Choose an organization for analysis 1. Identify all potential stakeholders according to their relationship to the organization 2. Prioritize stakeholders by attributes 3. What are your recommendations for the organization concerning stakeholder relations improovement? Partie prenante Un article de Wikipedia, l’encyclopedie libre. Aller a : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Partie. Une partie prenante est un acteur individuel ou collectif concerne par une decision ou un projet.
La notion de partie prenante est centrale dans les questions de responsabilite societale. L’identification des parties prenantes et le dialogue avec celles-ci font l’objet de la cinquieme partie de la norme ISO 26000 sur la responsabilite societale des organisations, parue en 2010. Sommaire[masquer] * 1 Domaines d’application * 1. 1 Sciences politiques * 1. 2 Economie * 2 Evolution de la definition * 2. 1 Origines * 2. 2 Theories du management * 2. 3 Evolutions recentes : notion d’interet * 2. Responsabilite vis-a-vis des parties prenantes ou interessees * 3 Entreprises * 3. 1 Parties prenantes vs actionnaires / clients * 3. 2 Parties prenantes et attentes principales * 4 Notes et references * 5 Voir aussi * 6 Liens externes * 7 Bibliographie | Domaines d’application Sciences politiques En sciences politiques, le terme
En economie, une partie prenante est tout acteur interne ou externe a une entreprise et concerne par son bon fonctionnement sur le plan de la responsabilite societale. Citons par exemple : * pour les acteurs internes : dirigeants, salaries, syndicats * pour les acteurs externes : * clients, fournisseurs, intermediaires de financement (banques, gerants de fonds… ), compagnie d’assurance, * ONG, associations, citoyen d’une collectivite – ou l’entreprise exerce son activite, (riverains),… collectivites territoriales, territoriale ou non, administration territoriale de la collectivite concernee, * Chambre de commerce et d’industrie (CCI), * Actionnaires et investisseurs La notion de partie prenante est nee d’une exigence ethique nouvelle de la societe civile, qui demande que les entreprises rendent compte des consequences sociales et environnementales de leur activite. C’est dans ce sens que les parties prenantes de la societe civile ont des interets dans le bon fonctionnement de l’entreprise.
La notion de partie prenante recouvre donc des questions d’ethique, qui couvre le champ de l’ethique de l’environnement, de l’ethique financiere, et aussi, dans certains cas, de l’ethique sociale. On peut donc distinguer les parties prenantes de premier rang c’est-a-dire celles dont l’entreprise ne peut se passer sans remettre en cause son fonctionnement ou sa survie (perennite) et les parties prenantes de deuxieme rang c’est-a-dire celles qui ne sont pas essentielles pour le fonctionnement ou la survie de l’entreprise.
Evolution de la definition Origines A l’origine, une « partie prenante » etait une personne a qui l’on confiait une somme d’argent ou un bien en attendant de determiner son proprietaire legitime, ou une tierce personne a qui des parieurs confiaient leur argent en attendant de connaitre le gagnant. Les tribunaux peuvent parfois remplir ce role en attendant de trancher un litige de propriete ou en designant, lorsque des biens sont legues a un enfant, un administrateur dans l’attente de sa majorite. C’est un concept legal ancien.
En France, la comparaison la plus evidente est le notaire ou l’huissier de justice. Theories du management Une theorie de management[1] (Stakeholder view) utilise cette definition : « Dans une corporation, les parties prenantes sont des individus et des groupements qui contribuent, volontairement ou non, a la capacite de creer de la valeur et de l’activite et qui en sont ses beneficiaires potentiels et/ou en assument les risques ». Cette definition varie de celle de Freeman[2] qui inclut les concurrents comme « partie prenante » d’une societe. Evolutions recentes : notion d’interet
Dans les dernieres decennies du XXe siecle, la notion de « partie prenante » a evolue pour designer une personne ou une organisation qui a un interet legitime dans un projet ou une entite. En ce qui concerne les processus de decision dans les institutions, dont les grandes entreprises, les organismes d’Etat et les organisations non gouvernementales, le concept a ete elargi pour inclure quiconque ayant un interet dans les actions de l’entite. Ceci comprend non seulement ses distributeurs, ses employes, et ses clients, mais aussi les membres de la commune ou ses bureaux ou usines pourraient affecter l’economie locale ou l’environnement.
Dans ce contexte, les « stakeholders » ne sont pas seulement ses directeurs et ses administrateurs siegeant au Conseil d’administration ou de surveillance dans le sens traditionnel du terme. Par exemple, dans un projet de rehabilitation immobilier dont les immeubles sont habites durant les travaux, les « parties prenantes » sont les residents et les voisins subissant des nuisances, l’equipe de gestion du projet, le proprietaire terrien, les financeurs, l’architecte et les constructeurs.
