1. Le libertinage selon St François. Nous pouvons observer trois tableaux de Jean-Honoré. Le Baiser à la dérobée qui date de 1788, Les Hasards Heureux de l’escarpolette qui a été fini en 1767 et Le verrou terminé en 1777. Tous ont comme thème le libertinage du point de vue du peintre. l. Le sujet et l’atmosphère Ces trois tableaux qui ont été peints au XVIIIème siècle, reflètent bien le mouvement d Le Verrou et Le Baise orf des femmes et leur é an•:. • Sv. ige to View tromperie.
Pour le pr troisième personne s ode à cette époque. rtir l’affirmation ari grâce à la er qu’il se cache un t du mari entré en surprise surprenant sa femme et l’enfermant dans la chambre avec ce fameux « verrou Pour le second, on remarque une jeune femme se faisant embrassé par un homme. Ils sont sous un puis de lumiere. Ils ont l’air de vouloir faire vite, on peut deviner la cause de ce manque de temps par la porte entre ouverte en arrière plan où on distingue des personnes dans une salle derrière.
Le troisième, Les Hasards heureux de l’escarpolette peut-être qualifié de représentation du siècle des Lumières par cette jeune ille
Fragonard a cherché a mettre en valeur ces femmes et à leur retirer ce statut « d’obéissantes mariées une atmosphère de gaieté, de douceur et de malice règne dans ces tableaux. Dans Le Baiser à la érobée et dans Le Verrou on peut ressentir également un léger sentiment de stress et de peur de se faire démasquer alors que dans Les Hasard heureux de l’escarpolette, la jeune fille apporte plutôt un sentiment d’innocence et de naïveté. Il. La composition et les symboles Pour la composition, les tableaux ont en communs le puis de lumière sur les personnages principaux du tableau.
Le Verrou est divisé en deux partie par une diagonale qui divise le coté clair de l’obscure, ces deux espaces présentent, l’un Paction avec les deux époux qui s’embrassent et l’autre laisse deviner aux ersonnes un avant de cette scène. L’homme qui tient sa dulcine dans ses bras nous fait poser notre regard vers le fameux verrou. Le Baiser à la dérobée est constitué d’un fond foncé qui met en valeur les deux amants, et la lumière à l’arrière qui illumine la pièce nous fait comprendre que l’action se passe en cachette.
Le port de jarretière par la jeune femme dans le tableau Les Hasards heureux de l’escarpolette fait scandale à l’époque. Toujours ce pu le tableau Les Hasards heureux de l’escarpolette fait scandale ? l’époque. Toujours ce puis de lumière sur elle, des lignes obliques a suivent, ce qui montre son intimité. Les couleurs se confondent ainsi que les formes. On peut voir une double ligne respective, la première au niveau de la corde jusqu’à l’amant et le seconde, du fond et elle coupe la toile en deux.
Tous ces eléments donnent une unité à l’œuvre. Quelques couleurs symboliques sont présentes dans cette œuvre : le rose pour l’amour, le gris pour la refus de l’engagement, le noir pour l’abandon et l’indépendance et le bleu pour Péquilibre. La pomme sur le coté du tableau Le verrou rappel le péché originel et le bouquet de fleur la virginité. En ce qui concerne Les Hasards heureux de l’escarpolette, rarbre renvol à la fertilité, Cupidon à l’amour et la figure du pied nus témoin de la perte de la virginité III.
