tutti ( clarté du texte) – Prédominance de la mélodie – Importance des silences entre chaque phrase pour accentuer l’angoisse nocturne et le malaise. Pédale de sol* aux parties de mezzo-soprano, alto, baryton et basse : absence d’harmonisation = solitude – La trame mélodique se créée autour de cette partie recto-tono Le rythme : il est accentué en fonction de celui du texte. Une ellule rythmique trochaïque (noire-croche) est récurrente : influence des rythmes du blues et du negro spiritual – figuralismes : commence par un intervalle de triton SOL#-RE sur les paroles « we cry » se termine par le même triton par lequel il avait commencé, mais inversé (RE-SOL#) sur les paroles « and we’re afraid » Utilisation fréquente de Pintervalle du demi-ton pour accentuer la peur. Fin à l’unisson sur figuralisme de la solitude éléments sont utilisés comme symboles des musiques du peuple afro-américain et non intégrés dans l’idée d’un métissage de styles. rogressivement les aigus (Le thème A passe des barytons ux mezzo-sopranos/altos puis aux ténors/sopranos = même combinaison que dans « afraid 6 Fabienne Miqueu- professeur de musique- lycée Marie-curie de tarbes – Le thème 3 commence sur les paroles « homesickblues, lawd » le mal du pays seigneur) dans un registre plus aigu pour accentuer la nostalgie : influence du negro spiritual dansl’utilisation de mots familiers « lawd — « lord » – climax (= point culminant) sur la note FA aigu et sur le mot « crying » comme dans « Afraid » – Traitement rythmique en diminution du motif du train (z accélération du roulis du train) – L’extrait se termine sur une demi-cadence suspensive Comme dans « afraid », Thierry Machuel construit ses plans sonores mélodiques autour d’une voix statique qui reste autour de la même note. HOMESICK BLUES LE BLUES DU MAL DU PAYS De railroad bridges A sad song in the air. De railroad bridge’s A sad sone in the air. passe J’veux m’en aller vers d’autres terres. J’descendis jusqu’à la gare Le coeur sur les lèvres. Descendis jusqu’à la gare Cherchant un wagon de marchandises Pour me rouler vers le Sud, quelque part. Le blues du pays, Seigneur, Cest terrible de l’avoir pris.
Le blues du pays, c’est une chose Terrible de l’avoir pris. Pour m’empêcher de pleurer J’ouvre la bouche, et puis je ris. Û « kemuri » Thèmes : réflexion sur le temps qui passe et sur le dernier voyage les haikus : textes en japonais de Issa KOBAYASHI, poète et moine bouddhiste japonais du XIXO s. Les tankas : textes en japonais de Ishikawa TAKIJBOKIJ, poète du XX0s. 10 — Haiku :Sois donc rassuré les fleurs aussi qui voltigent prennent ce chemin 11 — Tanka : Les rêves de ma femme n’étaient autrefois que de musique aujourd’hui elle ne chante plus 12 – Haïku : P as chose facile d’être né homme ici-bas répuscule d’automne 13- Tanka : Une fois enc 0 OF is cette voix