Les tenants de chaque type d’interet dans les affaires de l’entite (l’entreprise) peuvent se regrouper. Il peut avoir un ou des groupements d’actionnaires, de proprietaires voisins, de banques d’investissement, etc. Dans ce contexte, le groupement est un synonyme de « partie prenante ». Dans cette optique l’entreprise est consideree comme un « n? ud de contrats », plus ou moins formalises, entre ces divers agents economiques. Cette approche suppose que l’entreprise satisfasse un certain equilibre entre les interets respectifs de ces diverses parties.
De meme que les diverses parties sont supposees respecter certains interets de l’entreprise. Cela suppose de definir les interets communs (ou non) entre les parties, autrement dit de definir des communautes d’interets adequates. La satisfaction des interets des parties prenantes passe par une analyse approfondie des usages des informations dans les metiers de l’entreprise, lors des echanges avec les parties prenantes, ce qui doit faire l’objet d’un processus de veille et d’intelligence economique. Responsabilite vis-a-vis des parties prenantes ou interessees
Article detaille : Responsabilite sociale des entreprises. Ce type de responsabilite est parfois appele responsabilite sociale des entreprises. La responsabilite sociale d’entreprise est en fait l’application des principes de developpement durable a l’entreprise. A l’origine (sommet de la Terre de Rio de Rio en 1992, et agenda 21), le developpement durable s’est applique aux Etats et aux collectivites territoriales. Le concept s’est elargi au sommet de la Terre de Johannesburg (2002) pour inclure les entreprises.
L’Union europeenne a publie un livre vert pour definir les principes de Responsabilite sociale (ou societale) des entreprises (RSE). Le gouvernement francais (Jean-Pierre Raffarin) a lance a partir de 2003 une politique d’intelligence economique, qui met l’accent sur les questions de veille plus que de communication. Des cabinets d’avocats d’affaires peuvent assister les entreprises sur les questions juridiques, lors de la negociation de grands contrats. Entreprises Parties prenantes vs actionnaires / clients
Dans le domaine de la gouvernance d’entreprise, un debat majeur traverse la litterature consacree aux parties prenantes depuis l’origine pour determiner si l’entreprise doit etre geree dans l’interet des « parties prenantes » ou seulement dans l’interet des actionnaires. Freeman lui-meme que l’on considere comme le pere du concept l’a cree comme un clin d’oeil au mot stockholder que l’on utilise pour designer les actionnaires. Milton Friedman croyait clore le debat en affirmant que l’entreprise n’a qu’une responsabilite, celle d’assurer le profit de ses actionnaires (1970).
Ceux qui defendent le point de vue des « parties prenantes » basent leur argumentation sur trois affirmations principales : 1. La creation de valeur est plus forte lorsque ses beneficiaires sont multiples. Par exemple, selon cette ligne de pensee, un projet qui satisfait les besoins des employes et des attentes des actionnaires a une double valeur car il cible en meme temps, deux groupements legitimes de « parties prenantes ». 2. Ils disputent egalement le role preeminent accorde aux actionnaires par un grand nombre d’economistes.
Ils argumentent que les financeurs, les salaries et les fournisseurs prennent egalement des risques dans le succes d’un projet. 3. Ces arguments normatifs auraient peu d’importance si les actionnaires avaient un controle total dans la gouvernance de l’entreprise. A contrario, les tenants du primat actionnarial, estiment qu’etant donne que le profit pour les actionnaires ne peut provenir que de la satisfaction du client consommateur, il n’y a pas opposition entre les deux.
L’entreprise qui veille aux interets de ses actionnaires, assure in fine la satisfaction des clients. Cependant, beaucoup pensent que les Conseils d’administration ou de surveillance sont a l’image de la structuration du capital et des actions de l’entreprise, et le pouvoir reel de l’entreprise entre les mains des Directeurs Generaux. En France : ce pays a ete l’un des derniers pays occidentaux a transformer la legislation sur la gouvernance d’entreprise. Aujourd’hui, la loi accorde beaucoup moins de pouvoirs aux dirigeants, le pouvoir st plus reparti entre les membres du conseil d’administration, de sorte que le Directeur General est souvent dans l’obligation d’appliquer des directives imposees pas les actionnaires, lesquels dependent le plus souvent des marches financiers. Les consommateurs sont absents de la gestion. L’arrivee de l’actionnariat populaire dans les annees 90 a permis la montee en puissance des petits actionnaires. Leur impact dans la gestion des peripeties de la societe Eurotunnel est en cela symptomatique.
Certains auteurs specialistes du gouvernement des entreprises comme Pierre-Yves Gomez voient dans l’arrivee d’un actionnariat populaire la necessite de reformer et democratiser les instances du gouvernement des entreprises (assemblee generales, conseils d’administration, comites) afin d’elargir les points de vue et integrer dans le fonctionnement des entreprises les attentes des parties prenantes. Parties prenantes et attentes principales Article detaille : Attente. En matiere de developpement durable, les parties prenantes expriment des attentes, dont l’entreprise devrait tenir compte en en faisant la synthese.
