Le poète (2ème paragraphe) Les poèmes d’Eluard présentent le même dépouillement pour suggérer plutôt qu’expliquer. S’ils sont pour la plupart en vers, ce sont des vers libres, non rimés. Les poèmes sont très courts, parfois constitués en strophes. La ponctuation est absente, hormis le point final. La syntaxe est simplifiée, les subordonnées sont rares, remplacées par des groupes nominaux ou des proposition juxtaposées qui permettent des raccourcis, renforcés par des ellispes, comme dans « Le désir » ou dans « L’arbre- rose ».
Des jeux de rythmes et de sonorités suggèrent le sens onvenu, comme dans le poème « La liberté », où l’allitération en L et l’assonance en sont omniprésentes, et traduisent l’idée de to nextÇEge Swp to page légèreté que montre drapeau qu’elle tient, cg or2 Ray. Dans « L’angoiss t • distique, uniquemen simplicité de l’écritur Le lecteur (3ème paragraphe) t, entrainée par le ns le dessin de Man me est un simple es à l’infinitif. a De plus, le lecteur est libre de déchiffrer poèmes comme dessins comme il le désir. Alors, il y a une double énigme qui se reflète pour le lecteur, il doit interpréter les dessins et les po
