Le survenant

Le survenant

Etape 1 : Plan du developpement Argument principal 1 Oui, dans le Survenant le bonheur reside dans le nomadisme. Le bonheur du Survenant est dans le fait qu’il est maitre de sa destinee. Il n’a pas de lieu fixe, ce qui l’amene la ou la route le conduit, le temps qu’il faut. Il decouvre a chaque endroit une nouvelle langue ou encore de nouvelles facons de vivre. Il n’a pas besoin d’avoir de biens materiels puisqu’aucune attache ne le retient. Seul son paquetage lui est necessaire. Argument principal 2 Pour les habitants du Chenal du Moine, le Survenant leur rappel la liberte dans le nomadisme.

Didace se voit dans le Survenant, il se rappelle ses ancetres. Angelina voit a travers les paroles du Survenant toute la beaute de la liberte. Tous les habitants viennent ecouter les histoires et les chansons que le Survenant leur raconte, ce qui les fascine. Etape 2 : Redaction ????? Dans le Survenant, le bonheur reside dans le nomadisme parce que le Survenant est maitre de sa destinee. Cet homme mysterieux n’a pas de lieu fixe, ce qui l’amene la ou la route le conduit, le temps qu’il faut. Il decide un soir d’automne, de s’arreter au Chenal du Moine,

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ou il passe quelques saisons en compagnie de la famille Beauchemin.

Celui-ci mentionne au pere Didace, apres un certain temps, qu’il n’est pas un larron ou un scelerat, un tueur ou un voleur. « Partout ou je passe, j’ai coutume de gagner mon sel, puis le beurre pour mettre dedans. Je vous ai offert de me garder moyennant asile et nourriture. Si vous […] le temps de changer de hardes et je pars. » (p. 43) Il considere que le travail qu’il effectue sur la terre, le temps qu’il est avec eux, vaut bien l’hebergement, la nourriture et le tabac que le pere Didace lui offre.

Le nomadisme lui permet egalement de decouvrir a chaque endroit une nouvelle langue ou encore de nouvelles facons de vivre. Lors d’un souper chez les Beauchemin, le Survenant ce mit a leurs decrire des villes, des pays aux noms etrangers « Je vous ai-ti parle d’un couque que j’ai connu dans un chantier du Maine ? Il avait le secret des crepes et des galettes …. Elles fondaient dans la bouche. » (p. 45) Ce besoin d’exprimer ses experiences le rend nostalgique. Apres quelques saisons, cet appel se fait ressentir, le besoin de repartir devient de plus en plus fort.

Il tente alors d’expliquer aux gens du Chenal du Moine, pendant une conversation visant les etrangers, comment on se sent : « Vous autres, vous savez pas ce que c’est d’aimer a voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul, le pas leger, le c? ur allege, tout son avoir sur son dos. […] Il etait ivre, ivre de distances, ivre de depart. […] des lointains inconnus. » (p. 190-191) Il n’a pas besoin de biens materiels ni d’attache, seul son paquetage lui est necessaire.

Ce qui l’amene au debut de l’automne suivant, soit un an apres son arrivee, a repartir comme il etait venu, seul avec son sac, sans meme un au revoir pour Angelina ou le pere Didace qui etaient devenus ses allies. Nombre de mots (388( Conclusion : Dans le Survenant, oui le bonheur reside dans le nomadisme. Pour le Survenant, le bonheur est dans le fait qu’il est maitre de sa destinee. Il arrive, reste quelques temps et repart comme il est arrive. Pour les habitants du Chenal du Moine, le Survenant leur rappel la liberte dans le nomadisme.

Le pere Didace se voit en lui et se rappelle ses ancetres, pour Angelina, elle voit a travers les paroles du Survenant toute la beaute de la liberte et pour les habitants, ceux-ci sont fascines par les histoires et les chansons que raconte le Survenant. La vie des gens du Chenal du Moine sera transformee par cet etranger, qu’on considere et appelle parfois « Grand-Dieu-des-Routes ». Son depart laisse certains tristes, d’autres contents, mais personne indifferent. (Ref. : http://lailaseshat2. canalblog. com/archives/2007/05/28/5111313. html Nombre de mots (128(