Tableau synthetique presentant les parties prenantes et leurs interets ou attentes principales : partie prenante | Exemples de leurs objectifs, interets | Equipe de direction / Decideurs | Gouvernance, Culture d’entreprise, ventes a l’exportation, risque juridique, risque de reputation, strategie (court et moyen terme), responsabilite civile, risque de perte de competence, performance, remuneration, lien de subordination | Proprietaires / actionnaires | Profit, valeur de l’action en bourse, information, strategie (long et moyen terme) | Clients | Qualite et absence de defaut des roduits/Cout et delai de livraison des produits/qualite de service, relation de confiance et partenariat | Etat, Mission economique | Souverainete, securite collective (defense), independance energetique, securite des approvisionnements (energie, matieres premieres), exportations, respect des principes du droit (securite juridique), respect des regles (comptabilite publique, loi), monnaie, impots | Citoyens des communautes locales | Information sur les impacts environnementaux et sociaux (emplois), taxes et contributions financieres, risque juridique |
Salaries | Remuneration, securite de l’emploi, interet du travail, conditions de travail, hygiene et securite au travail (CHSCT) | Syndicats | Negociation d’accords, remuneration, conditions de travail, hygiene et securite au travail (CHSCT) | Fournisseurs / sous-traitants | Prix et volume d’achat, continuite, retombees technologiques, partenariat | Banques | Fiabilite des systemes de paiement | Investisseurs | Informations sur la solvabilite, la liquidite, | Compagnie d’assurance | Informations sur la gestion des risques et la solvabilite, sur la securite informatique (profil de protection) |
On distingue trois principaux groupes de parties prenantes : les investisseurs, les fournisseurs et les controleurs. Stakeholder From Wikipedia, the free encyclopedia. Jump to: navigation, search Help page on the disambiguation For other uses, see Part. A stakeholder is an individual actor or group affected by a decision or project. The concept of stakeholder is central to issues of social responsibility. The identification of stakeholders and dialogue with them are the subject of the fifth part of ISO 26000 on ocial responsibility of organizations, published in 2010. Application Areas Political Science In political science, the term stakeholder is used primarily in the area of ?? consultation. For example, in the case of a consultation on a development or management of a portion of territory, the stakeholders may be: • owners concerned • public authorities (local authorities, administrations … ) • Economic actors • users’ associations (sports clubs, hiking … ), protection of the environment or heritage of residents or residents, etc..
The American Ronald Mitchell moved to classify the stakeholders to decide to what extent it is important that they participate or not to the consultation: see Mitchell grid. Economy In economics, a stakeholder is any player inside or outside a company concerned and its functioning in terms of social responsibility. For example: • for internal stakeholders: managers, employees, unions • for external actors: No customers, suppliers, financing intermediaries (banks, fund managers … ), Insurance Company o NGOs, associations, citizen of a community – where the company operates, (bordering ),… territorial, territorial or not, territorial administration of the community concerned, o Chamber of Commerce and Industry (CCI) • Shareholders and investors The concept of stakeholder is born from an ethical news of the civil society, which requires that companies report on social and environmental consequences of their activity. It is in this sense that stakeholders from civil society have a stake in the functioning of the company. The concept of stakeholder therefore covers issues of ethics, which covers the field of environmental thics, ethics, financial, and, in some cases, social ethics. We can therefore distinguish between stakeholders leading to say that those whose business can not happen without compromising its operation or survival (sustainability) and the second largest stakeholder is to ie those that are not essential for the functioning or survival of the company. Evolution of the definition Origins Originally, a « stakeholder » was a person who is entrusted a sum of money or property pending determination of its rightful owner, or a third person who entrusted their money to bettors while awaiting the winner.
Courts can sometimes fill this role pending the determination of a property dispute or designating, where property is bequeathed to a child, an administrator pending his majority. It is an old legal concept. In France, the most obvious comparison is the notary or bailiff. Management theories A theory of management [1] (Stakeholder view) uses this definition: « In a corporation, stakeholders are individuals and groups who contribute, willingly or not, the ability to create value and activity and who are potential beneficiaries and / or take risks. «
This definition differs from that of Freeman [2] which includes competitors such as « stakeholder »of a corporation. Recent developments: the concept of interest In the last decades of the twentieth century, the concept of « stakeholder » has evolved to mean a person or organization that has a legitimate interest in a project or entity. Regarding decision-making processes in institutions, including large enterprises, government agencies and nongovernmental organizations, the concept has been broadened to include anyone with an interest in the entity’s shares.
