Il s’interdit de rêver Lucide + liste, reconnaît ses défauts ci, carcan va se montrer, se dévoiler, Il ne se met pas en valeur = Fait ressentir de la pitié. Il se sent seul et laid « Mon ami, j’ai de mauvaises heures ! De me sentir si laid, parfois, tout seul… » Le béret pose beaucoup de questions oblige carcan à dire la vérité + il a conscience qu’il joue un rôle. Le béret pose les questions que le spectateur se pose, cherche savoir ce qui est important pour le spectateur découvrir pourquoi carcan à fait ce qu’il a fait, qui il aime -+ faire tomber le masque
carcan essaye de faire deviner à le béret qui il aime – carcan ne la nomme pas d’abord : crée suspense « J’aime… Mais c’est forcé !… La plus belle qui soit ! » La plus blonde ! » « Mortel sans le vouloir, exquis sans y songer, Un piège de nature, une rose muscade Dans laquelle l’amour se tient en embuscade ! Qui connaît son sourire a connu le parfait. Elle fait de la grâce avec rien, elle fait Tenir tout le divin dans un geste quelconque, Et tu ne
Comme elle montre en chaise et marche dans paris ! » Explique qu’il a été forcé de l’aimer car elle a beaucoup trop de qualités = être parfait = Périphrases mélioratives Il parle de Venus qui est la Déesse de l’amour et dîne déesse de la chasse, il dit que rosace est supérieure aux deux déesses. Il exprime cela par des négations et des comparaisons : compare rosace à une rose muscade (urf: poème de ronrons : » Mignonne, allons voir si la rose… « ) , la rose est souvent une métaphore de l’amour et de la femme .
I présente aussi rosace comme à un danger, comme si n était obligé de tomber amoureux d’elle, il dit qu’elle est irrésistible, elle a ensorcelée carcan carcan est piégé ; victime. carcan considère rosace comme un piège mortelle sans le vouloir, c’est-à-dire qu’elle est à la fois un piège mais aussi l’incarnation de l’innocence. On remarque un parallélisme au v. 505 (ex connaître), cela met renforce l’idée de la perfection de rosace « Qui connaît son sourire a connu le parafa 2 le parfait. » Au v. 00, il y a une accumulation + une structure ternaire = donne harmonie + chaque adjectival est précédé par « plus » qui est un adverbe d’intensité (= hyperboles). Insiste sur le fait que rosace est supérieure aux autres femmes. /. 506-507 : carcan voit du divin dans chaque geste quelconque, fait de la grâce avec rien = antithèses. Le moindre petit geste de rosace ensorcelé carcan. « Elle fait de la grâce avec rien, elle fait Tenir tout le divin dans un geste quelconque, » Toute cette scène montre les sentiments de carcan qui ressent la fois de l’adoration pour rosace et du dégoût/de la honte car il est l’opposé de rosace.
Il met rosace sur un piédestal, Il fait son éloge et fait une divinité z déification) de rosace + il se rabaisse : opposition. Il se sent indigne de la personne qu’il aime C’est urne des problématiques de carcan de Bergerac rosace n’arrête pas de dire à christiania qu’il est beau = ne se soucie que des apparences au début. La a une disproportion entre les paroles de Le béret et carcan poser des questions pour rendre dynamique le texte et donner des infinis. carcan exprime sa passion : parle beaucoup, fait des comparaisons, hyperboles, ponctuation : nombreux points de suspension « » Ne peut pas trouver ses mots
Contrairement à la scène d’avant ou il était habile (savait trouver ses mots facilement) , presque arrogant, là il est faible , pas sûr de On voit aussi apparaître du registre pathétique, (v. 530) insiste sur sa laideur et sa solitude, même si refus de s’apitoyer sur son sort « Ah non, cela, jamais ! Non, ce serait trop laid, Si le long de ce nez une larme coulait ! » (v. 494 498) répétition du verbe ai 3 serait trop laid, (v. 494-498) répétition du verbe aimer . « Qui jambe d’être aimé Alors, moi, j’aime qui ? J’aime… Mais c’est forcé ! Registre lyrique
carcan se met en scène comme un personnage romantique : idée que le paysage est un reflet de l’âme (v. 51 9) : J’entre en quelque jardin ou l’heure se parfume ; Avec mon pauvre grand diable de nez je hume caviar ; je suis des yeux, sous un rayon d’argent, Au bras d’un cavalier, quelque femme, en songeant Aussi moi j’aimerais au bras en avoir une, Je m’exalte, j’oublie… Et j’aperçois soudain L’ombre de mon profil sur le mur du jardin ! » Apparition du champ lexical de la tristesse La a une apparition du registre comique, passage du registre comique au registre tragique (v . 529).