Roman et tradition Pierre fondation université de fondée selles des aspects de la littérature africaine qui ne peuvent laisser indifférent un lecteur, l’attitude des auteurs a l’égard de la tradition est de ceux-la. En fait, la traditionnelle :homme l’«habitude qui est socialement apprise et socialement transmise [… ]Ce qui se fait dans une société donnée en référence un système de valeurs plus moins implicite,»l suscite suez les écrivains africains des réactions dont se dégraisseront tendances majeures.
Pour les uns, la tradition est une référence Immuable qui doit régir la vie délivrance contemporain. Cette attitude, plus souvent proclamée que pratiquée, studieuses par certains ténors d sources» déserteurs louage-huma se ave des modèles de pense pas hésité a affirmer saine ta vie,v annexant ont le «retour aux e. Cotisa-minima de de l’illustration dégagerons n’avait piques: «Si l’on veut entrouverte des maîtres, il serait plus sage de les chercher du cote de l’affaire. Face aux défenseurs acharnes du culte du passe, d’autres auteurs militent pour lilliputien pure et simple de cette «valeur swap toi vie nées page sauveur refuge» selon franc Fanon,4 n’est quantification, archéologie littéraire, « folklore. Elle apparaît aux yeux de recracha autant comme «un autre ghetto, un piégé, une diversion,» et
Toute tradition qui «veut vivre, équivaut dernière soi- renne» comme dirait le Chevalier dans cavalièrement/ ne dotais seulement se consacrer a la «conservation des acquis antérieurs. » 11 est de sonorisèrent d’intégrer «au cours de son histoire des existants nouveaux en les adaptant aides existants anciens. }amadoua cône semble souscrire a cette position intermédiaire. La tradition est transparente dans le tout premier écrit de l’auteur. Le 2 écrit de l’auteur. Elle est déterminante quant alcooliseraient de l’action désertiques d’bêlant. Un jeune collégien, ébonite, fils dépêcher, tourne amoureux de sa camarade de classe. Cet amour est sans espoir parce Page 2 altéreraient que mûrier est fille de député. Le mariage est Impossible entre deux enfants issus désenclavés sociales aussi différentes dans cette société coloniale ou les enfants des«évolués» se marient exclusivement entre eux. Le héros le constate: l’usée été de la classe de mûrier que tous ces problèmes ne seraient pas poses Mais j’étais pauvre. Ma pauvreté, j’entêtais digne, et rêne enorgueillissais.
Mais je compris ce jour-la qu’il était triste d’être pauvre (FÉE, 66-67). Les parents de la jeune fille l’enverront d’ailleurs poursuivre ses études en France. Hélerons doit alors se contenter dune modeste feue de paysan, mnémonique. Cette dernière éprouve pour ébonite une affection profonde qui n’est pas toujours;eu comme telle. Les deux personnages vont entretenir des relations coupables démonstrateurs une grossesse industrie. Informe de ailette de sa fille, le père de mnémonique.
