Le travail que j’ai fer)honneur de vous présenter porte sur le miroir. Ce symbole est présenté à l’apprenti, durant la cérémonie de sa réception au grade d troisième voyage et des deux derniers va Encore Trop faible, il qu’il y rencontrerait. S »pie toi t de terminer son préfère le dispenser irait aux épreuves Ce symbole, Cet objet, lui est présenté comme un ultime avertissement. L’Apprenti, alors qu’il commençait tout juste à travailler, test trop rapidement satisfait de son travail au point de ne pas se rendre compte combien il était fait fort peu avancé.
C’est dans le but de lui faire perdre ses illusions sur lui-même, afin de le ramener vers le vrai sens des choses et de son être que le Vénérable maître présente un miroir à l’Apprenti à ce moment de la cérémonie de sa réception au grade de Compagnon. Eu miroir lui est présenté après que le Vénérable Maître lui a déclare : « Voyez-vous donc tel que vous êtes Mais justement que voit alors l’apprenti lorsqu’ regarde le miroir ?
Tout le monde connaît le fameux trait d’esprit de Jean cocotte ce propos qui déclarait que les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer les
Une analyse rigoureuse de ce phénomène devrait presque conduire « Apprenti à considérer que cette image qui lui est ainsi envoyée est même une fausse réalité comparable à celle que croit voir les prisonniers de la caverne de planton. Cette image, inexacte, n’existe en fait que sur le miroir et nulle part ailleurs dans la réalité observable. Nulle part ailleurs que sur et dans le miroir il ne sera considéré que papetière à un grain de beauté sur l’?il gauche alors qu’en fait il se trouve au-dessus l’?il droit.
La mise en garde du Vénérable Maître à l’Apprenti après qu’il a été placé devant le miroir renforce cette idée que l’image qu’il a eu de lui-même doit être en quelque sorte dépassée. C’est en pénétrant oc 2 l’image qu’il a vue de lui-même doit être en quelque sorte dépassée. C’est en pénétrant courageusement dans les replis de son c?Ur lui rappelle le Vénérable Maître, en sondant le fond de son âme qu’il pourra trouver la connaissance de lui-même et encore, à condition qu’il soit animé d’un vrai désir, du courage et de l’intelligence .
C’est dire l’intensité de l’effort qu’il devra faire. Cette image que lui a renvoyée le miroir est donc bien un point de départ mais un ont qu’il faut quitter et dépasser. Le rôle que joue alors le miroir est paradoxal : il est tout à la fois le lien et la barrière entre la perception que se fait l’Apprenti de lui-même et la réalité de qu’il est ou doit devenir. C’est incontestablement un lien car l’image que renvoie de lui- même le miroir est tout de même fort proche de l’apparence physique de l’Apprenti.
Mais c’est aussi une barrière car le miroir ne révèle rien des caractéristiques morales, psychologiques, affectives qui forment la réalité intérieure de l’être qu’est l’Apprenti et qui font qu’il est e qu’il est. Et pourtant cette réalité cachée existe pourtant bel et bien. La façon dont le miroir est présenté l’Apprenti est sans plus importante encore que le miroir lui-même.
En écartant le voile qui, auparavant dissimulait le miroir, il est ainsi signifié à ‘Apprenti qu’ainsi placé il a désormais la possibilité d’acquérir « la clef de tous les mystères et parvienne au vrai boa 3 placé il a désormais la possibilité d’acquérir « la clef de tous les mystères et parvienne au vrai bonheur Ce symbolisme du voile est très fort : comme le rappelle e Saint maturité dans son chapitre 27 verset 51 c’est par la déchirure « du voile du Temple depuis le haut vers le bas » notamment que beaucoup de ceux qui assistèrent à la crucifixion du Christ comprirent ce jour là qui était mort sur la croix.
De même, le Vénérable Maître, en écartant en écartant le voile qui dissimulait le miroir à ‘Apprenti, lui a révélé le but ultime du travail qu’il devait faire et pourquoi il devait le faire. De même aussi a-t-il invité le futur Compagnon à arracher le voile qu’il l’empêche de se voir tel qu’il est le miroir avec le reflet qu’il envoie symbolise alors le Compagnon lui-même et donc moi- même.
Le travail que je suis en train de vous présenter ce soir est à la fois l’indice et la mesure des efforts de j’ai effectués depuis que j’ai été confronté, le mot ne parait pas trop fort, à cet objet. A l’image que me renvoie le miroir et à celle que je me fais de moi-même s’ajoute ce soir celle du Compagnon que je suis. ‘espère, VIN qu’elle n’est pas trop éloignée de celle que vous étiez imaginée qu’elle serait ou devrait être. Le vous remercie, VIN et vous tous mes BAVA, d’avala écouté attentivement mon travail.