This includes not only its distributors, its employees and its customers, but also members of the community where its offices or factory may affect the local economy or the environment. In this context, the « stakeholders » are not only its directors and directors on the board of directors or supervisory in the traditional sense. For example, in a housing rehabilitation project whose buildings are occupied during construction, the « stakeholders » are the residents and neighbors suffering nuisance, the management team of the project, the landowner, the financiers, the architects and builders.
Proponents of each type of interest in the affairs of the entity (the company) can get together. He may have one or more groups of shareholders, owners of neighboring, investment banks, etc.. In this context, the group is a synonym for « stakeholder ». In this context the company is regarded as a « nexus of contracts », more or less formalized between the various economic agents. This approach assumes that the company meets a certain balance between the interests of various parties. Just as the various parties are expected to meet certain business interests.
This entails identifying common interests (or not) between the parties, in other words to define appropriate communities of interest. The satisfaction of stakeholders’ interests requires a thorough analysis of the uses of information in the company’s business, during exchanges with stakeholders, which must be a process of surveillance and intelligence . Responsibility vis-a-vis stakeholders and interested Main article: Corporate Social Responsibility. This type of liability is sometimes called corporate social responsibility.
Corporate social responsibility is in fact the principles of sustainable development at the company. At the origin (the Earth Summit in Rio 1992 Rio and Agenda 21) Sustainable Development was applied to states and local governments. The concept has expanded to the Earth Summit in Johannesburg (2002) to include businesses. The European Union has published a green paper to define the principles of Corporate Social Responsibility (or social) responsibility (CSR). The French Government (Jean-Pierre Raffarin) launched since 2003 an intelligence policy, which focuses on intelligence matters more than communication.
Law Firms Business can assist companies on legal issues during the negotiation of major contracts. Businesses Stakeholders vs. shareholders / customers In the area of ?? corporate governance, a major debate across the literature on stakeholders from the outset to determine whether the company should be managed in the interests of « stakeholders » or only in the interests of shareholders . Freeman himself that is considered the father of the concept was created as a nod to the stockholder that the word is used to refer to shareholders.
Milton Friedman believed closing the debate by asserting that the company has a responsibility to ensure that the benefit of its shareholders (1970). Those who defend the views of « stakeholders » base their argument on three main assertions: 1. Value creation is stronger when its beneficiaries are many. For example, according to this line of thought, a project that meets employee needs and expectations of the shareholders has a double value because it targets the same time, two groups of legitimate « stakeholders ». 2.
They also compete for the prominent role given to shareholders by many economists. They argue that the financiers, employees and suppliers are also taking risks in a successful project. 3. These normative arguments were of little significance if the shareholders had total control in corporate governance. Conversely, proponents of shareholder primacy, believe that since the profit for shareholders can only come from customer satisfaction consumer, there is no opposition between the two. The company that looks after the interests of its shareholders, ultimately ensures customer satisfaction.
However, many believe that the boards of directors or supervisory board are a reflection of the structuring of capital and shares of the company, and the real power of the company in the hands of CEOs. In France, this country was one of the last Western countries to transform the law on corporate governance. Today, the law provides much less power to the leaders, power is distributed among the members of the board, so that the CEO is often required to follow guidelines imposed no shareholders, which usually depend on financial markets.
Consumers are missing from the management. The arrival of public shareholding in the 90s led to the rise of small shareholders. Their impact in the management of incidents of Eurotunnel is it symptomatic. Some authors of corporate governance specialists such as Pierre-Yves Gomez saw the arrival of a popular share the need to reform and democratize corporate governance bodies (General Assembly, boards, committees) to expand views and in integrating the operations of enterprises expectations of stakeholders.
Key stakeholders and expectations Main article: Wait. In sustainable development, stakeholders express expectations, which the company should consider in making synthesis. Summary table presenting stakeholders and their interest or principal expectations: Examples of stakeholder objectives, interests Management Team / Makers Governance, Corporate Culture, export sales, legal risk, reputation risk, strategy (short and medium term), liability, risk of loss of competence, performance, compensation, subordination Owners / shareholders
Profit, share value on the stock exchange information, strategy (long and medium term) Guest Quality and lack of defect of products / delivery time and cost of product / service quality, trust and partnership State, Economic Mission Sovereignty, collective security (defense), energy independence, security of supply (energy, raw materials), exports, principles of law (legal) compliance (public accounting, law), currency taxes Citizens of local communities Information on environmental and social impacts (jobs), taxes and financial contributions, legal risk
Employees Pay, job security, work interest, work conditions, health and safety (HSC) Unions Bargaining agreements, wages, working conditions, health and safety (HSC) Suppliers / contractors Price and purchasing volume, continuity, technology spillovers, partnership Banks Reliability of payment systems Investors Information on the solvency, liquidity, Insurance Company Information on risk management and solvency, computer security (Protection Profile) There are three main groups of stakeholders: investors, suppliers and controllers.