l’extériorisation Qu’est-ce que l’extériorisation pour une entreprise ? Une entreprise qui a un secteur d’activité peut décider d’extérioriser une partie de son activité. Elle peut prendre une forme de sous-traitante (une entreprise B va reprendre l’activité d’une entreprise A). Définition : l’extériorisation (discourtois) correspond au transfert d’activités d’une entreprise vers un prestataire externe, spécialisé dans un domaine (meilleur production ou service traitante d’activités n l’entreprise et lui père c?Ur de métier.
Exemple -p s capacités de vent de la sous- c?Ur de métier de terre sur son propre Agence de coma ou pub possède souvent une spécialité, s’il lui manque des compétences, elle peut faire appel à un prestataire spécialisé dans un domaine. L’exterminais ce que je vends, c’est-à-dire que ce n’est pas moi quel le produit, je ara mis en sous-traitante par une entreprise plus compétente. l’extériorisation consiste à confier à des prestataires externes des activités qui étaient auparavant réalisées en interne.
Quelles activités sont concernées ? D’infini est en Inde) Les centres d’appel téléphonique (SAUF, fournisseurs d’accès interne ont des fournisseurs externes) Le nettoyage Le transport Pourquoi extérioriser ? Le recours à des prestataires externes spécialisés s’appuie souvent sur la capacité stratégique (composée de ses ressources et compétences)
Exemple : Un prestataire informatique est ainsi généralement meilleur que le département informatique de ses clients. Pour autant, Olivier laminons a souligné que le choix entre intégrer ou extérioriser ne doit pas uniquement reposer sur des questions de capacité stratégique. On va comparer quel est le coût interne et le coût exterminais. Son approche repose sur les coûts de transaction Le coût de transaction permet d’analyser le coût d’une activité, qu’elle soit réalisée en interne ou en externe.
Une décision d’extériorisation doit notamment prendre en compte le coût d’opportunisme des prestataires. Ceux-ci peuvent en effet être tentés de tirer profit de leur pouvoir de négociation pour : Réduire la qualité ou les délais de leur prestation Exiger des prix plus élevés Lorsque l’on décide d’extérioriser, on doit analyser le fameux pouvoir de négociation. Savoir s’il est en notre faveur ou en celle du prestataire. Des problèmes cités plus haut surgit, on peut changer facilement de prestataires.
Cependant, il est particulièrement difficile de contrôler l’opportunisme des prestataires lorsque : Ils sont peu nombreux et difficilement substituées L’activité est complexe et dynamique (qui évolue en permanence dans le cadre du CA et celui technique = innovation quasi permanente), ce qui empêche de rédiger un contrat stipulant précisément les obligations des prestataires l’extériorisation a nécessité l’acquisition d’actifs spécifiques, qui roderont une grande partie de leur valeur si le prestataire se retire L’approche par les coûts de transaction suggère parfois que les coûts d’opportunisme peuvent annuler les bénéfices de l’extériorisation auprès d’un prestataire détenant de meilleures capacités stratégiques.
C’est-à-dire qu’il faut prendre en compte et les coûts de transaction et les coûts d’opportunisme, car dans certains cas, ces derniers sont tellement élevés qu’ils annulent les coûts de transaction. Le coût d’opportunisme : tous les coûts susceptibles d’apparaître si la qualité baisse, si le délai de livraison s’allonge et si les prix de on prestataire externe augmentent. Cela peut se produire s’il y a peu de prestataires ou si on est sur des constituantes. Les sociétés minières isolées dans des régions d’affaire ou d’australe. Elles possèdent et gèrent elles-mêmes les logements des mineurs. Pourquoi, alors que ce n’est as une activité stratégique ou c?Ur de métier ? De métier ?
Elle est quasiment obligée pour loger les mineurs à côté, car les investisseurs immobilier n’iraient jamais construire de logement près des mines. En effet, pieusement générer : Des actifs spécifiques (le logement n’ plus aucune valeur si la mine ferme) Une absence de substituts (la ville la plus proche peut être située à des centaines de km) Par conséquent, il serait très risqué d’extérioriser cette activité auprès d’une entreprise spécialisée, à la fois pour la mine et pour le prestataire (quelle que soit sa compétence). Silo existe peu de concurrents ou de substituts, si l’activité est complexe et évolutive, et si des actifs spécifiques sont nécessaires, l’approche par les coûts de transaction recommande donc d’intégrer plutôt que d’extérioriser.
La décision d’intégrer ou de sous-traiter une activité dépend de l’équilibre entre deux facteurs distincts Les capacités stratégiques relatives : le prestataire est-il significativement plus compétent ? Le risque d’opportunisme : le prestataire risque-t-il de tirer avantage de la relation de dépendance ?