Le suicide

Le suicide

Sociologie des organisations Le jeu a tout le temps été considéré comme le champ d’application et de test des relations de diverses natures entre les joueurs en tant qu’acteurs impliqués. Le modèle classique du jeu est celui présenté dans cet ouvrage, ce jeu dit dilemme du prisonnier ou encore colibacilles des sciences sociales selon Robert exilera, présente une situation classique ou les joueurs sans avoir conscience des actions ou stratégies des autres joueurs, ne trouve la solution optimale à leur situation qua travers une coopération des différentes parties impliquées.

Cette datation nous a donc permis d’analyser et d’évaluer différentes notions sociologiques. Comment peut-on d de confiance et de oc chaque situation, l’anti Peut-on approprier organisations ? Swap nées page selon les notions l’emporte dans tuf ? Ar la sociologie des Il conviendrait de présenter dans un premier temps cette notion de dilemme du prisonnier comme présentée dans cet ouvrage, c’est donc une situation de jeu classique exprimée en termes de scénario où 2 prisonniers sont interrogés et sont confrontés aux possibilités suivantes : si un prisonnier se dénonce et est dénoncé par l’autre, les 2 seront c siège toi nées page madones à ans de prison ; si ruine d’eux

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dénonce l’autre sans qu’il se soit dénoncé, il est donc libre et l’autre est condamne ans ; et le dernier cas est celui ou aucun des deux ne dénonce l’autre, et donc les 2 ne sont condamnés qua une seule année de prison. On peut donc considérer le dernier scénario comme le meilleur, mais ce scénario est conditionné par le fait qu’aucun des 2 joueurs ne connaisse la décision de l’autre.

couvrant nous propose 2 versions du dilemme, une version simultanée qui n’est autre que la version qu’on vient d’expliquer, la Emme ; dite séquentielle ; est l’exemple d’un jeu à tour de elle, où l’acteur n’agit qu’après avoir pris conscience du jeu de son opposant. A mon avis, il serait plus intéressant de traiter ce dilemme selon la première version, car c’est ce facteur d’imprévisible qui définit ce pouvoir qu’exerce chaque joueur sur la prise de décision de l’autre. Afin d’atteindre un résultat optimal de ce jeu, c’est-à-dire celui du profit pour tous, il est important d’insister sur le principe de coopération, un principe qui ne peut être guidé que par des normes sociales qui, à partir des valeurs communes aux membres de cette société, valorisent la recherche de but nomme, soit du profit strictement individuel.

L’ouvrage propose des déterminants qui peuvent influencer cette coopération (sexe, âge, études, idéologie, influence 2 FO s âge, études, idéologie, influence des pays développés ou même celle des société tribales… ), et c’est cette coopération qui pousse cette poursuite du profit commun qui a longtemps permit la prospérité de la race humaine, dans l’ouvrage, une version de la coopération décrite de « donnant-donnant » qui décrit le scénario où l’acteur coopère même en ignorant la stratégie de l’autre et attend le même comportement de la part de l’autre, on peut donc écrire la confiance comme la première partie déterminant les résultats de dilemme du prisonnier. Le deuxième déterminant de ce résultat est celui de la confiance ou encore de la loyauté.

Comme la coopération des variables socio-économiques, culturels ou psychologiques (exemple et expérience très un intéressante du simple sourire) peuvent en effet influencer cette confiance entre les acteurs mais , et afin de renforcer cette influence, il est indispensable de suivre 2 méthodes plus ou moins éloignées : la première qui consiste à renforcer les liens sociaux entre les joueurs et donc on eut évoquer les sentiments et les émotions qui contrôlent la confiance accordée à l’autre, la deuxième qui suppose la présence de sanctions qui obligent une confiance afin d’atteindre des objectifs communs . On peut donc dans chaque situation en évaluent l’interaction des d 3 FO s d’atteindre des objectifs communs . On peut donc dans chaque situation en évaluent l’interaction des deux facteurs, déterminer la poursuite ou non d’un but commun ou d’un intérêt individuel comme résultat du jeu.

Ces résultats sont regroupés dans le cadre des théories des préférences sociales qui se réfère aussi la théorie d’utilité sociale supposant un poursuite de buts communs par tous les membres de la société et donc les joueurs du jeu, avec un forte coopération et confiance, et donc une unification de la stratégie adoptée par l’ensemble des acteurs. Une autre théorie qui est peut, être aussi approchée par la neurone-économie, et qui suppose des individus qui tirent plaisir de la coopération et la confiance mutuelle. Ces résultats peuvent aussi être le résultat d’une poursuite d’intérêt Individuel, un égoïsme qui tire son propriétaire à cette volonté d’être le seul arma les acteurs ou les joueurs à réaliser le meilleur résultat en dépit des performances des autres.

Ce deuxième scénario est directement relié à la théorie d’économe standard Ce dilemme fait l’objet de diverses situations dans une organisation, et qui peut être interprété à travers les outils de la sociologie des organisations afin d’essayer de les expliquer, on évoque dans un premier lieu l’analyse stratégique qui décrit la démarche tracée par l’individu dite stratégie et les buts qu’il d 4 FO S stratégique qui décrit la démarche tracée par l’individu dite tragédie et les buts qu’il désire achever, on peut aussi évoquer système d’action concret qui renvoie surtout à un niveau bien précis de coopération entre les individus, on peut aussi parler de pouvoir qu’exerce un joueur sur l’autre en publiant à adapter son jeu ou sa stratégie aux attentes de l’autre.

Le dilemme du prisonnier n’est pas uniquement une situation de jeu, mais le résumé de la presque totalité des interactions entre les individus, c’est une description des attentes et des rétributions dans un échange avec les autres, conditionné surtout par 2 facteurs principaux qui sont la confiance et la coopération, Ce dilemme suppose l’existence de 2 types d’intérêt, le premier prenant en considération les attentes de tous les Jours ou toute la société, et le deuxième qui n’admet que la supériorité de l’égoïsme individuel et le but de chaque joueur est de réaliser les meilleurs résultats parmi ses concurrents. Ces scénarios peuvent être projetés dans le milieu d’une organisation ou même d’une économie, et donc ce dilemme n’évoque plus que ces termes cités, mais on peut aussi parler de stratégie des acteurs au sein de leurs organisations qui réguler leur comportement et leurs attentes vis-à-vis des autres.