La palette et le style Les couleurs des tableaux Le verrou et Le Baiser à la dérobée sont a peut près identiques, une forte présence de jaune, de rouge et de now. Alors que pour Les Hasards heureux de l’escarpolette les couleurs sont plus froides, avec du bleu et du vert. Seule la jeune femme est en rose ce qui la sort du cadre et la met en valeur. Ces trois tableaux ont un style rococo et éoclassique. En conclusion par ces trois tableaux atypiques, Fragonard nous fait passer sa conception du libertinage par la conceptions des ses œuvres, ses manières de peindr œuvres, ses manières de peindre et de représenter les choses. . Sujet d’invention Le 6 Décembre 2014 Cher Abbé Prevost, Marseille Je m’adresse à vous pour vous parlez de vos nombreux personnages. J’ai l’intention de vous conter mes sentiments positifs et négatifs sur eux. Commençons tout d’abord par le chevalier Des Grieux (avec Manon certes), le personnage principal de ce livre entendons- ous. Il débute dans votre récit comme un homme sage, innocent et sincère ( 1. 171 « j’avais dix-sept ans, et j’achevais mes études de philosophie à Amiens 1. 73 « Je menais une vie si sage et si réglée, que mes maîtresses me proposaient pour Pexemple du collège. 1. 188 « j’ai l’humeur naturellement douce et tranqullle ») et vous monsieur, d’un moment à l’autre vous le fait basculer dans un coup de foudre amoureux dont il ne ressortira pas indemne. Mais pouvez-vous m’expliquer comment peut-il tomber si vite amoureux de cette « charmante » jeune femme (1. 17 « je me trouvais enflammé tou squ’aux transports ? Trouvez-vous cela logique ? Et bien vous m’excuserez, mais moi non.
II est vrai que j’admire sa persévérance et son optimiste face aux actions néfastes de Manon. Mais à mon avis, c’est une figure négative de l’homme. Parlons maintenant de Manon, cette jeune femme dite si « redoutable » par Des Grieux qui est pour moi, la figure principale de ce roman, d’où le personnage éponyme. Effectivement, son personnages et la représentation atypique du libertinage. Mais ses actions sont parfois assez poussées et très éplacées vis à vis de son bien aimé.
Elle témoigne de l’emprise des femmes sur les hommes par sa supériorité envers Des Grieux. Elle prétend aimer ce dernier ( « votre cœur sans lequel il est impossible que je vive très bien, mais qu’elle le prouve. Car jusqu’à preuve du contraire, elle ne fait guerre d’efforts pour lui. Son gout fort présent pour la liberté, le luxe et l’argent rabaisse son image je trouve. Cependant, elle représente l’image de la femme moderne, libre et épanouie. Elle ses soucie rarement du futur car elle est à mon avis trop attachée au moment présent.
Son grand défaut pour moi, elle le fait qu’elle ne sache pas exprimé son amour comme il se doit à Des Grieux. Son coté libertine est pour moi, beaucoup trop poussé. Elle joue de sa supériorité pour berner son amant. Ce que je trouve extrêmement malsain. Venons-en maintenant à notre ami Tiberge_ Ami fidèle de De Grieux si je ne me trompe pas. Pour moi, il symbol maintenant à notre ami Tiberge. Ami fidèle de De Grieux si je ne me trompe pas. Pour moi, il symbolise une ligne de sincérité et de fidélité qui au passage, fait contraste avec l’attitude de Manon.
Cette fidélité je vous le dis, rassure le lecteur et le fals se sentir un petit peu en confiance. A mon avis, Tiberge représente ce que Des Grieux aurait été si il n’avait pas fait la rencontre de Manon Il est le seul personnage de votre livre mon ami, auquel je ne trouve pas de défaut frappant. Je ne pourrais donc pas épiloguer sur son compte. J’aimerais parler en cet instant du père de De Grieux. Même si il n’est pas présent pendant tout le long du livre, il reste un personnage important. Si je me rappel bien, c’est à cause de lui que Manon se fait déportée, c’est exact ?
Son comportement vis à vis de cette dernière peut être entendu, la peur pour son fils, le sentiment de déshonore etc.. A contrario, je trouve sa réaction quelque peut excessive. Etre contre l’union de ces deux personnages, certes, mais aller jusqu’à la mort d’une personne, c’est peut être un petit peu exagéré, ne trouvez-vous pas ? Enfin, monsieur PAbbé de Prévost, je finis cette lettre en vous remerciant de m’avoir offert un exemplaire de votre ouvrage, et en vous demandant d’accepter mes nombreuses critiques quelles soient positives ou négatives. Cordialement, Emma Ranalli.